OnlineTri.com

dff a écrit :ouhais , enfin des attaques , ça fait plaisir !!!
bon alors , Contador , c'est fini ! , Andy à fait forte impression hier , je pense que vous avez vu comme moi le vent contraire qu'il à du affronter ,et mème si son équipier à fait le boulot , il a vraiment été au dessus du lot ... dommage pour Vockler qu'il n'aie pas fait rouler dans la vallée...
pour la gagne maintenant et avant l'étape d'aujourd'hui je dis Evans !! Pour une fois il a assumé son role de leader et favori du tour .. ça promet une belle étape aujourd'hui et demain !!
Merci à Vockler de défendre si bien son maillot , ça faisait longtemps qu'on avait pas vu un français si bien placé à 3 jours de la fin , il risque de souffrir dans l'alpes mais qui sait ??

Comme le fait remarquer Boulegan , et en étant pas dupe non plus , le tour cette année parait un peu plus sain ! (j'ai pas dit non plus clean.. )

+1 msiter DFF, cela ressemble a quelque chose de plus "humain" dans la souffrance.
Moi aussi je coche Evans, il a fait le boulot et cela depuis bien longtemps, même la première fois qu'il fait cela, sur le chrono il risque de faire mal, enfin cela dépend de l'étape d'aujourd'hui qui risque vraiment d'être énorme, je suis pas sur pour les schlek sur le podium final , pas assez rouleur pour 42 km de chrono, peut être un truc comme ça, Evans Vockler et Basso à Paris plage.

Direction Europcar pour Hushovd et Chavanel ?

Thor Hushovd réalise actuellement l'un des ses meilleurs Tour de France avec notamment deux étapes dans son escarcelle. En fin de contrat avec la Garmin-Cervélo, il attire la convoitise de nombreuses équipes dont la formation de Jean-René Bernaudeau, la Team Europcar. Le Norvégien serait en tout cas en négociations avec l'équipe vendéenne. Même s'il a montré son intention de quitter la Garmin Cervélo, la piste française n'est pas la seule possibilité du Viking. La BMC Racing Team serait aussi intéressée par les qualités d'Hushovd et pourrait donc rejoindre l'Australien Cadel Evans.

Sylvain Chavanel est aussi sur les tablettes d'Europcar. Après avoir passé trois saisons à la Quick Step, le Champion de France pourrait faire son retour en France et rejoindre son frère Sébastien Chavanel.

Les relations se dégradent entre Cav' et Stapleton

La formation HTC-Highroad s'approcherait-elle de plus en plus de sa fin ? Alors que le manager générél Bob Stapleton laissait paraitre ces derniers jours des signes d'encouragements, il semblerait qu'une mésentente entre lui-même et Mark Cavendish puisse sonner la fin de l'aventure HTC-Highroad. En effet, ces derniers mois, les relations se seraient dégradées entre les deux hommes ces derniers mois selon l'Equipe.

Si bien qu'une collaboration entre Cavendish et Stapleton deviendrait impossible à l'avenir. Et là est bien le problème car le sponsor HTC a bien signifié à Stapleton qu'elle ne prolongeraient assurément pas son sponsoring si Mark Cavendish venait à partir. On peut donc en déduire qu'il ne reste plus que grand nombre d'issues. Soit Stapleton trouve de nouveaux partenaires, et l'aventure continue, soit il n'en trouve pas et l'équipe se dissout probablement.

S.Sanchez : "Le vélo n'est pas une science exacte"


Tout comme son compatriote Alberto Contador, Samuel Sanchez a perdu pied hier dans l'ascension du Galibier. A la peine malgré de bons signes de forme les deux jours précédents, le coureur d'Euskaltel-Euskadi a rétrogradé à la huitième place au général, à 5'20" de Thomas Voeckler, toujours maillot jaune.

"J'ai été un peu étouffé sur le Galibier" explique le champion olympique. "Mais quand tu donnes tout ce que tu as et que tu es quasiment vidé, tu ne peux pas faire plus. Le vélo n'est pas une science exacte, il n'y a rien d'écrit et c'est pourquoi c'est si beau, car c'est imprévisible" relativise-t-il. "Je pense que je devrais être très heureux de la course jusqu'à présent. Nous arrivons au bout, il reste une grosse étape, et il ne faut pas dramatiser. Nous avons gagné une étape spectaculaire et il y a encore des objectifs sur ce Tour, comme d'essayer d'en gagner une autre ou se battre pour le maillot de de meilleur grimpeur."

Il s'est également montré beau-joueur envers ses adversaires luxembourgeois notamment : "Les coureurs de Leopard ont adopté une approche très agressive et on ne peut que les féliciter, ils ont réalisé une bonne journée de vélo. Il leur fallait boulverser le Tour. S'ils voulaient gagner, c'était la seule façon de le faire et ils ont été très courageux" explique-t-il.

"Aujourd'hui, les Schleck ont gagné la bataille. Les autres jours, ce furent Contador et moi-même qui leur ont pris du temps. On doit accepter les choses comme elles viennent et continuer à se battre. Il y a encore deux grandes étapes, dont une historique avec l'Alpe d' Huez, notre travail n'est pas terminé mais c'est déjà un très bon Tour pour nous."

Evans ne digère pas l’attitude des Europcar

« Ce soir, il reste le mieux placé pour être en jaune ». Après la 18e étape du Tour de France, John Lelangue demeurait confiant quant aux chances de succès final de Cadel Evans. L’Australien, lui, était très agacé après l’escalade du Galibier : il avait dû faire toute la montée au train sans l’aide de tout le monde, s’infligeant un effort surhumain. Avec le recul, en écrivant son billet quotidien pour son blog, il ne décolère pas et continue de se demander comment Andy Schleck a pu se forger une telle avance malgré le passage en vallée avant le Col du Lautaret. « La façon dont ils ont pris du temps après Briançon, ça m’a laissé un peu perplexe. Quatre coureurs courant face au vent après avoir déjà fait l’effort pour sortir en échappée et créer un écart, généralement ça ne fait pas le poids face à plus de dix hommes, frais, derrière eux. »

Personne ne voulait bosser. C’est un peu étrange pour un coureur français, en jaune, si près de Paris…

« Manque de cohésion, peut-être », ironise le coureur de BMC, qui sans le dire clairement fustige les équipes Saxo Bank et Euskaltel-Euskadi des leaders espagnols Alberto Contador et Samuel Sanchez : « Cela expliquerait certains résultats du contre-la-montre par équipe ». Grâce à Steve Morabito et avec le retour d’un Amaël Moinard sujet à des problèmes de vélo dans l’Izoard, Cadel Evans a pu stabiliser l’écart avant de se charger lui-même de le réduire d’une minute et demie sur le Galibier. Sans l’aide de personne. Ainsi, l’ancien vététiste se paye les Europcar : « Personne ne voulait bosser. C’est un peu étrange pour un coureur français, en jaune, si près de Paris… Et avec également une chance pour le maillot blanc (il parle de Voeckler et Rolland, ndlr). »

« Sans l’aide de Voeckler, cela me mettait en situation d’échec, d’autant plus avec le vent », poursuit-il. Cadel Evans a jugé qu’avec le vent, il n’aurait pas eu intérêt à attaquer et faisait mieux de grimper avec les autres, au prix d’un « relais de… neuf kilomètres. » Son résumé des apports extérieurs s’apparente à une liste de griefs : « Basso a roulé quelques secondes, et je crois que le gars d’Europcar, qui aurait pu prendre le maillot blanc aujourd’hui (Rolland, ndlr), a également pris un relais. »

Thomas Voeckler : "Je vais me battre"

La scène, personne n'aurait osé l'inventer trois semaines avant. Au pied du Galibier, Cadel Evans se retourne vers Thomas Voeckler, tout de jaune vêtu, et lui demande un coup de main pour aller chercher ce diablotin d'Andy parti bousculer l'Histoire et la hiérarchie. L'Alsacien, poli mais ferme, secoue le casque de façon négative. Pas question M. Evans, c'est à vous de jouer… L'autre fulmine mais reprend les rênes, la course de sa vie est en jeu. Tant pis pour la fatigue, ce n'est plus le moment de jouer au petit malin.

Un peu plus tard, l'Australien n'a toujours pas quitté la barre. Les dégâts sont considérables. Dans la poubelle du camion, on retrouve pêle-mêle Samuel Sanchez, Alberto Contador, Robert Gesink, Jelle Vanendert, Rigoberto Uran, Jean-Christophe Péraud, Kevin De Weert… Que du beau, que du lourd, mais pas Thomas Voeckler.

Au moment où Frank sort pour aller compléter cette belle après-midi en famille par une ravissante deuxième place, l'ancien champion de France ne peut pas suivre, mais il se bat jusqu'au bout pour sauver cette tunique qui est quand même un peu la sienne.

Il a les cannes en vrac

Dans le même geste que celui du Plateau de Beille il y a sept ans, le poing gauche levé, dans la lumière d'un des derniers rayons de la journée, il fête brièvement ce nouveau pied de nez aux pronostics et à la raison.

« Je ne peux pas garantir grand-chose, dira plus tard le héros de l'été 2011 (quoiqu'il arrive, ce maillot là, il est à lui), mais ce que je peux garantir, c'est que je vais encore me battre, jusqu'au bout… »

Avec son compère Pierre Rolland (« il ne voulait pas me croire mais je disais à Thomas : regarde, il n'y en a qu'un ou deux qui sont mieux que nous, on continue… ») désormais deuxième au maillot blanc à trente-trois petites secondes du nouveau leader Taaramae, le leader d'Europcar (et du Tour) a parfaitement géré cette terrible étape, celle là-même qui devait sceller sa perte.

« Bon, c'est clair que pour demain, j'aurai les cannes en vrac, j'espère juste que je ne serai pas le seul ! »

Cadel Evans



Tour de France

2005 : 8e
2006 : 4e
2007 : 2e, vainqueur de la 13e étape
2008 : 2e, maillot jaune pendant 5 jours
2009 : 30e
2010 : 26e, maillot jaune pendant 1 jour
2011 : vainqueur de la 4e étape

Thomas Voeckler



Tour de France

2003 : 119e
2004 : 18e, Maillot jaune porteur du maillot jaune pendant 10 étapes
2005 : 124e
2006 : 89e
2007 : 66e
2008 : 97e
2009 : 67e, vainqueur de la 5e étape
2010 : 76e, vainqueur de la 15e étape
2011 : ?e, Maillot jaune porteur actuel du maillot jaune depuis 10 étape

Cherchez l'erreur

Kenzo a écrit :Cherchez l'erreur [/b]

Y a pas d'erreur à proprement parlé.
Les années passées et cette année encore, il était la configuration du baroudeur plus enclin à viser une étape que le général.
Cette année, un fait de course le propulse en tête du général, du coup, il se bagarre pour défendre son maillot et il y arrive plutôt bien, c'est un bon grimpeur, léger, pas de la trempe des Schleck ou de Contador mais cette année, ça suffit à faire illusion, il marche bien depuis le début de saison, il n'a pas fait le Giro, c'est un type qui sait souffrir au-delà la moyenne, il atteint sa pleine maturité physique, enfin, voilà, je ne vois rien de suspicieux...

Kenzo a écrit :Cadel Evans



Tour de France

2005 : 8e
2006 : 4e
2007 : 2e, vainqueur de la 13e étape
2008 : 2e, maillot jaune pendant 5 jours
2009 : 30e
2010 : 26e, maillot jaune pendant 1 jour
2011 : vainqueur de la 4e étape

Une belle regularite... surtout en considerant que ses 2 resultats en dehors des 10 premiers sont plus lies a des evenements exterieurs qu'a une baisse de son niveau (gros problemes relationnels chez Loto en 2009 et chute et blessure en 2010)

Par contre on annonce Gilbert chez BMC l'an prochain. Avec le tour qu'ils ont fait cette annee chacun dans leur registre, il y a fort a parier qu'ils voudront tous les 2 etre au depart en 2012 avec de grosses ambitions. Et soutenir Gilbert et Evans, ca va pas etre simple pour l'equipe.

Boulegan a écrit :

Kenzo a écrit :Cherchez l'erreur [/b]

Y a pas d'erreur à proprement parlé.
Les années passées et cette année encore, il était la configuration du baroudeur plus enclin à viser une étape que le général.
Cette année, un fait de course le propulse en tête du général, du coup, il se bagarre pour défendre son maillot et il y arrive plutôt bien, c'est un bon grimpeur, léger, pas de la trempe des Schleck ou de Contador mais cette année, ça suffit à faire illusion, il marche bien depuis le début de saison, il n'a pas fait le Giro, c'est un type qui sait souffrir au-delà la moyenne, il atteint sa pleine maturité physique, enfin, voilà, je ne vois rien de suspicieux...

Si tu le dis

Le match Schleck-Evans promet beaucoup cet après midi, avantage aux frères à Franck qui peuvent vraiment controller la course tactiquement, mais j'ai un faible pour Evans et sa régularité, hier il a été classe, reprendre 1'30 seul dans la montée ce n'est pas rien, l'étape sera explosive et tactiquement passionante.
Je ne pense pas que Voeckler suive ce coup ci, mais s'il le fait ce sera un héros, définitivement.
Et on est pas à l'abri d'un coup d'orgueil de Contador, Sanchez ou Basso.

Par contre, je trouve que ce tour montre - pour les francais - les limites (voire le manque de logique) du classement UCI ou seuls les resultats des coureurs d'equipe Pro-Tour sont pris en compte pour le classement des nations.

Si le tour s'arretait aujourd'hui, c'est a dire avec:
- 1er (200pts) Voeckler
- 10eme (50ts) Peraud
- 12eme (30pts) Rolland
- 17eme (10pts) Coppel
- 18eme (8pts) Jeannesson
ca ferait 50pts puisque seuls les resultats des coureurs d'equipe pro-tour comptent. Avoir 5 coureurs dans les points, dont le vainqueur, rapporterait a la France a peine plus que la colombie (Uran 15eme - 16pts) et moins que les US (Danielson 9eme - 60pts) par exemple.
On remplace ces 5 noms par Chavanel - Peraud - Gadret - Dupont et Di-Gregorio et ca fait 298pts...

Les FDJ echappes tous les jours auraient bien pu remporter 3 ou 4 etapes, seules les quelques places de Romain Feuillu vont rapporter des points UCI.

Pourtant aux championnats du Monde, on n'emmene pas que des coureurs qui courent en pro-tour. Donc pourquoi une nation avec de nombreux bons coureurs evoluant en continentale devrait-elle etre derriere une nation avec 1 ou 2 tres bon coureurs en pro-tour, et donc avoir 5 dossards au lieu de 9?
Comme si le fait que - pour reprendre l'exemple ci-dessus - avoir Chavanel, Gadret, Dupont et Di-Gregorio en tete des classements etait plus revelateur du niveau de la France que d'avoir Voekler, Rolland, Coppel et Jeannesson.

Cette annee en Septembre, on pourrait avoir Voeckler - qui aurait du marquer de gros points sur le Tour - leader d'une equipe de France avec seulement 4 equipiers, parce que la France n'a pas assez de points !! Un comble... (meme s'il termine 5eme c'est encore 100 points. Sachant que les dernieres places pour avoir une equipe de 9 se sont jouees a quelques points l'an dernier, meme ca c'aurait ete un avantage enorme)

geoffroy a écrit :Le match Schleck-Evans promet beaucoup cet après midi, avantage aux frères à Franck qui peuvent vraiment controller la course tactiquement.

Oui enfin tactiquement, on a vu sur les 3 derniers tours de France qu'ils pouvaient faire beaucoup de choses Controller, effectivement. Mais aussi parfois - et plus souvent - faire a peu pres n'importe quoi.
Mais en tout cas ils sont dans une position favorable (s'ils ont les jambes). Evans aura du mal a aller les chercher a tour de role. La solution pour lui serait donc d'attaquer en premier pour pouvoir ensuite montrer sur un rythme rapide mais regulier. Mais se debarasser des 2 frangins, c'est pas encore fait...

geraud a écrit :

Kenzo a écrit :Cadel Evans



Tour de France

2005 : 8e
2006 : 4e
2007 : 2e, vainqueur de la 13e étape
2008 : 2e, maillot jaune pendant 5 jours
2009 : 30e
2010 : 26e, maillot jaune pendant 1 jour
2011 : vainqueur de la 4e étape

Une belle regularite... surtout en considerant que ses 2 resultats en dehors des 10 premiers sont plus lies a des evenements exterieurs qu'a une baisse de son niveau (gros problemes relationnels chez Loto en 2009 et chute et blessure en 2010)

sauf que les années 2005 à 2008, là y a pas photo, c'était le dopage à fond les manettes dans le tour...aujourd'hui, cela semble moins certain....

quelles sont vos pronostics pour l'étape de cette aprem ?

Hier plus de la moitié du peloton était hors délai !

Aujourd'hui, est ce que le jury sera aussi sympa ?