T.K a écrit :Ullrich prenait 10 à 15 kg l'hiver

Fin dec, il était généralement limite obèse, c'était impressionnant.
T.K a écrit :Ullrich prenait 10 à 15 kg l'hiver
Oui, Ullrich atteignait généralement son poids de forme... à la fin du Tour de France.débutant a écrit :T.K a écrit : Ullrich prenait 10 à 15 kg l'hiver![]()
Fin dec, il était généralement limite obèse, c'était impressionnant.
Oui, mais chargé comme une mûlasse, cela le rend plus lourd, le sort de la catégorie "domestique" et tout le monde est d'accord !T.K a écrit : Il suffit de voir la crevette que c'était sur le podium , aucun bras , des jambes affinées , c'est très très loin de 76kg pour 1m77.
effectivement, on aurait pas du le cibler.T.K a écrit :ceux qui deviennent miraculeusement des champions à 25 ans sont à cibler .
Lance a une trajectoire tout à fait linéaire , il n'y a que cela qui est parlant .
Oui pour Siméoni je me suis fait la même reflexion que toirswrc a écrit :RIen de bien neuf dans ce complément d'enquète au final.
Lance est un gros tricheur c'est sur , mais ce que j'ai noté c'est Laurent ROUX aurait bien avoir aimé les mêmes produits que Lance, qu'Hamilton a bien dit qu'on ne l'avait jamais forcé à se doper d'ailleurs chez CSC et Phonak il a continué , que Siméoni a subit les foudres de LA mais qu'il se chargeait aussi bref ça confirme ce que j'ai toujours pensé , à cette époque des coureurs réglos il ne devait pas y en avoir des masses...donc LA était le meilleur des dopés .
Sympa de voir motoman à la télé![]()
quel argument plus sérieux veux-tu que de regarder toute la carrière sportiveAkunamatata a écrit :effectivement, on aurait pas du le cibler.T.K a écrit :ceux qui deviennent miraculeusement des champions à 25 ans sont à cibler .
Lance a une trajectoire tout à fait linéaire , il n'y a que cela qui est parlant .![]()
Je comprends tout a fait que tu puisses trouver que Lance soit un champion dans son domaine (professionalisme, perfectionnisme, nouvelles methodes d'entrainement , story telling, marketingetc...), mais il faut le défendre avec des arguments plus sérieux.
La même chose exactement pour Lance et pour Cadel Evans ; pour Lance ça donne 5,7 watts/kg et pour Cadel 6 watts/kg. Tu saisis la différence ?T.K a écrit :que valent ces calculs d'avant-saison .
Moyenne des poids mesurés par le Dr Porte au début du tour : 76kg.T.K a écrit : le poids début de saison est plus faible ,
le poids au départ du Tour encore plus ,
C'est évident.T.K a écrit : au bout d'une semaine de Tour avant d'aborder la montagne , encore plus .
en fin d'étape dans la bataille , encore plus .
par exemple , -3 à 4 kg à la fin d'un IM pour moi .
Je me suis fait exactement la même réflexion pour Roux. C'est hallucinant, le mec avoue qu'il prend le départ de l'étape en étant chargé et malgré ça peste d'avoir été battu par Armstrong, "mieux" dopé que luikimaswan a écrit :Benoit Joachim le dit, Ferrari avait vu que pour lui le dopage ne serait pas intéressant (bon, on a aussi l'impression qu'il se moque du monde puisqu'il a été contrôlé positif en 2000) donc tout le monde n'était probablement pas dopé. On voit rapidement que les tests de Ferrari servaient à voir celui dont le corps réagirait positivement au dopage. Ce qui confirme l'idée que les meilleurs dopés ne sont pas les meilleurs sans dopage. Certains réagissent mieux au dopage que d'autres qui n'ont pas forcément grand intérêt à se doper (rien qu'en terme de coût).
Et c'est vrai que la réaction des coureurs est une sorte de jalousie nauséabonde (Siméoni et surtout Roux qui est hallucinant en disant qu'il en veut à ceux qui l'ont volé!!!!!!!!!!!!!!! Énorme, le gros foutage de gueule!!!!!) et cela montre qu'au fond, les mecs sont complètement bouffés et n'ont aucun regret sinon que celui ne pas avoir été voir Ferrari en premier. Bref, le dopage n'est pas prêt de disparaître et ça montre bien les limites du soi-disant cyclisme clean actuel qui n'a probablement qu'une longueur d'avance sur la lutte anti-dopage malgré les envolées lyriques de certains "qui ne se doperaient pour rien au monde" tout en avouant qu'au début de leur carrière pro, ils rentraient chez eux fatigués mentalement et se tapaient un pack de bière jusqu'à l'ivresse (Wiggins) ce qui est la première bascule logique vers le dopage, ou encore Millar par exemple qui ne voit aucune contradiction entre s'avouer dopé et continuer ensuite le cyclisme alors qu'il continue à en tirer profit encore aujourd'hui.