Relis l'article: https://www.letemps.ch/sciences/vaccina ... -questionsBardamu a écrit : 12 déc. 2021, 20:48Ils diminuent les risques de développer une forme grave. Mais les enfants n’ont aucun risque de développer une forme grave. A quoi bon les vacciner ? Pourquoi essayer de nous faire croire que les vacciner freinerait la transmission ?triplette a écrit : 12 déc. 2021, 19:34Le vaccins n'empêchent pas les contaminations, ils en diminuent les risques. Cela a été expliqué partout depuis longtemps, mais vous faites comme d'hab avec votre logiciel basique comme si c'était un schéma binaire. C'est vraiment pénible.Bardamu a écrit : 12 déc. 2021, 19:19
Ah pardon, j’avais pas vu…
Ils ne se rendent même plus compte que leurs tromperies et mensonges se voient comme le nez au milieu de la figure. C’est davantage la marque d’une affection de nature idéologique que purement crapuleuse çà…
Quand le menteur croit en ses fadaises, ça devient un moine-soldat, un inquisiteur, il sort du champ purement délictueux.
1) même si les 2 sont très rares, les enfants ont plus de risque de développer une forme grave du COVID que d'avoir des effets secondaires graves, par exemple une myocardite ("On peut ainsi espérer un risque plus faible de myocardites, bien moindre que le risque de cette même complication après une infection au Covid-19"). Or vu la vitesse à laquelle l'épidémie se propage, il est certain qu'avant longtemps tous les enfants soit auront attrapé le COVID, soit auront été vacciné, soit les 2. Même pour les enfants le rapport bénéfice / risque est positif: "Pour l’Agence européenne des médicaments qui a approuvé l’usage du vaccin à ARN messager de Pfizer/BioNTech chez les 5-11 ans le 25 novembre dernier, le bénéfice du vaccin pour les enfants de cette tranche d’âge est supérieur aux risques". A choisir, il vaut mieux se vacciner que d’attraper le COVID, les risques sont bien moindres, même pour les enfants.
2) les enfants sont actuellement la partie de la population la plus touchée par le COVID (sans doute parce qu'ils sont les moins vaccinés). "Quelle est la prévalence des cas graves du Covid-19 chez les enfants de 5 à 11 ans? Selon le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC), cette tranche d’âge a représenté une proportion croissante des cas d’infections et des hospitalisations dans les pays d’Europe, ces dernières ayant été multipliées par neuf chez les enfants symptomatiques (de 0,025 à 0,24 par 100 000 habitants) entre juillet et octobre 2021", "La semaine du 3 décembre en Suisse, ce sont les 0 à 9 ans, ainsi que les 10 à 19 ans qui représentaient les populations les plus touchées avec respectivement 940 et 1443 cas par 100’000 habitants."
3) le vaccin n'empêche pas la contamination, mais il réduit son risque, et donc le risque de transmission. "Vacciner les 5-11 ans pourrait diminuer en moyenne de 11% le taux de reproduction effectif dans l’ensemble de la population en prenant une couverture moyenne vaccinale de 75% chez les adultes et de 30 à 70% chez les enfants".
Si on veut de débarrasser de cette cochonnerie, il est donc tout à fait légitime de conseiller de vacciner les enfants, surtout si ceux-ci sont à risque (infection sous-jacente) ou à proximité de personnes à risques.