Impossible de présumer ce que l'on fera et/ou ce que l'on aurait fait ça dépend de tellement de facteurs... cela s'étend comme ton exemple le montre à toutes les situations de la vie d'ailleurs.Drancis Frake a écrit : 04 juil. 2018, 23:02 Je ne sais pas si je m'arrêterais, cela dépend vraiment des circonstances et de la situation.
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Le simple fait d'évoquer tout ça, augmente juste la probabilité que lorsqu'on aura une fraction de seconde pour décider d'agir ou d'ignorer, on prendra peut-être une décision plus altruiste!
Dans des situations extrêmes chaque seconde peut compter. Pour être du coté orga le plus souvent, les motos sur les circuits sont bien moins nombreuses qu'on veut bien l'imaginer!
Sur un parcours comme Nice, il y a quasi 1h30 au départ de T1 entre le premier et le dernier concurrent... même si l'on mets une vingtaine d'arbitres cela fait 4 ou 5 minutes à minima entre les arbitres. Cet écart qui ne fera qu'augmenter au fil de la course. A l'approche de T2 il y aura plus de 5h entre le premier et le dernier c'est au mieux un arbitre toutes les 15 min... C'est juste mathématique... Sachant que sur bien des courses il y a bien moins d'arbitres que cela! (je sais bien qu'il n'y a pas que les motos arbitres ou ailleurs, mais c'est le plus gros des troupes qui est à peu près coordonnés).
Un triathlon ce n'est pas le Tour de France avec Radio tour et ses oreillettes. Nous sommes tous "isolés" : arbitres, médias, bénévoles, sécurité, athlètes personne n'est informé en temps réels des incidents en cours. Nous avons donc tous notre rôle à jouer question sécurité.
T.