Hélas, Heras...
oui mais si il court c'est qu'il ont été blanchi et donc il serait quand même mal vu d'aller contre les instances ...non ?
mon blog http://beligneuxleharas.skyblog.com
ça dépends des pays... En France on est vigilant là dessus, et les santionnés ne courent pas. Je ne citerai pas les pays connus pour s'en foutre, mais quand les gens ont une licence d'un pays qui ne lutte pas contre le dopage et viennent courir en France, on ne peut pas au plan légal les en empêcher ! Une intervention ferme mais courtoise vis à vis des organisateurs pourrait les faire réfléchir. Pas d'insulte, mais engager la discussion.spin a écrit :oui mais si il court c'est qu'il ont été blanchi et donc il serait quand même mal vu d'aller contre les instances ...non ?
Le vrai problème du dopage est le caractère international du sport... Et la volonté varialble d'un pays à l'autre.
MaRcO
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benj' de kouk
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"en france on est vigilant la dessus" 
j en doute :ya qu à voir les cyclistes (amateurs) suspendus qui se pointent sur les cyclos
et au marathon de monaco ? j invente rien !!! 
et à la vue de tous.........surtout que ce marathon de monaco passait en france....... 
ça m énerve tiens je vais m y mettre moi aussi puisque tout part en live allez plein les veines pis comme je suis jamais controlé je crains rien , normal je fais pas de podiums mais là......... kouk ! famille de noblesse de singe
Voilà qui est intéressant, très (très) intéressant...
Dopage - Affaire Heras : le test de détection de l'EPO est-il fiable à 100 % ?
MONTREAL (Canada), 22 nov (AFP) - Le test de détection de l'EPO, auquel était soumis lundi l'échantillon B du vainqueur du Tour d'Espagne cycliste Roberto Heras, a récemment été mis en cause par plusieurs sportifs.
L'Agence mondiale antidopage (AMA), soucieuse de clarifier le débat, a confirmé en septembre la validité du test, expliquant que les résultats controversés relevés ces derniers mois étaient dus justement à l'introduction en janvier 2005 de nouveaux critères d'interprétation, plus précis.
"La méthode de détection est valide et fiable ", selon l'AMA, " il s'agit d'une procédure bien établie et largement acceptée par la communauté scientifique, publiée dans des revues scientifiques internationales ".
La polémique est née lorsque certains laboratoires ont noté des résultats anormaux, où la trace de l'EPO endogène (produite naturellement par le corps) sur les graphiques d'interprétation s'était déplacée dans la zone où apparaît d'ordinaire l'EPO issue du dopage.
" Ce phénomène, souligne l'AMA, peut être clairement identifié par les laboratoires et distingué de profils révélant la présence d'EPO due au dopage (...) Tous les laboratoires (accrédités par l'AMA, ndlr) sont en mesure de distinguer entre ce profil et l'EPO exogène. Par conséquent, il n'existe toujours pas de risque de faux positif."
L'AMA précise d'ailleurs que les anciens critères d'appréciation des résultats non seulement ne permettaient pas de déceler cette anomalie, mais laissaient également passer des cas de dopage. " L'approche conservatrice utilisée dans la phase initiale de mise en place de la méthode ", reconnaît l'Agence, " a permis à un grand nombre de sportifs utilisant l'EPO à des fins de dopage d'échapper à la détection ".
Par précaution, l'AMA a cependant lancé un projet de recherche avec des laboratoires antidopage pour mieux comprendre l'origine de ce phénomène rare et le prévoir plus facilement.
L'EPO est une substance utilisée en médecine qui permet d'augmenter la capacité du transport d'oxygène vers les muscles. Chez les sportifs, elle permet d'améliorer l'endurance mais, mal utilisée, elle présente des risques graves pour la santé.
Interdite depuis le début des années 1990, l'EPO est longtemps restée indétectable, jusqu'à l'introduction en 2001 d'un test de dépistage dans les urines, mis au point l'année précédente par le laboratoire français antidopage de Chatenay-Malabry, en banlieue parisienne.
C'est le même laboratoire qui a détecté, cet été, des traces d'EPO dans un échantillon d'urine attribué à Lance Armstrong datant du Tour de France 1999. Une époque où le test n'existait pas.
cpb/stp/jgu
AFP 221038 NOV 05
Dopage - Affaire Heras : le test de détection de l'EPO est-il fiable à 100 % ?
MONTREAL (Canada), 22 nov (AFP) - Le test de détection de l'EPO, auquel était soumis lundi l'échantillon B du vainqueur du Tour d'Espagne cycliste Roberto Heras, a récemment été mis en cause par plusieurs sportifs.
L'Agence mondiale antidopage (AMA), soucieuse de clarifier le débat, a confirmé en septembre la validité du test, expliquant que les résultats controversés relevés ces derniers mois étaient dus justement à l'introduction en janvier 2005 de nouveaux critères d'interprétation, plus précis.
"La méthode de détection est valide et fiable ", selon l'AMA, " il s'agit d'une procédure bien établie et largement acceptée par la communauté scientifique, publiée dans des revues scientifiques internationales ".
La polémique est née lorsque certains laboratoires ont noté des résultats anormaux, où la trace de l'EPO endogène (produite naturellement par le corps) sur les graphiques d'interprétation s'était déplacée dans la zone où apparaît d'ordinaire l'EPO issue du dopage.
" Ce phénomène, souligne l'AMA, peut être clairement identifié par les laboratoires et distingué de profils révélant la présence d'EPO due au dopage (...) Tous les laboratoires (accrédités par l'AMA, ndlr) sont en mesure de distinguer entre ce profil et l'EPO exogène. Par conséquent, il n'existe toujours pas de risque de faux positif."
L'AMA précise d'ailleurs que les anciens critères d'appréciation des résultats non seulement ne permettaient pas de déceler cette anomalie, mais laissaient également passer des cas de dopage. " L'approche conservatrice utilisée dans la phase initiale de mise en place de la méthode ", reconnaît l'Agence, " a permis à un grand nombre de sportifs utilisant l'EPO à des fins de dopage d'échapper à la détection ".
Par précaution, l'AMA a cependant lancé un projet de recherche avec des laboratoires antidopage pour mieux comprendre l'origine de ce phénomène rare et le prévoir plus facilement.
L'EPO est une substance utilisée en médecine qui permet d'augmenter la capacité du transport d'oxygène vers les muscles. Chez les sportifs, elle permet d'améliorer l'endurance mais, mal utilisée, elle présente des risques graves pour la santé.
Interdite depuis le début des années 1990, l'EPO est longtemps restée indétectable, jusqu'à l'introduction en 2001 d'un test de dépistage dans les urines, mis au point l'année précédente par le laboratoire français antidopage de Chatenay-Malabry, en banlieue parisienne.
C'est le même laboratoire qui a détecté, cet été, des traces d'EPO dans un échantillon d'urine attribué à Lance Armstrong datant du Tour de France 1999. Une époque où le test n'existait pas.
cpb/stp/jgu
AFP 221038 NOV 05
"Etre beau et bien habillé est indispensable. Avoir un but dans la vie ne l'est pas." Oscar Wilde
Sans relation directe avec le cas Héras mais pour info...
Dopage - " Le dopage génétique existera ", selon Olivier Rabin (TROIS QUESTIONS A)
MONTREAL (Canada), 22 nov (AFP) - Le dopage génétique sera un jour ou l'autre utilisé pour améliorer les performances des sportifs, prédit Olivier Rabin, directeur scientifique de l'Agence mondiale antidopage (AMA), qui a déjà lancé des programmes de recherche pour tenter de devancer les tricheurs du futur.
Q : Le dopage génétique existe-t-il déjà ?
R : Sur le papier, oui. On a déjà réussi à augmenter de façon spectaculaire la masse musculaire chez des animaux par manipulations génétiques. Chez l'homme, on n'a pas de preuve que ça ait jamais été utilisé, mais la technologie existe, même si elle est très expérimentale encore. Cela dit, le risque pour la santé et pour la vie est très grand et, de plus, ce n'est pas quelque chose qu'on peut bricoler dans sa cuisine : il s'agit de technologies élaborées, qui demandent un environnement opératoire particulier. Mais je fais partie des gens qui pense que ça arrivera, parce que les athlètes dopés sont peu réceptifs aux risques."
Q : Le dopage génétique sera-t-il détectable par les laboratoires ?
R : Ç Je ne crois pas à la détection directe, parce qu'on ne va pas aller découper les muscles des athlètes pour y chercher les preuves de la manipulation. Mais le code mondial antidopage nous donne aujourd'hui la possibilité d'étudier tous les indices et les faisceaux d'informations qui permettent de dire " là, il y a une situation anormale liée au dopage ". En clair, nous ne sommes plus prisonniers de l'obligation de trouver absolument la substance dopante dans le corps de l'athlète. L'observation des effets du dopage peut être suffisante pour sanctionner, si les critères sont scientifiquement reconnus."
Q : Y a-t-il déjà eu des demandes du milieu sportif pour un dopage génétique ?
R : Certains laboratoires avec lesquels nous travaillons ont été contactés après la publication de leurs résultats. Ils nous ont dit avoir reçu des e-mails et des appels provenant du milieu sportif, leur demandant si leur technologie était applicable à l'homme et quand elle serait disponible.
cpb/jgu
AFP 220946 NOV 05
Dopage - " Le dopage génétique existera ", selon Olivier Rabin (TROIS QUESTIONS A)
MONTREAL (Canada), 22 nov (AFP) - Le dopage génétique sera un jour ou l'autre utilisé pour améliorer les performances des sportifs, prédit Olivier Rabin, directeur scientifique de l'Agence mondiale antidopage (AMA), qui a déjà lancé des programmes de recherche pour tenter de devancer les tricheurs du futur.
Q : Le dopage génétique existe-t-il déjà ?
R : Sur le papier, oui. On a déjà réussi à augmenter de façon spectaculaire la masse musculaire chez des animaux par manipulations génétiques. Chez l'homme, on n'a pas de preuve que ça ait jamais été utilisé, mais la technologie existe, même si elle est très expérimentale encore. Cela dit, le risque pour la santé et pour la vie est très grand et, de plus, ce n'est pas quelque chose qu'on peut bricoler dans sa cuisine : il s'agit de technologies élaborées, qui demandent un environnement opératoire particulier. Mais je fais partie des gens qui pense que ça arrivera, parce que les athlètes dopés sont peu réceptifs aux risques."
Q : Le dopage génétique sera-t-il détectable par les laboratoires ?
R : Ç Je ne crois pas à la détection directe, parce qu'on ne va pas aller découper les muscles des athlètes pour y chercher les preuves de la manipulation. Mais le code mondial antidopage nous donne aujourd'hui la possibilité d'étudier tous les indices et les faisceaux d'informations qui permettent de dire " là, il y a une situation anormale liée au dopage ". En clair, nous ne sommes plus prisonniers de l'obligation de trouver absolument la substance dopante dans le corps de l'athlète. L'observation des effets du dopage peut être suffisante pour sanctionner, si les critères sont scientifiquement reconnus."
Q : Y a-t-il déjà eu des demandes du milieu sportif pour un dopage génétique ?
R : Certains laboratoires avec lesquels nous travaillons ont été contactés après la publication de leurs résultats. Ils nous ont dit avoir reçu des e-mails et des appels provenant du milieu sportif, leur demandant si leur technologie était applicable à l'homme et quand elle serait disponible.
cpb/jgu
AFP 220946 NOV 05
"Etre beau et bien habillé est indispensable. Avoir un but dans la vie ne l'est pas." Oscar Wilde
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NISSARTiTUDE
- Messages : 54
- Inscription : 14 nov. 2005 18:20
- Localisation : Du côté du Frigo
Cette belle et complètement folle génération de sportif haut niveau qui ont croqué largement la pomme et parfois jusqu'au trognon...vont avoir inévitablement un retour à l'envoyeur fulgurant...Souvenez-vous bien de tous ceux la, dans quelques tps ils seront au bord du précipice (cf Notre bon Marco Pantani)!!
Vive le sport sain (on peut rêver!)
Vive le sport sain (on peut rêver!)
Ma devise "On lâche rien!"
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NISSARTiTUDE
- Messages : 54
- Inscription : 14 nov. 2005 18:20
- Localisation : Du côté du Frigo
Solarberg a écrit :A ajouter dans le Best of des dopés: la défense de Rumsas:
"je ne sais pas d'où viennent ces produits, je ne me suis jamais dopé consciemment"...
où comment rajouter la lacheté à la tricherie!
T'as bien raison et en plus il a salement chargé sa femme..."je lui ai remis un sac sans savoir ce qu'il y avait dedans, aprés je ne sais pas...."(résumé du jour ds l'équipe)+Sa femme:"les seringues avec traces d'EPO....oui c'était pour mes oreilles, pour les déboucher!!!!"
mais biensûr....
Une éviction simple et définitive : la seule chose à faire!!
Ma devise "On lâche rien!"
Et les hormones de croissance, c'était pour leurs gossesNISSARTiTUDE a écrit :Solarberg a écrit :A ajouter dans le Best of des dopés: la défense de Rumsas:
"je ne sais pas d'où viennent ces produits, je ne me suis jamais dopé consciemment"...
où comment rajouter la lacheté à la tricherie!
T'as bien raison et en plus il a salement chargé sa femme..."je lui ai remis un sac sans savoir ce qu'il y avait dedans, aprés je ne sais pas...."(résumé du jour ds l'équipe)+Sa femme:"les seringues avec traces d'EPO....oui c'était pour mes oreilles, pour les déboucher!!!!"
mais biensûr....
Une éviction simple et définitive : la seule chose à faire!!
J’espère que la Routourne va vite tourner ...
Frankie
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Roberto Heras, confirmation de la contre-expertise (http://www.lequipe.fr/Cyclisme/20051125_163141Dev.html)
L'expertise scientifique de la performance sportive
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PHILIPPE LL
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