Qui Twit???

Bonne humeur de rigueur, pour les sujets ne concernant pas le monde sportif merci de poster dans "...et plus si affinité".
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Richie
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:D :lol: :mrgreen:

http://www.lefigaro.fr/hightech/2011/04 ... cebook.php

L'étonnant coup de théâtre sur les origines de Facebook

Mots clés : Paul Ceglia, Mark Zukerberg, Facebook

Par Benjamin Ferran
13/04/2011 | Mise à jour : 12:23 Réactions (35)
Un inconnu affirme que Mark Zuckerberg lui a proposé la moitié du capital de Facebook. Crédits photo : KIMIHIRO HOSHINO/AFP
Un Américain, silencieux durant six ans, affirme posséder la moitié du réseau social et livre un échange de mails accablants avec Mark Zuckerberg en 2003. Facebook rappelle le passé sulfureux de l'accusateur et dénonce une fraude.

La naissance de Facebook a déjà donné lieu à un film. Mais un Américain de Wellsville, une petite ville de l'État de New York, aimerait bien en réécrire le scénario. D'après lui, la moitié du réseau social lui appartiendrait, en vertu d'un contrat signé en avril 2003 avec Mark Zuckerberg, alors jeune étudiant de l'université de Harvard. Lors d'un premier dépôt de plainte en juillet 2010, Paul Ceglia avait fourni une copie de ce contrat supposé. Mardi, il a récidivé en versant au dossier un échange de courriels qu'il aurait tenu à l'époque avec le patron de Facebook.

Voici les origines supposées de Facebook, selon Paul Ceglia :
• Début 2003. Paul Ceglia poste une petite annonce sur le site Craigslist. Il cherche un développeur pour son nouveau site Internet, Streetfax.com. Mark Zuckerberg y répond. L'étudiant évoque un projet de site sur lequel il travaille, «The Face Book». Il lui demande de l'aider à financer ce développement, en échange d'une participation dans le futur réseau social.

• 28 avril 2003. Les deux hommes se rencontrent dans un hôtel à Boston pour signer un contrat. Ceglia doit verser 1000 dollars à Zuckerberg pour le développement de Streetfax.com, et 1000 dollars pour celui de «The Face Book». Avec cet investissement, il s'octroie une moitié des parts du réseau social. Le contrat prévoit que la part de Ceglia augmentera d'un pourcent à chaque jour de retard du lancement du site, fixée au 1er janvier 2004.

• Été 2003. Les partenaires s'échangent des mails sur la stratégie de «The Face Book». Zuckerberg a l'idée de faire payer les étudiants 29,95 dollars chaque mois, mais Ceglia l'en décourage. Il lui conseille de se précipiter sur le nom de domaine «facebook.com» dès lors qu'il sera mis en vente.

• Novembre 2003. Ceglia verse 1000 dollars supplémentaires à Zuckerberg, qui souhaite payer un ami pour accélérer le développement des sites. L'étudiant a appris qu'un projet similaire était en préparation à Harvard.

• Janvier 2004. Mark Zuckerberg prévient Paul Ceglia que «The Face Book» sera lancé en retard, en raison de la charge de travail sur Streetfax.com. Il lui demande de renoncer à la clause octroyant un pourcent supplémentaire du site à son partenaire par jour de retard. Ceglia l'éconduit, puis menace d'alerter l'université et les parents de Zuckerberg.

• Février 2004. «The Face Book» est lancé le 4 février à Harvard. Ceglia accepte de ne conserver qu'une moitié des parts du site, mais presse Zuckerberg de trouver un modèle économique. Il lui suggère de vendre des produits dérivés, tels que des mugs ou des t-shirts. L'étudiant lui répond sèchement qu'il n'a pas le temps de vendre cette «camelote». Ceglia lui suggère alors de placer de la publicité sur les pages du site.

• Avril 2004. Alors que «The Face Book» connaît un départ foudroyant, Mark Zukerberg explique au contraire à son partenaire que le site ne décolle pas, et qu'il envisage de le fermer.

• Juillet 2004. Mark Zuckerberg propose à Paul Ceglia de lui rembourser ses 2000 dollars. À ce moment-là, il discute avec des fonds d'investissements pour financer la société Facebook, créée le 29 juillet dans la Silicon Valley.

Ce scénario a été porté devant la cour fédérale de la ville de Buffalo. Comme en juillet, la direction de Facebook a nié en bloc les accusations rocambolesques de Paul Ceglia. «Il s'agit d'un procès frauduleux intenté par un repris de justice, et nous avons hâte de nous défendre au tribunal», a fait valoir un avocat du site, Orin Snyder. «Depuis le début, nous disons que les affirmations de cet escroc sont ridicules, et cette nouvelle plainte ne vaut pas mieux», a-t-il ajouté. Le passé de Ceglia ne joue clairement pas pour lui. Il a déjà été condamné pour fraude et a été interpellé en possession de drogue. Le contrat et les courriels pourraient avoir été fabriqués en vue de ce procès.

Les débats pourraient donc se cristalliser sur trois points :

• L'authenticité des emails. Paul Ceglia bénéficie désormais des services d'un puissant cabinet d'avocats, DLA Piper, qui assure avoir expertisé les emails et s'être assuré de leur authenticité. Mais un vrai doute persiste, en l'absence de contre-enquête. Facebook peut obtenir d'expertiser ces nouvelles pièces, en saisissant les disques durs de Ceglia. Ce dernier risque une peine de prison si les échanges se révèlent faux.

• La position de Facebook. Ce n'est pas le premier procès sur les origines de Facebook auquel Mark Zuckerberg doit faire face. Il a notamment été accusé par les jumeaux Winklevoss, anciens étudiants de Harvard, d'avoir dérobé l'idée du site pour se l'approprier. Jusqu'à présent, les affaires se sont toutes soldées par un accord à l'amiable (les Winklevoss ont été dédommagés à hauteur de 65 millions de dollars lors d'un accord confidentiel conclu en 2009), même si la portée des arrangements a pu être contestée par la suite. Le scénario conforte finalement Zuckerberg face à ceux qui l'accusaient de ne pas avoir inventé Facebook.

• Le silence durant six ans. Pourquoi avoir attendu six ans avant d'attaquer Zuckerberg ? Paul Ceglia s'est manifesté juste avant l'expiration du délai légal durant lequel le contrat pouvait être attaqué, note Wired, c'est-à-dire au moment où la valorisation de Facebook entre :shock: 55 et 85 milliards de dollars était au plus haut :shock: . Ceglia s'est justifié en affirmant n'avoir retrouvé le document que récemment. Mais il ne peut pas prétendre être indemnisé sur la valorisation actuelle.

Cette nouvelle affaire n'en est qu'à ses débuts. Comme le résume TechCrunch, «Paul Ceglia pourrait juste être un escroc, ou le meilleur investisseur high-tech de tous les temps».
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Richie
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Normalement, après une introduction, pour des raisons "techniques", le titre monte fortement.
Pas le cas ici.
Facebook = bulle

Déception pour l'entrée en Bourse de Facebook malgré le tapage :

Tableau d'affichage du Nasdaq à Times Square, New York, le 18 mai 2012
Tout le tapage entourant l'entrée en Bourse du géant des réseaux sociaux sur internet Facebook s'est terminé vendredi sur une déception, le titre n'ayant arraché qu'une maigre progression de 0,61% pour finir la séance à 38,23 dollars, 23 cents au-delà du cours d' introduction.

La clôture est intervenue après une demi-heure d'échanges très serrés où le cours est redescendu jusqu'à son cours d'introduction de 38 dollars, sans jamais toutefois casser ce seuil.

"Il est difficile d'imaginer ce qui serait arrivé si les banques n'étaient pas intervenues", a commenté l'analyste Lou Kerner, fondateur du Social Internet Fund.

Déjà dans les minutes suivant les premiers échanges publics à 15h30 GMT, l'action de l'entreprise était passée d'une hausse de plus de 12% à l'ouverture à 0%, les banques pilotant l'opération parvenant toutefois toujours à éviter de passer sous les 38 dollars. Le titre avait ensuite repris provisoirement de la hauteur.

Pour Darren Hayes, professeur à l'université Pace et ancien banquier d'investissement, "la négativité globale du marché a mis un éteignoir sur l'opération".

"Je crois que les actions étaient offertes à un prix équitable, mais aujourd'hui les actions s'échangeaient sur la peur et non sur l'appétit", renchérissait M. Kerner.

Le fondateur de Facebook Mark Zuckerberg applaudi après avoir fait sonné la cloche d'ouverture du Nasdaq, le 18 mai 2012 à Menlo Park, en Californie
La journée avait pourtant débuté en fanfare.

Le jeune patron fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, avait fait retentir à distance la cloche d'ouverture du Nasdaq, depuis le siège de Menlo Park (Californie) où il avait invité ses employés à passer la nuit en "hackathon" (marathon de codage informatique).

"Mais souvenez-vous, restez concentrés et continuez à produire!", avait-il lancé aux centaines de personnes rassemblées en plein air à l'aurore.

A New York, la journée a été plus difficile. Les tous premiers échanges avaient été retardés d'une trentaine de minutes en raison manifestement de difficultés de la plateforme Nasdaq à gérer cette opération record.

En fin de journée, l'autorité des marchés financiers, la SEC, a annoncé qu'elle allait examiner cet incident "pour déterminer ses causes et les mesures à prendre".

Selon M. Kerner, les difficultés ont été à la fois le fait de la plateforme d'échange et des banques pilotant l'opération, au premier rang desquelles Morgan Stanley.

Facebook mettait sur le marché 421 millions d'actions, pour une opération à 16,02 milliards de dollars, la plus grosse pour une valeur internet, la deuxième plus grosse pour une valeur américaine tous secteurs confondus, qui le valorisait à 104 milliards de dollars.

Le Nasdaq a annoncé qu'il y avait eu près de 576 millions d'échanges, un record.

Pour Gerard Hoberg, professeur de finances à l'Université du Maryland, la performance médiocre pourrait s'expliquer par le fossé séparant d'un côté les petits porteurs voulant leur part d'une marque très grand public et de l'autre les milieux financiers. "Les professionnels qui ont examiné les chiffres derrière Facebook avaient plus de doutes", explique-t-il.

"Facebook a réalisé une performance terne parce que la direction n'a pas répondu aux questions" sur ses performances et ses perspectives, a réagi Trip Chowdhry, analyste chez Global Equities Research.

Facebook a enregistré en 2011 un chiffre d'affaires de 3,7 milliards de dollars, en décélération, pour un bénéfice net de 668 millions de dollars, et n'a pas caché aux investisseurs qu'il peinait à rentabiliser la migration de ses utilisateurs sur les appareils portables.

Facebook, lancé il y a huit ans dans une chambre d'étudiant à Harvard, a récupéré dans l'opération 6,84 milliards de dollars, le solde revenant à des actionnaires initiaux.

M. Zuckerberg, 28 ans, n'a vendu que les actions qui lui permettront de payer les impôts liés à cette opération, en conservant une participation de 18,4%, et 55,8% des droits de vote.
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nico.laclusaz
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Bsoir, moi je tweet beaucoup, pour les news de mon site deja http://www.courir7374.fr et pour mettre les résultats rapidement pour tout le monde :D

nico
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Richie
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Re: Qui Twit???

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http://www.lemonde.fr/a-la-une/article/ ... _3208.html

Facebook, ses amis, ses dollars, son but ultime
LE MONDE | 19.05.2012 à 11h36 • Mis à jour le 19.05.2012 à 17h49

La Bourse a décidément des humeurs déroutantes. Les tambours et trompettes annonçant l'introduction de Facebook sur le marché des valeurs technologiques, le Nasdaq, promettaient une furie de tous les records. Les commentaires sur les dangers du comportement moutonnier des investisseurs, acteurs consentants des bulles et des krachs, étaient prêts à être servis.

Mais, patatras ! D'orgie, il n'y eut pas, vendredi 18 mai à New York. Le réseau social auquel 900 millions de Terriens se connectent régulièrement, a vu son action clore sa première séance à 38,23 dollars, soit 23 cents de plus que le prix auquel les investisseurs avaient acquis les actions auprès des banques chargées de l'opération. Pour les professionnels de la Bourse, cette hausse de 0,61 % en guise de baptême du feu, est minable. Synonyme d'un échec de l'introduction en Bourse de l'année.

Que s'est-il passé ? Les moutons feraient-ils désormais preuve de discernement ? Rien n'est moins sûr. Surtout, gardons-nous de tirer des conclusions sur l'avenir boursier de Facebook et sur l'avenir de cette entreprise. L'histoire financière est émaillée d'introductions en Bourse en fanfare qui terminent quelques semestres plus tard en effondrement ou de débuts poussifs qui se transforment en success stories. Et, par définition, on ne le sait qu'après...

Une chose est sûre : le prix auquel le marché évalue cette société d'à peine huit ans, 105 milliards de dollars à la clôture vendredi, a de quoi donner le tournis. Cela représente vingt-six fois son chiffre d'affaires des douze derniers mois.

Mais, bulle ou pas bulle, là n'est plus la question. Le pari des investisseurs sur la capacité future du réseau social à transformer son audience en dollars est un pari sur la capacité de Facebook à transformer nos vies. Rien de moins. Derrière le juvénile Mark Zuckerberg, affublé de son éternel hoodie (sweat à capuche), c'est une machine d'une rare puissance qui est à l'oeuvre. Ce lieu virtuel où s'échangent les informations des plus futiles aux plus intimes, des photos de famille ou des titres de musique, où se côtoient des copines de collège, le président Obama et la chanteuse Lady Gaga, des entreprises, des clubs de foot ou des journaux comme Le Monde, ce lieu virtuel transforme l'Internet. Les "amis" sur Facebook deviennent des guides, des prescripteurs, plus écoutés que les algorithmes de Google.

Facebook n'est déjà plus cette start-up sympathique née sur le campus d'Harvard. C'est un prédateur engagé dans une lutte acharnée avec pour but ultime la domination des réseaux. Car seul le numéro un s'en sortira. La fébrilité à l'égard du mobile, dont chacun sait qu'il en sera demain la porte d'entrée, en témoigne. Même si personne ne sait encore comment monnayer cet usage.

Facebook a montré en avril, en surpayant Instagram, une application photo pour mobile, sa détermination à tuer dans l'oeuf tout ce qui serait susceptible de lui faire un jour de l'ombre. Son introduction en Bourse décuple sa puissance de feu.
Richie a écrit :Normalement, après une introduction, pour des raisons "techniques", le titre monte fortement.
Pas le cas ici.
Facebook = bulle

Déception pour l'entrée en Bourse de Facebook malgré le tapage :

Tableau d'affichage du Nasdaq à Times Square, New York, le 18 mai 2012
Tout le tapage entourant l'entrée en Bourse du géant des réseaux sociaux sur internet Facebook s'est terminé vendredi sur une déception, le titre n'ayant arraché qu'une maigre progression de 0,61% pour finir la séance à 38,23 dollars, 23 cents au-delà du cours d' introduction.

La clôture est intervenue après une demi-heure d'échanges très serrés où le cours est redescendu jusqu'à son cours d'introduction de 38 dollars, sans jamais toutefois casser ce seuil.

"Il est difficile d'imaginer ce qui serait arrivé si les banques n'étaient pas intervenues", a commenté l'analyste Lou Kerner, fondateur du Social Internet Fund.

Déjà dans les minutes suivant les premiers échanges publics à 15h30 GMT, l'action de l'entreprise était passée d'une hausse de plus de 12% à l'ouverture à 0%, les banques pilotant l'opération parvenant toutefois toujours à éviter de passer sous les 38 dollars. Le titre avait ensuite repris provisoirement de la hauteur.

Pour Darren Hayes, professeur à l'université Pace et ancien banquier d'investissement, "la négativité globale du marché a mis un éteignoir sur l'opération".

"Je crois que les actions étaient offertes à un prix équitable, mais aujourd'hui les actions s'échangeaient sur la peur et non sur l'appétit", renchérissait M. Kerner.

Le fondateur de Facebook Mark Zuckerberg applaudi après avoir fait sonné la cloche d'ouverture du Nasdaq, le 18 mai 2012 à Menlo Park, en Californie
La journée avait pourtant débuté en fanfare.

Le jeune patron fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, avait fait retentir à distance la cloche d'ouverture du Nasdaq, depuis le siège de Menlo Park (Californie) où il avait invité ses employés à passer la nuit en "hackathon" (marathon de codage informatique).

"Mais souvenez-vous, restez concentrés et continuez à produire!", avait-il lancé aux centaines de personnes rassemblées en plein air à l'aurore.

A New York, la journée a été plus difficile. Les tous premiers échanges avaient été retardés d'une trentaine de minutes en raison manifestement de difficultés de la plateforme Nasdaq à gérer cette opération record.

En fin de journée, l'autorité des marchés financiers, la SEC, a annoncé qu'elle allait examiner cet incident "pour déterminer ses causes et les mesures à prendre".

Selon M. Kerner, les difficultés ont été à la fois le fait de la plateforme d'échange et des banques pilotant l'opération, au premier rang desquelles Morgan Stanley.

Facebook mettait sur le marché 421 millions d'actions, pour une opération à 16,02 milliards de dollars, la plus grosse pour une valeur internet, la deuxième plus grosse pour une valeur américaine tous secteurs confondus, qui le valorisait à 104 milliards de dollars.

Le Nasdaq a annoncé qu'il y avait eu près de 576 millions d'échanges, un record.

Pour Gerard Hoberg, professeur de finances à l'Université du Maryland, la performance médiocre pourrait s'expliquer par le fossé séparant d'un côté les petits porteurs voulant leur part d'une marque très grand public et de l'autre les milieux financiers. "Les professionnels qui ont examiné les chiffres derrière Facebook avaient plus de doutes", explique-t-il.

"Facebook a réalisé une performance terne parce que la direction n'a pas répondu aux questions" sur ses performances et ses perspectives, a réagi Trip Chowdhry, analyste chez Global Equities Research.

Facebook a enregistré en 2011 un chiffre d'affaires de 3,7 milliards de dollars, en décélération, pour un bénéfice net de 668 millions de dollars, et n'a pas caché aux investisseurs qu'il peinait à rentabiliser la migration de ses utilisateurs sur les appareils portables.

Facebook, lancé il y a huit ans dans une chambre d'étudiant à Harvard, a récupéré dans l'opération 6,84 milliards de dollars, le solde revenant à des actionnaires initiaux.

M. Zuckerberg, 28 ans, n'a vendu que les actions qui lui permettront de payer les impôts liés à cette opération, en conservant une participation de 18,4%, et 55,8% des droits de vote.
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Kenzo
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