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Comment transformer des pièces de vélo en "ART"

http://www.lequipe.fr/Cyclisme/breves20 ... ssite.html

Fracture du fémur = 10 jours d'arrêt ?

C'est possible çà ?

claude a écrit :http://www.lequipe.fr/Cyclisme/breves20 ... ssite.html

Fracture du fémur = 10 jours d'arrêt ?

C'est possible çà ?

10 jours de repos complet = alité et travail de béquilles...cela ne veut pas dire que le 11ème jour , il est sur son vélo, quoique en plus des anticoagulants, il va y aller sur les anti-douleurs, avec pour certificat médical sa fracture

L'arrivée des Mondiaux idéale pour Gilbert (vidéo)



Ce dimanche, les Mondiaux de cyclisme se dérouleront au Danemark. Le parcours de Copenhague est le plus facile depuis Zolder 2002 quand Mario Cipollini avait été le plus rapide au sprint. Au menu, 17 tours de 14 km avec un dénivelé de 102 mètres. Son arrivée, après 266 km de course, est idéale pour Philippe Gilbert: 400 mètres sur une pente de 6%.
Les 28 premiers kilomètres du parcours sont plats. Via le centre, les coureurs se dirigeront vers la côte. Après un passage sur un parcours boisé, ils franchiront une première fois la ligne d'arrivée à Ruderstal.

Rond-point dangereux
Suivra alors la première et dernière pente digne de ce nom du parcours: le Slotsbakken. Une montée de 5 à 6% à tout casser sur de petites routes. Arrivé au sommet, il ne restera plus que 11 km, principalement en descente. Un tracé idéal pour permettre aux sprinteurs de revenir dans le parcours.

La prudence sera de mise à deux kilomètres de l'arrivée avec un rond-point qui pourrait provoquer quelques chutes. Pour une fois les coureurs ne devront pas faire une courbe autour de l'obstacle, et pourront foncer tout droit. L'idéal pour les pays bien organisés.

Sagan, Freire, Hushovd, Hagen, Goss...
La course risque de se jouer sur le dernier effort de la journée: une arrivée sur 400 mètres et sur une pente de 6%. Un tracé similaire au boulevard Charles de Kerchove à Gand ou à celui du Moorabool Street (à Geelong).

Les principaux adversaires de Philippe Gilbert risquent de s'appeler Peter Sagan, Thor Hushovd (champion du monde en titre), Oscar Freire, Edvald Boasson Hagen et Matthew Goss.

Cancellara: "Martin est le favori du contre-la-montre"

Le Suisse Fabian Cancellara désigne l'Allemand Tony Martin comme favori du contre-la-montre des Mondiaux de cyclisme sur route, mercredi à Copenhague, tout en espérant conquérir un cinquième titre.

Impitoyable dans sa domination des dernières années, Cancellara a vu poindre cette année la menace du coureur allemand qui a gagné le contre-la-montre du Tour de France puis de la Vuelta.

"C'est lui le favori", estime le Suisse, maître de la discipline dans les Championnats du monde depuis 2006, hormis l'année de son titre olympique à Pékin (2008). "Mais je n'ai pas spécialement d'inquiétude. C'est une course d'un jour. Je peux gagner".

Habitué aux responsabilités, Cancellara (30 ans) a abandonné la Vuelta au soir du 6 septembre, à cinq jours de la fin de l'épreuve. Imité par Martin, deux jours plus tard.

Troisième en 2009 et en 2010, Martin (26 ans) a pris ses habitudes sur le podium. Il a cette fois l'intention d'aller plus haut au terme du parcours de 46,4 kilomètres, soit deux tours d'un circuit plat et offrant prise au vent, tracé sur les larges rues de la capitale danoise au revêtement plutôt inégal.

Outre ces deux spécialistes, la concurrence pour le Suisse est attendue du côté britannique avec l'Anglais Bradley Wiggins, troisième du classement final de la Vuelta, et l'Ecossais David Millar.

Hushovd prépare la défense de son titre dans les Ardennes Flamandes



C'est dans les Ardennes Flamandes que Thor Hushovd (Garmin-Cervélo), 33 ans, champion du monde, prépare la défense de son titre dimanche à Copenhague, avec ses coéquipiers norvégiens, sous la direction du coah national Steffen Kjaergaard.

Tout ce petit monde séjournera d'ailleurs encore au Hof ter Kammen, au pied du Koppenberg, à Audenaerde, dans un an, à l'occasion des Jeux Olympiques.

"D'ici on est très vite à Copenhague et Londres", se justifie Thor Hushovd. "Et on peut se préparer dans des conditions climatiques à peu près identiques..."

Thor Hushovd admet qu'il risque de ne pas terminer la saison avec son beau maillot maillot arc-en-ciel sur les épaules. Mais il estime aussi avoir ses chances de rééditer le coup gagnant de Geelong.

"Je suis bien conscient que réaliser un doublé est extrêmement compliqué", admet-il. "Et surtout que le circuit de Copenhague n'est pas comparable à celui de Geelong en matière de difficultés. Il n'empêche que j'aurai ma chance si cela se termine par un sprint. Je me suis bien reposé après un Tour de France réussi, et une victoire d'étape au Tour de Grande-Bretagne (la 4-e, mercredi passé à Caerphilly, ndlr) confirme que la forme est là. Mais l'opposition est redoutable."

"Je cite: Peter Sagan, Philippe Gilbert, Oscar Freire, Mark Cavendish, une forte équipe italienne avec Daniele Bennati, une très solide mannschaft avec Andre Greipel, et j'en passe. On ne sera que quatre pour faire face à cette véritable armada. Il ne faut bien sûr pas espérer contrôler la course dans ces conditions. Il s'agira donc de frapper fort et juste au meilleur moment...", conclut le champion du monde."

Retrouvez le programme des Mondiaux de Copenhague :

Lundi 19 Septembre 2011
Contre-la-montre Junior Femme : 10h00 - 11h45
Contre-la-montre Espoir Homme : 13h00 - 17h30

Mardi 20 Septembre 2011
Contre-la-montre Junior Homme : 9h30 - 13h15
Contre-la-montre Elite Femme : 14h00 - 17h00

Mercredi 21 Septembre 2011
Contre-la-montre Elite Homme : 12h30 - 17h05

Vendredi 23 Septembre 2011
Course en ligne Junior Femme : 9h30 - 11h55
Course en ligne Espoir Homme : 13h00 - 17h15

Samedi 24 Septembre 2011
Course en ligne Junior Homme : 9h00 - 12h30
Course en ligne Elite Femme : 13h30 - 17h15

Dimanche 25 Septembre 2011
Course en ligne Elite Homme : 10h00 - 17h05

Laurent Brochard : « Ce maillot fait rêver beaucoup de monde »




Laurent Brochard, vous êtes notre dernier champion du monde en 1997. Quel regard portez-vous sur ce titre 14 ans plus tard ?

Il y a toujours un regard admiratif de la part des supporters, des personnes qui suivent le cyclisme, même du milieu, puisque l'on sait qu'il y a eu très peu de Français, malheureusement, qui ont eu ce maillot. Ce qui lui donne, d'autant plus, une grande valeur. Ca reste un exploit car je n'ai pas encore été détrôné à ce jour.

Ca reste une échéance qui vient comme ça avant la saison ou faut-il s'y préparer spécifiquement ?

Comme toutes les courses cela demande une préparation. Il faut être à 100 % de ses moyens ce jour-là, il ne faut pas se rater, il faut donc être présent. Tous les ans tout le monde rêve de ce titre, il faut donc se donner tous les moyens possibles pour réussir.

En regard d'une victoire sur le Tour de France, cela change une vie de coureur un titre de champion du monde ?

Oui totalement. Le Tour de France c'est la plus grande course au monde car au niveau médiatique il n'y a pas d'égal, il y a tellement de pays qui le suivent. Ce sont les vacances donc médiatiquement on explose. Un titre de Champion du Monde c'est un peu la même chose médiatiquement mais c'est encore plus important dans le milieu cycliste. C'est un maillot que l'on porte pour toute une année. Sur le Tour de France, où on a quand même une vingtaine d'étapes, on a donc un peu plus sa chance. C'est pour ça que le titre de Champion du Monde, avec son maillot que l'on porte une année, fait rêver tout le monde.

Quel regard portez-vous sur le cyclisme aujourd'hui et sur les Français particulièrement ?

Cette année j'ai été agréablement surpris par le côté offensif des jeunes mais aussi des garçons d'expérience comme Thomas Voeckler ou comme Sylvain Chavanel. Pour moi cela a été enrichissant car les Français se posent moins de questions qu'auparavant. Et puis il y a eu de bons résultats tout au long de l'année, je crois que c'est encourageant. Maintenant, c'est vrai qu'au niveau international on manque de grandes victoires mis à part thomas Voeckler l'année dernière au grand prix du Canada. Pour le reste, on est toujours un peu en deçà de ce que le public aimerait.

On ne va pas assez quitté avant de vous poser une dernière que devenu vous que faites-vous aujourd'hui ?

Je suis de plus en plus présent au niveau de mon magasin, car j'avais déjà un peu prévu l'après carrière. De temps en temps, je fais des stages avec des offices de tourisme ou des associations pour encadrer des cyclo-sportives ce qui me plaît énormément. C'est aussi une certaine reconnaissance à tous ceux qui m'ont suivi pendant toutes ces années. Je me fait aussi plaisir en course à pied, aussi pour m'entretenir. On aime avoir toujours des objectifs car quand on a été compétiteur on a toujours envie de se surpasser.

Mon petit doigt m'a dit que vous vous aviez une marque de cadres sur-mesure. C'est toujours le cas ?

Oui toujours. C'est une fabrication de cadres, c'est mon frère qui fabrique des cadres 100% Français puisque la fabrication se trouve à St Antoine du Rocher à côté de Tours. Cela fait partie des nombreuses marques que l'on a au magasin, et de plus en plus de monde s'y intéresse. Ce sont des cadres sur-mesure, des cadres de qualité. Je profite aussi un petit peu, il faut pouvoir souffler après des années de sacrifices et profiter de sa famille.

Romain Feillu : "Montrer que je suis présent"


Au contraire de certains, lui y a toujours cru. Et il a bien fait. Ce week-end à Copenhague, Romain Feillu sera bel et bien sur la ligne de départ du championnat du monde en ligne. En attendant, le sprinteur de la Vacansoleil continue de préparer minutieusement son affaire et se fixe une dernière grosse journée d'entrainement jeudi pour mettre au point les derniers détails et garder le rythme :

"Je ferai un dernier gros entraînement jeudi et après, ce sera bon. Mes jambes vont bien, ma condition est très bonne" assure-t-il auprès de la Nouvelle République. On est donc bien loin du Romain Feillu de début Aout. Sur le Tour de Pologne, le Français s'était en effet la clavicule et sa participation aux Mondiaux aurait pu être remise en cause. Pas pour lui : "A aucun moment, je n'ai douté. On était à deux mois de la compétition, et pour ce genre de blessure, s'il n'y a pas de complication, c'est jouable. D'ailleurs, je peux le dire maintenant : trois jours après, j'étais déjà en train de faire du canoë !" en rit-il désormais.

Dimanche, ce ne sera pas une partie de plaisir, loin de là, et Feillu place la barre haute : "J'y vais pour gagner" poursuit-il. S'il n'a pas la faveur des pronostics à l'échelle mondiale, l'a-t-il au moins du côté français ? "Laurent Jalabert va me demander de faire ma course. Pendant les quinze premiers tours, j'aurai pour objectif d'attendre bien sagement dans le peloton, aux alentours de la 50e place. A quatre tours de l'arrivée, j'imagine que les attaques vont commencer à fuser et ce sera à moi de montrer que je suis présent et que je peux gagner."

Frank Schleck : "Gilbert, mon grand favori"



Contrairement à son frêre cadet, Frank Schleck représentera bien les couleurs du Luxembourg, dimanche, à Copenhague, pour la course en ligne des championnats du Monde. Le troisième du dernier Tour de France a peaufiné sa préparation dimanche dernier, en France, sur le GP d'Isebergues. L'occasion pour Frank Schleck de répondre aux questions de Cyclism'Actu à l'approche du prestigieux rendez-vous, et ce même si le parcours ne convient pas au leader luxembourgeois.

Frank Schleck, c'est assez inhabituel de vous voir sur une Coupe de France...

J'aime toujours bien rouler en France, ça m'a toujours fait plaisir. C'est la deuxième fois que je viens sur le Grand Prix d'Isbergues. Le but était de se faire plaisir et de bien préparer ces Championnats du Monde. Je pense que c'est chose faite.

Le parcours du Championnat du Monde n'est pas vraiment à votre avantage, ni à l'avantage de la sélection Luxembourgeoise.

Oui, ça n'est pas un bon parcours pour moi mais on est là pour représenter notre pays et ça rend toujours très fier de représenter les couleurs nationales. On va donc essayer de se pointer sur ce rendez-vous au mieux. Je pense qu'il n'y aura pas grand chose à faire pour éviter le sprint, il va nous falloir suivre pour pouvoir saisir une opportunité. Maintenant je ne peux vous dire de tactique car c'est vraiment un parcours pour les sprinters.

Selon vous justement, quels sont les sprinteurs les plus à même de tirer leur épingle du jeu ?

Des sprinteurs il y en aura beaucoup. Personne ne domine vraiment la discipline. On connait tous les grands favoris du Championnat mais on essayera, même si le parcours nous avantage pas, de faire bonne figure.

Une équipe comme la Belgique ne pourra plus compter sur son sprinter Tom Boonen, mais a dans ses rangs l'un des coureurs les plus impressionnant de l'année. Pensez-vous qu'un Philippe Gilbert puisse inverser la tendance et contrecarrer les plans des sprinters ?

Avec la forme qu'affiche Philippe Gilbert depuis le début de saison et sur les dernières courses , je pense que même si ce n'est pas un grand sprinteur, il peut l'emporter. Je lui mettrais cinq étoiles, c'est mon grand favori pour dimanche. On verra bien.

Freire : "J'ai juste peur des conditions météo"

Déjà trois fois champion du monde par le passé, Oscar Freire pourrait bien s'octroyer un quatrième titre mondial dans quelques jours. A Copenhague, ce week-end, ce sera sans aucun doute sa dernière chance de pouvoir enfiler le maillot irisé. L'Espagnol, qui sera le leader de la sélection ibérique, se rend en tous cas au Danemark pour la gagne :

“Je suis bien évidemment heureux d’avoir pu porter le maillot arc-en-ciel durant trois saisons, mais l’avoir à nouveau pour une saison, ce serait vraiment très beau. Je ne vais pas dire que c’est un rêve, mais je suis très motivé par cette perspective" a-t-il confié à la Dernière Heure. Septième du Grand Prix de Wallonie tout récemment, Freire a pu constater qu'il était dans une forme acendante : "Bon, sur le papier, je ne sais pas trop où j’en suis. Mais j’espère être bien pour le Championnat du Monde" nuance-t-il toutefois.

Invité à décrire le parcours, le sprinteur de poche de la "Rabo" détaille : "J’ai participé cet été au Tour du Danemark pour pouvoir aller jeter un coup d’œil au parcours. J’ai pu me rendre compte de sa facilité. Il n’y a seulement qu’une côte, celle de l’arrivée. Cela pourrait donc se terminer au sprint. J’aurais préféré un tracé plus dur, plus éprouvant, mais je peux m’y débrouiller" poursuit Freire. En réalité, ce n'est donc pas le parcours qui est susceptible de le gêner, mais plutôt ... le temps :

"J’ai juste peur des conditions météo. En Espagne, il fait encore très chaud. Ici, déjà, en Belgique, il fait plus frais, mais s’il fait mauvais au Danemark, cela pourrait être vraiment difficile. Car apparemment, là-bas, quand il fait mauvais, il fait vraiment froid ! Ce ne serait pas idéal pour nous, les Espagnols ! Surtout qu’un Mondial, c’est long." Et un Mondial, ça regorge aussi de coureurs de talents. Oscarito liste deux coureurs qu'il faudra garder à l'oeil : "“C’est une arrivée pour Thor Hushovd. Mais n’oubliez pas que même sur un tracé comme celui-là, un certain Philippe Gilbert peut être très dangereux. Philippe, c’est tout simplement le meil- leur du monde ! Et il s’annonce redoutable."

Par ailleurs, Freire a d'ores et déjà annoncé qu'il prendrait une décision quant à son avenir suite aux championnats du monde. S'il venait à être couronné, nul doute qu'il repartirait pour un an. Dans le cas contraire, la réflexion devrait être beaucoup plus longue ...

Le contre la montre des Elites femmes











1. Judith Arndt (GER), les 27,8 km en 37:07 (moyenne: 44,931 km/h)
2. Linda Villumsen (DEN) à 21
3. Emma Pooley (GBR) 24
4. Tara Whitten (CAN) 26
5. Clara Hughes (CAN) 36
6. Eleonora Van Dijk (NED) 38
7. Rhae-Christie Shaw (CAN) 39
8. Amber Neben (USA) 41
9. Emilia Fahlin (SWE) 55
10. Marianne Vos (NED) 55
11. Ina Teutenberg (GER) 56
12. Shara Gillow (AUS) 1:00
13. Elena Tchalykh (AZE) 1:00
14. Emma Johansson (SWE) 1:01
15. Evelyn Stevens (USA) 1:21
16. Olga Zabelinskaya (RUS) 1:25
17. Julia Shaw (GBR) 1:49
18. Noemi Cantele (ITA) 1:58
19. Pascale Schnyder (SUI) 1:58
20. Pia Sundstedt (FIN) 2:01