sguigui a écrit :Henri Stark a écrit :
De toutes façon, sur ce post, tu trouveras que des tarés qui chargent leur plannings à mesure que chacun lance une nouvelle idée.. Donc les pépins physiques,je crois qu'on a arrêté de s'en mêler !! Perso, je m'étais dis au début de l'année... Allez, fais ton Im, ca sera déjà bien.
Mon père me téléphone : "Ca te dis, je t'inscris au marathon du médoc, on y va en famille ?" - "Ouai.. ok !"
Aurélie a une super idée poru Paladru : "Humm.. Ca devient chaud... mais ok !!"
La saintélyon s'ouvre, tout le monde y va, on peut pas rater ça : "Humm... Je crève en fin d'année, mais ok !"
Allez, viens nous rejoindre, ca se fait bien !!

Tu as tout compris
Le mieux ca reste le combo marathon du beaujolais, saintelyon à 3 semaine d'écart

2012, ce fut le pack all-inclusive : marathon de Lyon le 7 octobre, 53 km de Belfortrail le 21 octobre, marathon du Beaujolais le 17 novembre et STL le 2 décembre
Enfin bref...pour répondre aux questions de Para 69100 :
1) Pareil que sguigui : les autres années, il restait encore de la place sur le solo à 1-2 mois de l'épreuve (ce qui part vite, ce sont les relais + la Saintexpress). Mais là...avec le battage médiatique lié au 60è anniversaire + le nouveau parcours + les rumeurs qui ont longuement couru (comme quoi le parcours allait se faire dans le sens contraire), les inscriptions partent à une allure !! Hier en m'inscrivant, j'étais éberluée de voir la start-list déjà autant remplie^^ Donc je confirme ce que te conseille sguigui : inscris-toi (te poser la question sur ton éventuelle participation, c'est déjà y répondre

) et éventuellement tu prends l'assurance annulation.
2) Oui, c'est jouable pour quelqu'un qui n'a fait que des IM et jamais de marathon ou autres trails longs. Même si la STL demeure une course relativement "plate", je t'assure que tu auras tout à fait de quoi varier les allures en fonction de ton énergie à X ou Y moment de la course (descentes techniquement faciles où tu peux courir souple, montées où tu peux faire de la marche rapide, plat où tu peux trottiner)

Cette course offre quand même des moments de répit (c'est pas un cross, quoi)^^ Et d'autre part, c'est vrai que c'est bien pour courir quand le coeur y est, car les montées ne sont pas violentes et les replats sont plutôt roulants.
3) Ce n'est pas plus traumatisant qu'un marathon tranquillou ou qu'un semi couru à bloc

Un risque de pépin entre la prépa et le jour-j 75 km ? Ahh oui, ça peut toujours arriver.......mais si le risque avait été aussi important, il n'y aurait pas autant de monde qui ferait des 75 km, des 100 km, des ultras...
Ce genre de course invite de façon assez naturelle à taper dans la progressivité...genre un IM cet été, une phase de récup sur le plan physiologique, un trail de 30-35 bornes en septembre, un marathon (ou un autre trail de 30 km) mi-octobre.......et le compte est bon ! Mais pas question de se taper des séances càp de 5h sur route, par exemple^^ Perso, côté prépa entre autres, je m'étais fait une rando-course de 65 kilomètres et 5000 D+ (en 2 jours) dans les Alpes en automne...en solitaire, avec bivouac au milieu des marmottes à mi-parcours. Donc : effort doux, des kilomètres de façon soft, dans la solitude absolue (arme imparable pour garder le moral

).
En fait, la principale difficulté est de gérer l'effort sur 75 kils.... Il y en a qui partent un poil vite et qui se retrouvent à l'arrêt au km 45 ou 50... L'autre difficulté, c'est de gérer sur le plan mental (au bout de 6-7h d'effort, c'est logique de se choper un coup de moin bien sur le plan psy, de regarder sa montre et les kilomètres en se disant que le temps semble passer de plus en plus lentement)... Tout l'enjeu, c'est de surmonter ce genre de passage à vide ! Perso, je papote

Ou alors je branche ma musique un moment. Ou encore, je me fais une petite distraction ("Dans 3 kils, je m'arrête pour manger un pain d'épice en m'asseyant 5 minutes pour refaire mes lacets", "Je fais une pause pipi dans 2 kilomètres et j'écris un SMS à un pote pour donner des news")
Voilà....bonne route à toi !!