Re: Au suivant du suivant...
Publié : 14 sept. 2009, 21:26
Sachez Monsieur qu'il n'y en a JAMAIS eu!! 

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Oui, ca doit etre un phenomene nouveauironturtle a écrit :Sachez Monsieur qu'il n'y en a JAMAIS eu!!
source : http://www.lequipe.fr/Cyclisme/breves20 ... ingle.htmlCyclisme - Dopage
Nuno Ribeiro épinglé
Vainqueur du Tour du Portugal en août dernier, Nuno Ribeiro a été contrôlé positif à l'EPO Cera peu avant l'épreuve. Deux de ses coéquipiers au sein de l'équipe Liberty Seguros, les Espagnols Hector Guerra et Isidro Nozal - 2e de la Vuelta 2003 -, ont également été contrôlés positifs. L'assureur, qui avait déjà retiré son parrainage à l'équipe de Manolo Sainz à la suite de l'affaire Puerto, a décidé d'enlever son soutien à l'équipe, qui évolue au niveau Continental. Ribeiro, âgé de 32 ans et qui avait déjà gagné le Tour du Portugal en 2003, devrait être déchu de son titre au profit de l'Espagnol David Blanco (Palmeiras Resort-Tavira), déjà sacré en 2008.
Dans une brève déclaration à l'agence Lusa, Ribeiro a confirmé avoir été notifié par l'Union cycliste internationale (UCI) des résultats positifs du contrôle effectué quelques jours avant le départ de la Volta, le 6 août. Suspendu à titre provisoire, tout comme ses deux coéquipiers, il a annoncé dans la foulée son forfait pour les Mondiaux de Mendrisio. Le directeur du Tour du Portugal, Joaquim Gomes, a déclaré vendredi à la presse éprouver un «sentiment étrange, fait de tristesse et de déception (...) mais aussi de satisfaction de voir la lutte antidopage prendre l'avantage sur les fraudeurs». (Avec AFP)
Sans vouloir jouer les naïves, c'est quand même tristeL'un d'entre eux, un étudiant qui réside en Espagne, va finalement tout expliquer. Il dit avoir acheté de l'actovegin à un pharmacien en Ukraine qu'il prenait sous la forme de comprimé. "Je devais me servir de ces seringues pour utiliser un produit interdit, du GMH (une hormone de croissance)", explique-t-il. Et pourquoi est-ce interdit ? "Je ne sais pas", lâche le coureur. Pourquoi l'utiliser ? Pour favoriser la récupération. "J'achète des produits par rapport à ce que j'entends (...) et avec l'argent de mes parents", ajoute-t-il.
Une autre seringue, bleue et plus grande que les autres, lui sert à diviser la somatropine pour en faire deux doses. "Je me dopais car je voulais obtenir de meilleurs résultats pour intégrer une équipe professionnelle et ainsi avoir de l'argent", raconte-t-il, naïvement. Pourtant, il est déjà pro : "On aspire toujours à être meilleur et à gagner un peu plus d'argent."
Ma yé suis pret à paltagé n'impolte quoi bellissima ragazzaaurelie.218 a écrit :Merci de nous avoir fait partager ces articles, c'est sympa
A 10 ans, la plupart ne connaissaient même pas le vélo, c'est à-peu près sûr.zeus a écrit :et dire qu'en 98 ces jeunes avaient 10-11 ans ça aurait du les marquer et bien non, moi aussi je dois être trop naif.
Cet été, en toute discrétion, la police française a fait les poubelles des équipes participant au Tour de France. La "pêche" a été plutôt fructueuse, puisque plusieurs substances qui ne bénéficiaient d'aucune autorisation d'importation de la part de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) ont fait l'objet de saisies judiciaires au sein de certaines formations étrangères. Ainsi du telmisartan et du quinapril, deux antihypertenseurs dont les experts antidopage soupçonnent l'usage chez les sportifs pour traiter l'hypertension artérielle associée à la pratique des transfusions sanguines.
La police a également trouvé de la venlafaxine, un antidépresseur; la valpromide, un anticonvulsant utilisé dans le traitement de la psychose maniaco-dépressive; ou encore de la sitagliptine, un antidiabétique favorisant la sécrétion d'insuline. Cette dernière fait partie depuis plusieurs années de l'arsenal de base des dopeurs et des dopés.
L'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) soupçonne par ailleurs l'usage d'une nouvelle érythropoïétine (EPO), dite de troisième génération, pendant le Tour 2009: l'hematide, un médicament encore en phase clinique et dont la commercialisation n'est prévue que pour 2011 (Le Monde du 28juillet). Pour en avoir le cœur net, l'AFLD souhaiterait pouvoir tester de nouveau certains échantillons prélevés pendant la dernière Grande Boucle. Faute d'avoir reçu l'autorisation de l'Union cycliste internationale (UCI), l'organe "propriétaire" des échantillons du Tour de France 2009, pour pratiquer ces analyses complémentaires, l'AFLD et son laboratoire de Châtenay-Malabry se penchent depuis quelques jours sur des échantillons du Tour… 2008.
Lors de cette édition, contrairement à cet été, l'autorité antidopage française était seule aux commandes des contrôles, la Grande Boucle n'ayant pas eu lieu sous l'égide de l'UCI en raison d'un ancien conflit avec l'organisateur de l'épreuve, Amaury Sport Organisation (ASO). En 2008, l'AFLD avait retrouvé une nouvelle EPO, la CERA (Continous érythropoïétine activator), dans les urines de plusieurs coureurs pendant et après le Tour dont le porteur du maillot jaune italien Riccardo Ricco et le troisième du classement général, l'Allemand Bernhard Kohl. Selon nos informations, l'AFLD aurait dans le collimateur dix-sept coureurs.
Stéphane Mandard