kent a écrit :Au nom de quel PRIVILEGE notre sport serait épargné par le dopage ?
Il ne s'agit pas d'un privilège, mais d'une différence de culture, d'une différence de sommes en jeu, d'une différence de rapport à la nature et au corps, d'une différence historique et sociale de la pratique... toutes ces petites différences changent bcp la donne.
Mais il ne tient qu'à nous de répandre dans la tête des plus jeunes et des plus faibles que le dopage est omni-présent
Il est présent, c'est une évidence et les faits le prouvent.
Maintenant personne ne pense encore une seconde que l'on gagne le TdF, la Vuelta ou le Giro à l'eau claire. Or on a toutes les raisons de penser que des IM (voir Hawaï) se gagnent encore à l'eau claire... ça fait encore une sacrée nuance
Je suis farouchement opposé au fait de fermer les yeux sur le dopage dans le tri et ailleurs mais à n'avoir les yeux que focalisés là-dessus, voire à utiliser le miroir grossissant pour appréhender ce phénomène, il ne me semble pas que l'on fasse reculer quoi que ce soit

Ouvrons l'oeil et le bon

Et comparons ce qui est comparable car le nombre de contrôles ne veut rien dire, la proportion de positifs non plus. Tout dépend de comment l'on cherche, de ce que l'on cherche et des motivations qui entourent la recherche (rassurer la société organisatrice, le public ou préserver son sport et le faire perdurer)
Nick ontrôles sanguins de l'AFT
