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Le but ultime est plutôt la réussite , mais c'est beaucoup plus compliqué , et en plus n'empêche en rien le bonheur .

Après on fait avec les moyens du bord !

La réussite ne veut rien dire.
Pour certains c'est se faire un max de blé, pour d'autres avoir le métier de ses rêves même si le salaire est moins élevé, pour d'autres avoir une vie de famille équilibrée, ou au contraire être le parfait Yuppie...
Chacun a SA vision de la réussite, qui contribue ou non à son bonheur d'ailleurs.
En sport, j'ai arrêté un sport où j'étais dans le TOP 100 français pour me mettre à un sport où je ne suis rien et j'en suis très heureux.

ironturtle a écrit :En sport, j'ai arrêté un sport où j'étais dans le TOP 100 français pour me mettre à un sport où je ne suis rien et j'en suis très heureux.

Dans tous les sports que je pratique, je suis de loin le meilleur... de mon immeuble...

d;-)

Je reste le meilleur chez moi. En même temps je suis le seul à faire du tri dans la maison

ironturtle a écrit :La réussite ne veut rien dire.
Pour certains c'est se faire un max de blé, pour d'autres avoir le métier de ses rêves même si le salaire est moins élevé, pour d'autres avoir une vie de famille équilibrée, ou au contraire être le parfait Yuppie...
Chacun a SA vision de la réussite, qui contribue ou non à son bonheur d'ailleurs.
En sport, j'ai arrêté un sport où j'étais dans le TOP 100 français pour me mettre à un sport où je ne suis rien et j'en suis très heureux.

Un SDF peut être heureux , pourtant à t il réussi ?

La réussite appelle quand même une certaine performance à mon sens . Ton top 100 est une réussite pour moi , le triathlon a fait ton bonheur ( mais es tu si mauvais ? )

Ce que je conteste est que le but ultime soit la réussite, en tout cas avec ce que les gens mettent derrière le mot réussite. Car en général ils assimilent réussite à matérialisme, pognon, haut du panier social...
Et tout ça n'est pas fatalement bonheur pour moi.
Pour revenir au sport je suis beaucoup plus heureux et même fier de ce que j'ai fait en triathlon qu'en squash. En même temps j'ai réalisé les 2 objectifs que je m'étais fixés, gagner dans mon GA une course à saucisson (mais une vraie de vraie à saucisson ) et faire Hawaii.
Après, mauvais ça veut dire quoi? Il y a toujours des mecs devant moi mais aussi toujours des mecs derrière.

de la thune à l'infini

Pour en faire quoi? T'acheter des bibelots et des putes?

simplement éviter de bosser et faire ce que je veux

Alain Soral il a eu quoi à Noel ?

Dieudonné l'intégrale (10 dvd)

j'ai déjà les 10 dvd
le mug "ferme la à tout jamais" blanc
le tshirt quenelle épaulée noir

je lorgne sur ça (mais c'est 15€ foutage de gueule ) :

ironturtle a écrit :La réussite ne veut rien dire.
Pour certains c'est se faire un max de blé, pour d'autres avoir le métier de ses rêves même si le salaire est moins élevé, pour d'autres avoir une vie de famille équilibrée, ou au contraire être le parfait Yuppie...
Chacun a SA vision de la réussite, qui contribue ou non à son bonheur d'ailleurs.
En sport, j'ai arrêté un sport où j'étais dans le TOP 100 français pour me mettre à un sport où je ne suis rien et j'en suis très heureux.

Ah non comparer les sensations entre top 100 dans un sport avec plein de licenciés (tennis c'est ça?) et des sensations même bien placé dans un "petit" sport en nombre de licenciés genre triathlon ça n'a rien à voir. La compét. n'est pas la même (du fait du nombre de participants au départ) et le plaisir non plus: même si bien sûr on peut prendre du plaisir sans la notion de compét. mais faut reconnaître que la notion de compét donne une certaine dose d'adrénaline et que beaucoup ont besoin de ça pour avancer!
En foot j'en ai connu un gars qui se vantait d'être "vice"-champion de France UNSS quand j'étais lycéen, bah vu le nombre d'équipes au départ ça le fait quand même.
A partir du moment où il y a du monde au départ de la compét., n'importe quel sportif reconnaîtra ta perf et comprendra que tu trouves du plaisir dans la compét et l'adversité sans nécessairement te prendre la tête d'ailleurs.
Juste petit aparte de ma part pour dire qu'au tri ils ont beau multiplier tous les classements possibles et inimaginables par catégorie, la diversité des formats et le nombre réduit de participants par rapport à d'autres sports ne facilite pas la lisibilité du truc.

ironturtle a écrit : Après, mauvais ça veut dire quoi? Il y a toujours des mecs devant moi mais aussi toujours des mecs derrière.

Tu veux que je te raconte

tribuddy a écrit :

ironturtle a écrit :La réussite ne veut rien dire.
Pour certains c'est se faire un max de blé, pour d'autres avoir le métier de ses rêves même si le salaire est moins élevé, pour d'autres avoir une vie de famille équilibrée, ou au contraire être le parfait Yuppie...
Chacun a SA vision de la réussite, qui contribue ou non à son bonheur d'ailleurs.
En sport, j'ai arrêté un sport où j'étais dans le TOP 100 français pour me mettre à un sport où je ne suis rien et j'en suis très heureux.

Ah non comparer les sensations entre top 100 dans un sport avec plein de licenciés (tennis c'est ça?) et des sensations même bien placé dans un "petit" sport en nombre de licenciés genre triathlon ça n'a rien à voir. La compét. n'est pas la même (du fait du nombre de participants au départ) et le plaisir non plus: même si bien sûr on peut prendre du plaisir sans la notion de compét. mais faut reconnaître que la notion de compét donne une certaine dose d'adrénaline et que beaucoup ont besoin de ça pour avancer!
En foot j'en ai connu un gars qui se vantait d'être "vice"-champion de France UNSS quand j'étais lycéen, bah vu le nombre d'équipes au départ ça le fait quand même.
A partir du moment où il y a du monde au départ de la compét., n'importe quel sportif reconnaîtra ta perf et comprendra que tu trouves du plaisir dans la compét et l'adversité sans nécessairement te prendre la tête d'ailleurs.
Juste petit aparte de ma part pour dire qu'au tri ils ont beau multiplier tous les classements possibles et inimaginables par catégorie, la diversité des formats et le nombre réduit de participants par rapport à d'autres sports ne facilite pas la lisibilité du truc.

Et pourtant c'est bien ce que je pense.
Mon bonheur ne vient pas du regard des autres sportifs mais de celui de ma femme et mes filles. Et elles s'en contre-foutent de mon niveau en sport. L'essentiel est ailleurs.
Ce n'était pas tennis mais squash.

Aimer la vie.

Ah, si on pouvait faire une révolution nationale, sociale et populaire ...