Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Publié : 10 mai 2016, 08:04

sympa le brushing

Autrement sur le Tour de Gila (America Tour 2016)

...

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Si tu te fais piéger c'est que tu es mal placé. Quand tu joues un top 5, c'est une faute, tu doit être devant. Quand au profil grimpeur, faut arrêter ces vieilles croyances, Froome est taillé comme une épaule de serpent et roule comme Tony Martin. Quintana, Pinot ont fait d'énormes progrès en CLM, ils peuvent raccrocher une roue si par malheur ils ont laissé quelques mètres dans une bordure. Quant à Valverde, il s'est déjà fait piéger deux fois, pour un roublard comme lui, c'est assez surprenant, surtout pour un vainqueur de classiques....tridan a écrit :faute professionnelle quand un coureur est piégé par une bordure me semble un peu excessif. le principe de la bordure, c'est qu'il n'y a pas de la place pour tout le monde, il y a forcément des coureurs piégés. Sur la 2ème étape du TDF l'an dernier, les bordures ont commencé à 100 km de l'arrivée. Dans le 1er groupe à Zélande, il n'y avait que 24 coureurs, et seulement Contador, Froome, Uran et Barguil parmi les candidats au général. à 1'30" derrière, il y avait Nibali, Valverde, Quintana, Pinot, Bardet, Peraud, Martin, Porte entre autres. La bordure, c'est un exercice de style, les profils grimpeur 60-65 kg sont pas trop dans leur domaine ...FAYARD a écrit : Perdre du temps sur une bordure, hors cas d'ennuis mécanique ou chute, c'est clairement une faute professionnelle. Quand tu as des ambitions pour un podium ou un top 5/10, tu ne dois pas te faire piéger par cet aspect technique de la course en ligne sur des terrains plats...Aprés pour les pavés, il y a clairement une part de chance...
il travaille pour Velonewswave33 a écrit :Bonjour
Kenzo c 'est qui Dan Wuori
super les photos ,je ne suis pas sur que le gars en VTT pense la même chose
C'est clair, quand tu es un leader, tu ne subis pas la course, tu la contrôle, sinon tu te fais piéger.Tarmac a écrit :La question des bordures me rappelle l'antagonisme entre Lance et Pistolero sur le TDF. Ce dernier s'était fait piégé naïvement, et Lance lui rétorquait que pour un favoris qui jouait la gagne, il se devait d'être à l'affût à contrôler et non à subir.
En définitive, ça peut arriver de se faire piéger, mais ça fait désordre. On peut ne pas aimer Lance, mais de ce point de vue, c'était un pro qui contrôlait toutes les variables de la course, la bordure en est une.
Je n'ai jamais dit que tu pouvais rentrer seul, juste que les meilleurs peuvent combler quelques mètres de retard, au cas où ils auraient manquer d'attention, ce qui peut arriver même aux meilleurs mais de là à te retrouver piéger parce que tu es en milieu de peloton alors que les étapes à bordure sont annoncées par tout le monde, c'est une erreur impardonnable à ce niveau. On avait beaucoup critiqué Pinot pour ses descentes catastrophiques, il a réglé le pb et depuis il ne craint plus rien. Les bordures c'est pareil...tes équipiers sont autours de toi en tête du peloton et ils doivent surveiller en permanence les autres équipes qui sont prêtent à te piéger...wave33 a écrit : Je pense , je peux me tromper , que tu n'as pas bcp subis de bordure dans carrière , certes rouler derrière n 'est pas recommandé mais le propre du vent, des bordures ou tout autre aspect du terrain est de "piéger" l'adversaire et les leaders ont des coéquipiers pour éviter cela .
A 50-55 km/h dans le vent et les bordures même Tony martin seul ne rentre pas , les DS contrôle le vent en permanence , le vélo c'est de la voile .(d'ou l 'abris , d'ou le fait de remonter a droite ou gauche etc..)
L'intelligence de course
FAYARD a écrit :C'est clair, quand tu es un leader, tu ne subis pas la course, tu la contrôle, sinon tu te fais piéger.Tarmac a écrit :La question des bordures me rappelle l'antagonisme entre Lance et Pistolero sur le TDF. Ce dernier s'était fait piégé naïvement, et Lance lui rétorquait que pour un favoris qui jouait la gagne, il se devait d'être à l'affût à contrôler et non à subir.
En définitive, ça peut arriver de se faire piéger, mais ça fait désordre. On peut ne pas aimer Lance, mais de ce point de vue, c'était un pro qui contrôlait toutes les variables de la course, la bordure en est une.
Je n'ai jamais dit que tu pouvais rentrer seul, juste que les meilleurs peuvent combler quelques mètres de retard, au cas où ils auraient manquer d'attention, ce qui peut arriver même aux meilleurs mais de là à te retrouver piéger parce que tu es en milieu de peloton alors que les étapes à bordure sont annoncées par tout le monde, c'est une erreur impardonnable à ce niveau. On avait beaucoup critiqué Pinot pour ses descentes catastrophiques, il a réglé le pb et depuis il ne craint plus rien. Les bordures c'est pareil...tes équipiers sont autours de toi en tête du peloton et ils doivent surveiller en permanence les autres équipes qui sont prêtent à te piéger...wave33 a écrit : Je pense , je peux me tromper , que tu n'as pas bcp subis de bordure dans carrière , certes rouler derrière n 'est pas recommandé mais le propre du vent, des bordures ou tout autre aspect du terrain est de "piéger" l'adversaire et les leaders ont des coéquipiers pour éviter cela .
A 50-55 km/h dans le vent et les bordures même Tony martin seul ne rentre pas , les DS contrôle le vent en permanence , le vélo c'est de la voile .(d'ou l 'abris , d'ou le fait de remonter a droite ou gauche etc..)
L'intelligence de course
Et comme tu le dis, c'est l'intelligence de course, donc quand tu te fais avoir, c'est que tu as fait une erreur...
fabraf a écrit :"Jusque dans les années 90 un favori pouvait perdre 2 mn une journée et se refaire le lendemain"
Ah le bon vieux temps ! C'est vrai qu'avant les courses sur les Grands Tours étaient plus disputées. Je me rappelle dans les 90's quand Indurain a gagné, qu'est-ce que c'était spectaculaire, puis quand... Indurain a gagné (encore) puis quand... Indurain a gagné (toujours) puis quand la Deustche Telekom écrasait tout puis quand Armstrong a commencé son règne... Finalement, non ce n'était pas mieux avant ! Au contraire