Boubou Balboa a écrit : 03 nov. 2018, 22:29
Venner192 a écrit : 03 nov. 2018, 21:28
Boubou Balboa a écrit : 03 nov. 2018, 20:45
effectivement, le choix est acté depuis 2011!
allé, on va faire comme si le media du qatar, aljazeera, n'était pas le media des frères musulmans!
d'un côté tu supportes un club dont le propriétaire propage l'idéologie islamiste dans le monde entier

, et est un acteur important des guerres occidentales qui ont détruit la Libye et la Syrie

,
et d'un autre côté, tu supportes cette équipe de branquignols qui se sont faits remontés une avance de 4-0 par les espingouins, pardon, ils sont catalans!
là, j'ai regardé philadelphie sixers / detroit pistons, c'est une ligue qui n'est pas lié à l'État fédéral nord-américain, premier terroriste sur la planète, oui.
Tu me fais rire, les français, Israël et les USA ont été derrière Daesh pour lutter contre l’axe Iran-Russie-Syrie.
Pour l´islamisme, c’est une mascarade entre les saoudiens, qataris, turques, pakistanais, iraniens, égyptiens etc...pour avoir le leadership sur le monde musulmans avec l’Islam le plus authentique.
Si tu vois les qataris pires que les autres, tu n’as rien compris au film.
Riolo a fait une déclaration sur les interventions étatiques diverses et variées dans le football, remise à niveau pour ceux qui ciblent le Qatar pour tricher...!!
la situation aurait été la même si cela avait été un Russe ou un japonais qui avait injecté des centaines de millions d'euros dans une équipe, en 2011, qui était moisie, qui a failli être reléguée en 2006.
le fait que le qatar soit un État qui diffuse l'islamisme c'est juste un facteur aggravant.
pareil pour manchester city dont le propriétaire sont les émirats arabes unis, qui utilisent des chars leclercs pour détruire et massacrer les Yéménites. les anglais sont bien pire que les français, certes.
chaud, chaud, chaud, chaud les marrons!
https://francais.rt.com/france/55099-qa ... ball-leaks
Coup de tonnerre dans le monde du ballon rond. Mediapart révèle plusieurs liens troubles et contournements des règles. Par exemple, le PSG aurait été aidé par Michel Platini pour maquiller des irrégularités sur le fair-play financier.
«Il n'y a aucun accord secret, tout a été fait dans la transparence», a affirmé auprès de l'AFP Jean-Claude Blanc, directeur général délégué du Paris Saint-Germain (PSG), accusé d'avoir gonflé grâce à des «contrats fictifs» ses revenus «sous couvert de l'UEFA», selon les nouvelles révélations des Football Leaks, publiées le 2 novembre par le site Mediapart.
Un consortium de journalistes, dont fait partie Mediapart, a affirmé que le Qatar, propriétaire du PSG, aurait injecté, depuis 2011, 1,8 milliard d’euros dans le club de façon largement «frauduleuse», dont 1,35 milliard «via des contrats de sponsoring surévalués et le solde via des avances d'actionnaire». Un dopage financier normalement interdit depuis la réforme 2010 du président de l'UEFA de l'époque, Michel Platini. En effet, le fair-play financier (FPF) interdit à un club engagé en compétition européenne de dépenser plus que ce qu'il ne gagne en propre. Les sanctions peuvent aller du simple blâme jusqu'à l'exclusion des compétitions.
Le but était d'interdire les déficits des clubs afin de contrôler l'inflation des transferts et des salaires de joueurs. Mediapart ajoute que le FPF avait aussi pour objectif «d'empêcher les émirs, oligarques et autres milliardaires de fausser les compétitions en subventionnant les clubs à fonds perdu». Or, le Qatar met le paquet sur le PSG. Recrutements massifs de stars, salaires tout aussi conséquents, le PSG est rapidement en déficit. Pour combler celui-ci, le PSG signe des «contrats» en surfacturant ses sponsors, dont l'office de tourisme du Qatar.
Mais l'UEFA n'est pas dupe. Des négociations secrètes entre le PSG et l'UEFA permettront d'arranger cette surfacturation avec un «accord amiable». En effet, en coulisses, Mediapart fait savoir que tout est fait pour que cela soit enterré sans que les deux parties ne perdent la face. Le président du PSG Nasser Al-Khelaïfi aurait notamment interpellé Michel Platini, «en lui lançant qu’il n’a pas intérêt à s’attaquer au Qatar à travers le PSG». Mediapart se demande si ce n'était pas une allusion à Laurent Platini, fils de Michel, embauché dans une filiale de Qatar Sport Investments.
L'UEFA, via trois de ses patrons, Michel Platini (président de l'instance entre 2007 et 2015), Gianni Infantino (secrétaire général entre 2009 et 2016) et Aleksander Ceferin (président depuis 2016), aurait ainsi «en connaissance de cause» aidé les clubs PSG et Manchester City à maquiller leurs propres irrégularités par tout un tas de combines et ce, également, «pour des raisons politiques». Le club français étant détenu par le Qatar, le club anglais, lui, ayant pour principal investisseur des fonds provenant des Emirats arabes unis.
In fine, après plusieurs rencontres et négociations, le PSG écopera de sanctions clémentes. Menacé dans un premier temps d'exclusion des compétitions sportives européennes, l'UEFA ne lui imposera en 2014 qu'une amende de 20 millions d'euros.
Mediapart évoque plusieurs autres événements qui laisseront encore à penser que l'UEFA a cédé sur tous les terrains face aux investisseurs qatariens et émiratis, «le business passant avant tout».
Sarkozy, impliqué dans l'affaire ?
Dans les révélations, on apprend en outre que l'ancien président français Nicolas Sarkozy aurait été, d'une part, le médiateur pour le rachat du PSG en 2011 entre les Qataris et les anciens propriétaires du club et, d'autre part, entre le Qatar et l'UEFA, via Michel Platini, afin de permettre au Qatar de décrocher l'organisation du Mondial en 2022. Ce que l'émirat obtiendra d'ailleurs.
En 2014, Nicolas Sarkozy aurait par ailleurs joué un rôle d'intermédiaire entre l'UEFA et Manchester City, appartenant majoritairement aux Emirats arabes unis, accusé de dopage financier et possiblement menacé d'exclusion aux compétitions. Après l'acceptation d'«un projet d’accord amiable très favorable au club», Gianni Infantino aurait envoyé un mail au président émirati du club anglais Khaldoon Al Mubarak, avec en copie, Nicolas Sarkozy. «Bien sûr, tout cela doit rester entre nous trois», aurait-il alors écrit. Selon le média en ligne, Khaldoon Al Mubarak aurait donc «sollicité l’assistance de Nicolas Sarkozy au sujet de la procédure engagée contre Manchester City par l’UEFA». L’attachée de presse de Nicolas Sarkozy a toutefois fait savoir à Mediapart qu'«en sa qualité d’avocat, Nicolas Sarkozy n’a eu aucune activité de conseil auprès des personnes que vous mentionnez».
