zarno a écrit :Faites gaffe a vos velos ,les gars.mon pote se l es fait piqué dans la parc l année derniere ( SCOTT ADDICT,tout en DURA-ACE...).
Il a galeré pendant presque un an pour se faire rembourser car tout le monde se renvoyait la balle ( organisation,fede,assurance

)
Amenez vos ravitos car toujours l année derniere,lorsqu il est arrivé en haut de l IZOARD,il n y avait plus rien
Cette année ,j ai fait ROTH pour mon 1° IRONMAN,a coté EMBRUN c est un parc d attractions pour PLAYMOBIL
Sans rentrer dans des discussions sans fin et sans etre insultant ( certains ne repondent que comme ça),ou voyez vous que c est mythique ? le lac? les cols ?
Je sais que je ne le ferai jamais.L endroit est magnifique pour les vacances,le sport mais l organisation est a

.peut etre depassé par le nombre,qui sait ?
Soyez objectif c est tout ce que je demande

je suis comme toi, j'ai fait roth, klagenfurt MAIS j'ai aussi fait embrun... Et bien, je ne regrette rien. Un triathlète passionné par le longue distance se doit de faire au moins 1 fois Embrun. Car Embrun, malgré ses "couacs" que tout le monde connait, reste le mythe! Comme l'a si bien rappelé un forumeur, à 6 heures du matin, il fait nuit, il n'y a pas un bruit. A roth ou klagenfurt, c'est musique techno à fond. C'est différent, ça donne de l'ambiance mais il faut avoir connu les 2 pour t'apercevoir qu'Embrun est plus prenant.
Mes meilleurs souvenirs en triathlon sont ma première ligne d'arrivée de Nice ancienne version (4/120/30) et ma première ligne d'arrivée d'Embrun. J'ai été content, fou de joie, ravi d'avoir fini Roth mais je n'ai pas eu cette petite étincelle comme pour Nice et Embrun...
Je pense que tu fais parti de ces nombreux sportifs qui font du long comme s'ils faisaient un raid ou une ultra distance en cap. (sans vouloir dénigrer ces disciplines, bien au contraire)
Un triathlète du long est avant tout humble et respectueux de ses adversaires, des règles de course (NO DRAFTING!!!!), des bénévoles (dire merci), des organisateurs (quels qu'ils soient) et il est fier (dans son fort intérieur, pas les zozos qui portent le tee-shirt finisher, la médaille et le numéro sur l'épaule pendant 5 jours) à chaque fois qu'il passe une ligne d'arrivée.