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Valerian a écrit :pallon n est pas trop dur si tu l'abordes sans t'enflammer : tu vois le haut des le depart et c'est relativement court, avec pas mal de monde. il s'agit de pas faire peter le cardio a ce moment et ça passe tout seul!

Cà me rassure alors...

Par contre, on m'a prevenu de ne pas écouter les spectateurs qui te disent : " vas-y l'arrivée est à 500m", " tu es arrivé au deuxième virage ,courageeeee..." alors que l'arrivée est jugée à 8 bornes en réalité...

Puréeeeeeeee, les ENC.... Si je suis pas bien et qu'un couillon me sort çà, je lui fait la tête au carré

Salut Boudhix,

L'an passé, je m'étais fait une montagne de Pallon et de Chalvet. Ca fait mal, c'est sûr, mais ce n'est finalement pas si terrible que ça : Pallon, avec le monde, t'es obligé de le faire en vélo et les encouragements à cet endroit m'avaient fait un grand bien. Chalvet, ça sent l'écurie, donc ça se passe avec la tête (parce que les jambes ).

Allez, ça va passer... Y'a juste un marathon derrière (et ça, j'avais pas aimé l'an passé ).

A+

Willy.

Ne pas s'en faire une montagne ... Tout a gauche ... a son rythme ... Ne pas s'enflammer ... pas essayer d'épater les spectateurs ou d'essayer de ratrapper les petits copains et ça passe nickel...

Pallon , il y a une descente avant , arriver lancé , ça fait 50m de moins à monter!
quand on est au bout de la ligne droite , il y a encore 300-400m à faire
après il y a encore une petite cote , ou la descente est très chiante
Chalvet , c'est dur parce que c'est à la fin , attention à la descente qui tourne pas mal avec des voitures qui peuvent etre sur la route
tu décompresses car tu sens la fin et boum la chute à la con

En terme de temps, c'est une dizaine de minutes, mais ce qui est bien, c'est un point de grosse présence de public...
Chalvet, en plus de ce qui a été dit, la chaleur est là en plus, et c'est peu venté a cet endroit... Et le plus dur est au milieu de la montée, en sortant du motissement, il y a 1 Km vraiment dur, ensuite la fin se monte trés bien !

vincent05 a écrit :Et le plus dur est au milieu de la montée, en sortant du motissement, il y a 1 Km vraiment dur, ensuite la fin se monte trés bien !

A la sortie du lotissement (après le panneau les Chalets de Chalvet, il y a 500m de plus dûr, en tout cas moins d'1km (je l'ai fait il y a 10 jours). Il y a aussi un petit passage un peu délicat, 1km après la gare, avant le lotissement.
Par contre, la descente était vraiment pourrie (gravillons de partout). C'est encore le cas ?

A+

Willy

Merci pour la correction du L...
Chacun voit les difficultés par rapport à ses capacités !!!
Et oui, le gravier est toujours là, plus le goudron qui revient au soleil ds les lacets...

Boudhix a écrit :j'appréhende Pallon tout comme je respecte Chalvet

Pallon, c'est dur psychologiquement car c'est tout droit, tu arrives d'une petite descente et tu te retouves face à un mur de 1.5km
bon, ça monte quand même à 10, 12%

Chalvet, c'est plus long, mais il y a beaucoup de passages moins raides; je n'avais pas trouvé ça trop dur, et puis aprés c'est fini, ça remonte le moral...

oui et apres il reste plus qu'a courir

la plus dure pour moi c'est la cote aprés briançon (les vigneaux ?)
pas longue, pas raide, mais juste aprés 20km de descente...

Merci les gars pour tous ces témoignages. Je prends note

Et puis, ce que je me répète après chaque course ou entraînements : " On est venus là pour en chier et pas pour faire les boutiques comme Mamie !!! "

Quand je repense à la cote de pallon, j'en ai des frissons.
Littéralement scotché ....
Un coup de moins bien, un début de fringale peut-être, en tout cas au plus mauvais moment.
Si il y avait pas eu du monde sur le bord de la route pour m'encourager j'aurai mis pied à terre
Me suis refait la cerise après, Chalvet m'a presque paru facile

superyoyo a écrit :la plus dure pour moi c'est la cote aprés briançon (les vigneaux ?)
pas longue, pas raide, mais juste aprés 20km de descente...

stef65 a écrit :Quand je repense à la cote de pallon, j'en ai des frissons.
Littéralement scotché ....
Un coup de moins bien, un début de fringale peut-être, en tout cas au plus mauvais moment.
Si il y avait pas eu du monde sur le bord de la route pour m'encourager j'aurai mis pied à terre
Me suis refait la cerise après, Chalvet m'a presque paru facile

Ca confirme un autre élément que je n'ai pas mis dans ma réponse : la difficulté d'une côte, c'est très subjectif d'une personne à une autre et très variable d'un moment à un autre !

Quand on arrive à Embrun , on a souvent lu beaucoup de récits sur tous ces points clés du parcours ( montée vers St apollinaire , fin de l'Izoard , Pallon ,Chalvet ) , ce qui fait qu'au fond on arrive toujours assez bien à les gérer . A vrai dire ce qui m'a semblé le plus déroutant sur ce parcours c'est paradoxalement toutes les parties dites de "transition" . C'est pourtant en réalité dans ces parties a priori les plus anodines que l'on construit en grande partie son chrono final . La route ne rend pas ( surtout entre Briançon et Embrun ) , il faut souvent changer de file ou de trajectoire (no-drafting oblige ) , le vent souffle fort et en plein dans la face . Le dénivelé sur ces portions n'a rien d'effrayant mais est tellement changeant qu'on passse son temps à chercher le bon développement et la bonne approche (plutôt en force ? plutôt en fréquence ? ) . Bref , ces parties intermédiaires sont à mon sens les plus coûteuses , donnnant presque en permanence la désagréable impression de subir la situation ...

tseusitchu a écrit :Quand on arrive à Embrun , on a souvent lu beaucoup de récits sur tous ces points clés du parcours ( montée vers St apollinaire , fin de l'Izoard , Pallon ,Chalvet ) , ce qui fait qu'au fond on arrive toujours assez bien à les gérer . A vrai dire ce qui m'a semblé le plus déroutant sur ce parcours c'est paradoxalement toutes les parties dites de "transition" . C'est pourtant en réalité dans ces parties a priori les plus anodines que l'on construit en grande partie son chrono final . La route ne rend pas ( surtout entre Briançon et Embrun ) , il faut souvent changer de file ou de trajectoire (no-drafting oblige ) , le vent souffle fort et en plein dans la face . Le dénivelé sur ces portions n'a rien d'effrayant mais est tellement changeant qu'on passse son temps à chercher le bon développement et la bonne approche (plutôt en force ? plutôt en fréquence ? ) . Bref , ces parties intermédiaires sont à mon sens les plus coûteuses , donnnant presque en permanence la désagréable impression de subir la situation ...

toi t'as parlé de la course avec orscand
en tout cas 100% d'accord avec l'analyse : a notre (piètre) niveau de cyclistes, on ne gagne pas grand chose à faire les montées à bloc, par contre, à bien s'appliquer dans les sections de transition, on gagne beaucoup de temps!