Silver0l a écrit :Christian Robin a écrit :eric d a écrit :c'est ca, ou les mines d'uranium.
Vrai ! un volant d'inertie de machine à nager en uranium, ce serait...nickel. Une mine d' idées à creuser également pour les roues de vélo: je me rappelle qu'Eric T ( Tabarly) avait lesté la quille de son Pen Duick avec ce métal. Jean Pierre Dick aurait été bien inspiré de faire la même chose dans le Vendée Globe...

Ouais enfin l'uranium c'est intéressant surtout pour la masse volumique très élevée. Donc c'est bien pour une quille (dont on cherche à abaisser le centre de gravité) ou pour un volant d'inertie, mais pour une roue de vélo? Ou alors sur parcours très plat et sans relance, pour rouler comme un train et ne plus s'arrêter une fois lancé...
Je crois que j'ai une solution!
Imaginons une roue avec une jante comportant un réseau interne relié à un système réfrigérant (type congélateur). Sur le profil extérieur, une double peau étanche en caoutchouc relié à un système pneumatique (type bord d'attaque d'avion anti givrage). On fait passer les fluides par le moyeu et on monte les réservoirs et les pompes dans le cadre profilé et on relie le tout à des commandes au guidon.
Sur le plat, on remplit les jantes de liquide réfrigérant, ce qui va condenser l'humidité de l'air puis la transformer en glace! On augmente l'inertie de la roue à souhait.
Dès qu'on approche d'une montée, on gonfle le boudin qui fait péter la glace et ZOUUUUU!!!!! supra vitesse en montée!

... en partant du principe que tout le bousin supplémentaire ne fasse pas 20 kg.
Attention ce procédé serait inefficace dans le désert de l'Atacama, humidité quasi nulle.
Quand aiguille de sapin tomber dans forêt, aigle la voir, cerf l' entendre, ours la sentir! Hugh!... Mr Belette lui, calcule son Cx...