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Voekler a grimpé le plateau de Beille 4 minutes plus vite que son temps en 2004 alors qu'il défendait son maillot jaune contre LA.

source: http://53x12.com/do/show?page=indepth.view&id=122

on dirait le fils à Robic !

les Schelk craignent les descentes
http://www.lequipe.fr/Cyclisme/breves20 ... nfers.html

En effet, si ils sont au même niveau que l'an passé, mains sur les cocottes(surtout Andy)

les corsaires , ils partent à l'abordage avec le couteau entre les dents , lui c'est avec les lunettes .
allez Thomas quand même ! si il gagne , je vais sur les Champs avec mon grand drapeau bleu-blanc-rouge .
c'est plus motivant qu'un défilé du 14 juillet sarkosyste !

quand j'entends ses ITW j'ai l'impression que c'est mon gars Bruno Lochet !
http://www.youtube.com/watch?v=ncmC7DMzlME

la météo allié de Voeckler ?
Moser a gagné un Giro comme ça
http://www.leparisien.fr/societe/pieges ... 535866.php

Aujourd'hui



Allez moi je dis Philippe Gilbert

La deuxième vie de Jean-Patrick Nazon



Actuellement sur le Tour de France, Jean-Patrick Nazon n’aura guère le temps de souffler avant de prendre ses nouvelles fonctions.

«Ça a été court et intense. » Jean-Patrick Nazon aura mené sa formation en gestion des unités commerciales comme il se comportait dans le final des étapes. Regard droit devant et farouche volonté de réussir. Le mardi 12 juillet, le Spinalien a bouclé son cursus par la soutenance de son rapport de stage. L’espace de quelques heures, il s’est ainsi absenté de la Grande Boucle - il y conduit les invités de chez Brandt - qui se trouvait dans le Massif Central. Direction Epinal et l’IPC (Institut de promotion commerciale). Mais le jeu en valait la chandelle. Avec l’équivalent d’un diplôme Bac + 2 en poche, l’ancien professionnel, 34 ans, va faire son entrée dans la vie active.

A compter du 9 août, il sera le responsable du rayon Cycles du magasin Décathlon de Saint-Dié. Deux ans et demi après la fin de sa « première » carrière, il va entamer la seconde. Avec l’enthousiasme d’un jeune coureur. « Je me sens comme un néo-pro et j’ai vraiment hâte de découvrir ce qui m’attend. Pour en arriver là, j’ai fait énormément de sacrifices et j’étais prêt à mettre ma fierté de côté. » Comme nombre d’anciens coureurs, Jean-Patrick Nazon a mis quelques mois à tourner la page. « Arrêter sa carrière, c’est un vrai bouleversement et tu ne peux pas enchaîner tout de suite sur autre chose. Mon contrat chez AG2R a pris fin le 1 e janvier 2009 et pendant un an et demi, je me suis cherché, j’ai bricolé. J’ai préféré me reconvertir dès 32 ans plutôt que de vivoter. »

Jean-Patrick a tout simplement dû réapprendre la vraie vie. Auprès de sa femme et ses deux enfants. Car il avait embrassé la carrière cycliste de bonne heure. « Je n’ai couru qu’une saison parmi les espoirs. J’ai arrêté l’école à dix-huit ans et demi avec un BEP Vente en poche. Les cours se terminaient en juin et j’ai signé pro à la Française des Jeux en juillet… » C’est ce qui s’appelle entrer dans le vif du sujet. Mais le retour à la réalité est d’autant plus brutal surtout quand, comme Jean-Patrick, on a inscrit quelques belles lignes à son palmarès (1). Et qu’on est monté très haut. « Durant la première année, j’en ai profité. Puis à un moment, j’ai fini par savoir où je voulais aller. » Car le gaillard n’est pas du genre à rester inactif.

Rapidement, l’idée de reprendre ses études a germé dans son esprit. « J’ai vu une annonce dans le journal pour une formation à l’IPC et finalement, j’y suis entré pour une autre ! » En moins d’un an, l’objectif a été atteint : acquérir des compétences supplémentaires. L’élève Nazon s’est montré assidu. « J’avais 35 h de cours par semaine et pas mal de travail à la maison. Je n’ai pas vraiment eu le temps de m’éparpiller. » Sa formation l’a également aidé sur un plan personnel. « Elle m’a permis de reprendre confiance en moi. J’en avais un peu marre du vélo et j’avais l’impression d’en avoir fait le tour. J’ai préféré me reconvertir dès 32 ans plutôt que de vivoter. J’ai hâte de mettre en pratique tout ce que j’ai appris ! »

Mais jamais il n’aurait pensé trouver du travail, sitôt sa formation achevée. A force de multiplier les CV et de traîner dans des Salons de l’Emploi, le Vosgien a fini par avoir une touche avec Décathlon. « Il a fallu provoquer le truc. » Car s’il a décroché rapidement son premier emploi, il ne le doit pas uniquement à son passé cycliste. « Avant d’être embauché, j’ai dû passer trois entretiens. » Il s’est aussi beaucoup renseigné auprès de Cyril Saugrain. « On a eu pas mal d’échanges téléphoniques », précise-t-il au sujet de l’ancien professionnel, vainqueur d’une étape sur le Tour 1996 et qui occupe désormais un poste à grosses responsabilités chez Décathlon. Dans trois semaines, Jean-Patrick Nazon sera amené à diriger une équipe de 5 à 6 personnes. « J’ai hâte de mettre en pratique tout ce que j’ai appris ! » Droit devant.

Bernaudeau : « Il y a tout à faire »



Jean-René Bernaudeau savoure et promet que Thomas Voeckler va tout faire pour défendre son maillot jaune.


Jean-René Bernaudeau se régale. Le patron de l’équipe Europcar savoure la réussite de son leader, bien entouré depuis qu’il est en jaune. Mais « JR » sait que le plus dur reste à faire pour Thomas Voeckler.

Etes-vous surpris par la performance de Thomas Voeckler ?

« Non, pas vraiment. On l’avait déjà fait en 2004 (pendant dix jours). L’an passé, on avait gagné une étape et remporté le maillot à pois (pour Anthony Charteau) : notre Tour était réussi. J’avais dit avant le départ que l’on pourrait réussir celui-ci sans victoire. »

Peut-il gagner le Tour ?

« Je ne peux pas répondre. Je vous dis simplement que notre Tour est déjà réussi et que Thomas va tout faire pour défendre son maillot. »

C’est un leader-né ?

« Oui, il a l’âme d’un leader même s’il ne l’est pas sur toutes les courses. Il ne revendique pas le statut de leader mais c’est un gars bien qui montre toujours l’exemple : toujours à l’heure, poli avec le public, les hôteliers. Il tire toute l’équipe vers le haut. C’est un grand coureur, brillant intellectuellement qui sait gérer et court toujours juste. Tout est maîtrisé chez lui. »

Votre équipe est-elle assez solide pour l’aider à défendre son maillot lors de cette dernière semaine dans les Alpes ?

« Toute l’équipe assure et sera à la hauteur. Il nous manque Christophe Kern qui devait être notre leader pour le général (6 re du Dauphiné et champion de France du contre-la-montre qui a abandonné lors de la première semaine à cause d’une tendinite, ndlr). Chacun a un rôle à jouer. Il y a d’abord les quatre gars qui travaillent dès le coup de pistolet. Perig Quemeneur, on ne voit peut-être pas dans la dernière heure mais s’il ne bossait pas comme ça dans la première heure, on ne serait jamais comme ça dans le final. Yohann Gène fait quelque chose de très fort. Pour la montagne, on peut compter sur Pierre Rolland et Anthony Charteau qui, j’en suis sûr, va faire une grande traversée des Alpes. »

Etes-vous bercé dans une forme d’euphorie ?

« Non, ça ne change rien pour mon travail. Il faut rester humble. Il y a tout à faire. On reste concentrés. Le Tour se fait dans les Alpes et se perd dans les Alpes. Notre sponsor est très heureux qui avait le choix de sauver notre équipe (en août 2010). Nous avions failli disparaître. Cela donne une force supplémentaire à tout le monde. Ce qui ne tue pas nous rend plus fort. »

L'arme secrète du vainqueur du Tour?

Dans les épreuves sportives comme le Tour de France, les écarts entre le vainqueur et ses concurrents peuvent être très serrés. Au final, chaque seconde et chaque détail comptent. A côté de la mécanique et de l'aérodynamique, un autre facteur apparaît comme incontournable: non pas le dopage, comme marmonnent les mauvaises langues, mais bien la nutrition des coureurs. Une nouvelle arme secrète, étonnante mais tout à fait autorisée, pourrait avoir été découverte.
Une étude de l'Université d'Exeter publiée dans le journal "Medicine and Science in Sports and Exercise" a démontré que consommer du jus de betterave permet aux cyclistes d'améliorer leurs performances sur une distance donnée.

Neuf cyclistes de haut niveau ont été soumis à deux épreuves, longues de 4 et 16 kilomètres, qu'ils ont dû parcourir deux fois, l'une en ayant bu un demi-litre de jus de betterave normal, l'autre en ayant bu un demi-litre de jus de betterave dont l'ingrédient-clé qu'est le nitrate avait été retiré.

Le résultat des courses a montré qu'à effort égal, la puissance mesurée en watts était plus grande quand les cyclistes avaient ingurgité du jus de betterave normal, suggérant un meilleur rendement des muscles et du système cardio-vasculaire des participants. En moyenne, les coureurs ont signé un temps amélioré de 11 secondes (2,8%) sur le parcours de 4 km et un temps amélioré de 45 secondes (2,7%) sur le parcours de 16 km.

"Ces découvertes montrent une amélioration qui, en compétition, pourrait faire une vraie différence, particulièrement pour un événement comme le Tour de France, où les écarts déterminants peuvent être serrés", a souligné le Professeur Andrew Jones, auteur principal de l'étude.

Le jus de betterave est une source naturelle de nitrate, qui a deux effets physiologiques: la dilatation des vaisseaux, qui réduit la pression sanguine et permet une meilleure circulation, et un effet sur les tissus musculaires, qui réduit la quantité d'oxygène demandée par les muscles au cours de l'activité. La combinaison des deux a un impact significatif sur les tâches physiques, quelle que soit leur intensité.

contador est au dessus là

Ca a bougé...
J'espère qu'Evans n'a pas grillé des cartouches aujourd'hui.
Contador, bah, la journée de repos et le barbecue "100 % viande espagnole" lui ont fait du bien

enfin la bagarre ! plus belle étape jusqu'à présent
Evans-Contador-Sanchez les+ forts
on va voir si les frères Schelk ont des cojones en attaquant
Voeckler se bat , mais est un poil en dessous