Libération casse le triathlon
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david vincent
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plagiat pas bien
je t'excuse
David Vincent le retour du come back
je croyais que tu étais sorti?david vincent a écrit :je t'excuse
elise
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david vincent
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- Localisation : Nowhere
plus on est de fous moins ya de riz
oui juste un petit coup d'oeil avant d'aller roulé
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Fernandez Christophe
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Ne tombé dans le panneau ! ma version ! vive notre sport !
Discuter avec un journaliste ! pour se faire un nom dans ce milieu il faut se faire remarquer !
Avec cet article c'est réussi !
A bon entendeur salut ! et bien sur si on lui demande un rendez vous elle va dire "je suis sur booké"
Si elle me lit : " alors c'est quoi votre vécu de sportive ? "
- une place d'abonnée à la féria de Beziers !
- une place devant une enceinte dans une rave party
allé restez avec nous ! restez humble et honnète.
Avec cet article c'est réussi !
A bon entendeur salut ! et bien sur si on lui demande un rendez vous elle va dire "je suis sur booké"
Si elle me lit : " alors c'est quoi votre vécu de sportive ? "
- une place d'abonnée à la féria de Beziers !
- une place devant une enceinte dans une rave party
allé restez avec nous ! restez humble et honnète.
Et pourquoi vous n'iriez pas inonder le forum de Libé de toutes vos lettres.
Et dire à cette "spécialiste du dopage" ce que vous pensez de ses articles.
Au moins, les autres lecteurs de Libé bénéficieront de vos réactions, alors que de simples mails envoyés au courrier de Libé finiront peut etre dans la poubelle.
En plus y a un forum special JO chez Libé.
A noter que cette BH ne parle que du dopage dans les Jeux, le sport ne l'interesse pas. Peut etre qu'elle est une "grosse frustrée" du sport...
Mais quel sport ??
Et dire à cette "spécialiste du dopage" ce que vous pensez de ses articles.
Au moins, les autres lecteurs de Libé bénéficieront de vos réactions, alors que de simples mails envoyés au courrier de Libé finiront peut etre dans la poubelle.
En plus y a un forum special JO chez Libé.
A noter que cette BH ne parle que du dopage dans les Jeux, le sport ne l'interesse pas. Peut etre qu'elle est une "grosse frustrée" du sport...
Mais quel sport ??
libération casse le triathlon
Elle a diffamé 200000 licenciés en jetant la suspicion de dopage sur notre sport, elle nous traite de gueux et de forçats, elle iron... ise sur Delphine et sur Carl le doyen, elle discrédite Olivier. Elle a pris la liberté de rapporter des propos de Bildstein et Constantini en les arrangeant à sa convenance, du moins je l'espère. J'attends une réaction de la fédé qui sera proportionnelle à cette attaque que je juge gravissime.
Ci-dessous la lettre que je lui ai adressée.
Madame,
votre pseudo article sur le sport que je pratique est consternant. L'héthique professionnelle du journaliste scrupuleux de rapporter au public qui vous lit, la réalité des faits, est bafouée. C'est confortable de rédiger ce genre de papier, vous ne prenez aucun risque mais vous n'en sortirez pas grandie. Je préfère me battre pour vos confréres qui sont sur le terrain et qui risquent leur tête aujourd'hui pour nous informer en toute objectivité. J'ose espèrer que les citations de Mr Pascal Bildstein et de Madame Constantini ne réflétent pas ce qu'ils ont voulu vous faire passer comme message pour "vendre" notre sport, qui d'ailleurs n'a pas besoin d'être vendu, il s'imposera naturellement parce que c'est une discipline qui respecte l'homme et la nature. Enfin, et ce n'est pas la moindre des choses, vous nous devez des excuses publiques pour avoir diffamé notre sport et donc ses pratiquants, de soupçons de dopage dans votre titre volontairement raccoleur en "l'étayant" par une anecdote rocambolesque sans aucun fondement. Vous devez la aussi des excuses à Mr Marceau. Aurez vous, ou votre direction, le courage de faire votre mea culpa et de donner un droit de réponse à la Fédération Française de Triathlon?
Sportivement.
Un triathléte de 55 ans, qui n'est ni un gueux ni un forçat, mais qui s'efforce d'avoir une vie saine.
Ci-dessous la lettre que je lui ai adressée.
Madame,
votre pseudo article sur le sport que je pratique est consternant. L'héthique professionnelle du journaliste scrupuleux de rapporter au public qui vous lit, la réalité des faits, est bafouée. C'est confortable de rédiger ce genre de papier, vous ne prenez aucun risque mais vous n'en sortirez pas grandie. Je préfère me battre pour vos confréres qui sont sur le terrain et qui risquent leur tête aujourd'hui pour nous informer en toute objectivité. J'ose espèrer que les citations de Mr Pascal Bildstein et de Madame Constantini ne réflétent pas ce qu'ils ont voulu vous faire passer comme message pour "vendre" notre sport, qui d'ailleurs n'a pas besoin d'être vendu, il s'imposera naturellement parce que c'est une discipline qui respecte l'homme et la nature. Enfin, et ce n'est pas la moindre des choses, vous nous devez des excuses publiques pour avoir diffamé notre sport et donc ses pratiquants, de soupçons de dopage dans votre titre volontairement raccoleur en "l'étayant" par une anecdote rocambolesque sans aucun fondement. Vous devez la aussi des excuses à Mr Marceau. Aurez vous, ou votre direction, le courage de faire votre mea culpa et de donner un droit de réponse à la Fédération Française de Triathlon?
Sportivement.
Un triathléte de 55 ans, qui n'est ni un gueux ni un forçat, mais qui s'efforce d'avoir une vie saine.
libération casse le triathlon
effectivement Bébéou, j'ai moi aussi le maillot et le cuissard "no doping, no drafting" et mes paroles ou mes écrits sont en cohérence avec mes actes.
@+
@+
Libé n'en ai pas à son coup d'essai 
Il y a quelques années lorsque Triathlète magazine leur avait demandé pourquoi ils ne ne publiaient pas plus de résultats pour le triathlon, ils avaient répondu qu'il ne pouvaient pas mettre tous les sports et que s'ils indiquaient les résultats du triathlon pourquoi pas ceux du curling
A bas Libé '
Il y a quelques années lorsque Triathlète magazine leur avait demandé pourquoi ils ne ne publiaient pas plus de résultats pour le triathlon, ils avaient répondu qu'il ne pouvaient pas mettre tous les sports et que s'ils indiquaient les résultats du triathlon pourquoi pas ceux du curling
A bas Libé '
Salut à tous, voila ma petite contribution au fabuleux article de libération
Madame Blandine HENNION,
C’est l'histoire d'une diplômée en journalisme qui se réveille un beau matin en se demandant pourquoi sa rédaction l'a envoyée couvrir les jeux d'Athènes, elle qui a déjà rédigé tant d'ouvrages d'une importance capitale et qui ont fait avancer le monde, du moins en est elle persuadée... enfin, se dit elle, ce sera toujours l'occasion d'aller bronzer sur les plages grecques et me baigner dans des eaux turquoises...
Et voilà qu'un beau matin, il faut écrire un article sur le sport du jour.
« Voyons voir, qu'y a-t-il à se mettre sous la dent... Tiens le Triathlon! Bonne idée! En plus, c'est une petite fédération inconnue, j'aurais sans problème le DTN, et le vice président de la fédération. Etant donné la bonne presse de ce sport, je crois que je pourrais leur faire dire n'importe quoi! En plus c'est pour le net! Alors qui va le lire? Je sens qu'aujourd'hui je vais pondre un super papier, bien dans mon style de journaliste rebelle à tout. »
Deux, trois petites questions aux responsables de la fédération, une petite recherche sur le net pour savoir tout de la vie d'Olivier Marceau, et pourquoi, comme l'a annoncé ce bon vieux collègue qu'est Patrick Montel, Olivier Marceau est parti courir pour la Suisse...
On tombe vite sur ce que l'on veut voir sur le net!
« Cool, du dopage! Très bien, c'est dans l'air du temps, ça fait lire!
Et en plus pas besoin de vérifier ses sources, pas le temps. En plus que voulez vous qu'il m'arrive! C’est comme si je disais que les kayakistes ouzbeks ont une pagaie non conforme!
Ensuite, je rajoute deux trois clichés qui parlent à tout le monde, souvenirs de la dernière fois où j'ai osé faire un autre sport que le metro-boulot-dodo: les frottements sur la selle, l'enchaînement terrible: bain sur la plage, vélo avec les enfants et retour à l'hôtel à pied, qui a achevé tant de générations de vacanciers! Tiens je vais dire que ce sont des gueux: ça leur colle bien, sales, transpirants, forçats...
Les responsables me disent que ça fait un beau corps! Quel gag: c'est le culte du corps tant décrié! Qu’ils sont narcissiques ces triathlètes!
Enfin, je rajoute mon couplet sur le dopage, parce que le premier record de ces jeux olympiques, c'est bien le nombre de dopés! Et là, je rajoute pour conforter mon lecteur dans son idée quelques phrases sorties du contexte de la conversation avec les responsables qui m'ont dit toute leur frustration vis a vis de la fédération internationale qui ne fait pas ci, ne fait pas ça...
Et hop, emballé, pesé, c'est du tout bon pour les lecteurs de Libération sur Internet! Déjà qu’on n’a pas le droit d'écrire n'importe quoi sur le papier journal, on va se lâcher un peu sur Internet! C’est pas à la fédération d'athlétisme que j'aurais fait ça! Ça en aurait fait des histoires! Mais là je suis plutôt fière de mon coup! »
Madame, Toute cette histoire ne repose que sur des suppositions, des à priori (de préférence négatifs) et des propos sortis -sans aucun doute- de leur contexte.
C'est exactement la technique journalistique que vous avez employée pour cet article. Evidemment, je suis un triathlète et je défends ma cause. J'accepte les critiques faites à ce sport. Mais je n'accepte pas que la vérité soit déformée. Il semble assez évident que votre manière de faire du journalisme se rapproche plus du pamphlet gratuit que de l'analyse critique.
Afin de remédier à cela dans le domaine sportif, je vous invite donc à venir nous rejoindre sur un triathlon, pas forcément en tant que compétitrice, mais uniquement en tant que spectatrice. Vous verrez qu'il n'y a pas beaucoup de forçats du triathlon, ni de gueux et que la torture n'est pas un mot communément employé par les triathlètes.
A bientôt
Madame Blandine HENNION,
C’est l'histoire d'une diplômée en journalisme qui se réveille un beau matin en se demandant pourquoi sa rédaction l'a envoyée couvrir les jeux d'Athènes, elle qui a déjà rédigé tant d'ouvrages d'une importance capitale et qui ont fait avancer le monde, du moins en est elle persuadée... enfin, se dit elle, ce sera toujours l'occasion d'aller bronzer sur les plages grecques et me baigner dans des eaux turquoises...
Et voilà qu'un beau matin, il faut écrire un article sur le sport du jour.
« Voyons voir, qu'y a-t-il à se mettre sous la dent... Tiens le Triathlon! Bonne idée! En plus, c'est une petite fédération inconnue, j'aurais sans problème le DTN, et le vice président de la fédération. Etant donné la bonne presse de ce sport, je crois que je pourrais leur faire dire n'importe quoi! En plus c'est pour le net! Alors qui va le lire? Je sens qu'aujourd'hui je vais pondre un super papier, bien dans mon style de journaliste rebelle à tout. »
Deux, trois petites questions aux responsables de la fédération, une petite recherche sur le net pour savoir tout de la vie d'Olivier Marceau, et pourquoi, comme l'a annoncé ce bon vieux collègue qu'est Patrick Montel, Olivier Marceau est parti courir pour la Suisse...
On tombe vite sur ce que l'on veut voir sur le net!
« Cool, du dopage! Très bien, c'est dans l'air du temps, ça fait lire!
Et en plus pas besoin de vérifier ses sources, pas le temps. En plus que voulez vous qu'il m'arrive! C’est comme si je disais que les kayakistes ouzbeks ont une pagaie non conforme!
Ensuite, je rajoute deux trois clichés qui parlent à tout le monde, souvenirs de la dernière fois où j'ai osé faire un autre sport que le metro-boulot-dodo: les frottements sur la selle, l'enchaînement terrible: bain sur la plage, vélo avec les enfants et retour à l'hôtel à pied, qui a achevé tant de générations de vacanciers! Tiens je vais dire que ce sont des gueux: ça leur colle bien, sales, transpirants, forçats...
Les responsables me disent que ça fait un beau corps! Quel gag: c'est le culte du corps tant décrié! Qu’ils sont narcissiques ces triathlètes!
Enfin, je rajoute mon couplet sur le dopage, parce que le premier record de ces jeux olympiques, c'est bien le nombre de dopés! Et là, je rajoute pour conforter mon lecteur dans son idée quelques phrases sorties du contexte de la conversation avec les responsables qui m'ont dit toute leur frustration vis a vis de la fédération internationale qui ne fait pas ci, ne fait pas ça...
Et hop, emballé, pesé, c'est du tout bon pour les lecteurs de Libération sur Internet! Déjà qu’on n’a pas le droit d'écrire n'importe quoi sur le papier journal, on va se lâcher un peu sur Internet! C’est pas à la fédération d'athlétisme que j'aurais fait ça! Ça en aurait fait des histoires! Mais là je suis plutôt fière de mon coup! »
Madame, Toute cette histoire ne repose que sur des suppositions, des à priori (de préférence négatifs) et des propos sortis -sans aucun doute- de leur contexte.
C'est exactement la technique journalistique que vous avez employée pour cet article. Evidemment, je suis un triathlète et je défends ma cause. J'accepte les critiques faites à ce sport. Mais je n'accepte pas que la vérité soit déformée. Il semble assez évident que votre manière de faire du journalisme se rapproche plus du pamphlet gratuit que de l'analyse critique.
Afin de remédier à cela dans le domaine sportif, je vous invite donc à venir nous rejoindre sur un triathlon, pas forcément en tant que compétitrice, mais uniquement en tant que spectatrice. Vous verrez qu'il n'y a pas beaucoup de forçats du triathlon, ni de gueux et que la torture n'est pas un mot communément employé par les triathlètes.
A bientôt
Ceci dit, C'est dommage, j'appreciais ce que faisait cette bonne madame Hennion dans le domaine particulier du dopage. Je trouvais que ses articles précédents (voir sur google) avaient pour caractéristique de s'en tenir aux faits! Dommage qu'elle ait voulu en faire trop, et en plus la cible est mal choisie.
THORPEDO
THORPEDO
