Re: Le tour des Flandres
Publié : 01 avr. 2011, 18:41
Tankink en a eu des crampes ! (C'était au GP E3)

le Hollandais a été le dernier à être enrhumé
On se souvient que, l’an dernier, après le Tour des Flandres, Boonen, sans doute un peu vexé d’avoir été battu, sur son terrain, par Cancellarra, nous avait inventé une histoire de crampes qu’il avait eues dans le Mur de Grammont, au moment où le Suisse avait démarré. Hier, c’est Tankink qui a subi le même phénomène en tentant de résister à Spartacus. Mais, de son côté, il n’y avait pas matière au doute tellement sa sincérité était criante lorsqu’il parlait du phénomène bernois.
“En réalité, disait le coureur Rabobank, je trouvais Cancellara tellement fort que j’avais décidé d’attaquer avant lui, afin, éventuellement, de pouvoir prendre sa roue lorsqu’il produirait son effort. J’avais senti poindre une crampe à la sortie d’un secteur pavé, mais lorsque Fabian m’a passé et que j’ai voulu embrayer, la douleur est devenue plus forte. Je n’en fais pas une excuse parce que je n’aurais de toute façon pas pu le suivre. Il m’a passé comme un ovni. Et dire qu’au départ, je m’estimais dans un jour plutôt bon !”
Le Batave sera le dernier à voir Cancellara de près avant l’arrivée. “Sa vitesse était gigantesque, conclut Tankink avec un sourire admiratif. Une vraie mobylette ! Non, plutôt, une moto. Dans le groupe des poursuivants, on courait tous pour la 2e place. Je vous assure que personne n’a vraiment cru à une réelle poursuite du Suisse; on n’a même pas fait tourner le groupe. Le battre au Tour des Flandres s’annonce comme une mission impossible, ou en tout cas très, très difficile. Le pire est qu’on sait qu’il va démarrer mais que, quand il part, qui plus est en tête de peloton, on n’arrive pas à le suivre !”
Ph. V.H.
le Hollandais a été le dernier à être enrhumé
On se souvient que, l’an dernier, après le Tour des Flandres, Boonen, sans doute un peu vexé d’avoir été battu, sur son terrain, par Cancellarra, nous avait inventé une histoire de crampes qu’il avait eues dans le Mur de Grammont, au moment où le Suisse avait démarré. Hier, c’est Tankink qui a subi le même phénomène en tentant de résister à Spartacus. Mais, de son côté, il n’y avait pas matière au doute tellement sa sincérité était criante lorsqu’il parlait du phénomène bernois.
“En réalité, disait le coureur Rabobank, je trouvais Cancellara tellement fort que j’avais décidé d’attaquer avant lui, afin, éventuellement, de pouvoir prendre sa roue lorsqu’il produirait son effort. J’avais senti poindre une crampe à la sortie d’un secteur pavé, mais lorsque Fabian m’a passé et que j’ai voulu embrayer, la douleur est devenue plus forte. Je n’en fais pas une excuse parce que je n’aurais de toute façon pas pu le suivre. Il m’a passé comme un ovni. Et dire qu’au départ, je m’estimais dans un jour plutôt bon !”
Le Batave sera le dernier à voir Cancellara de près avant l’arrivée. “Sa vitesse était gigantesque, conclut Tankink avec un sourire admiratif. Une vraie mobylette ! Non, plutôt, une moto. Dans le groupe des poursuivants, on courait tous pour la 2e place. Je vous assure que personne n’a vraiment cru à une réelle poursuite du Suisse; on n’a même pas fait tourner le groupe. Le battre au Tour des Flandres s’annonce comme une mission impossible, ou en tout cas très, très difficile. Le pire est qu’on sait qu’il va démarrer mais que, quand il part, qui plus est en tête de peloton, on n’arrive pas à le suivre !”
Ph. V.H.