l'dub a écrit :Ce sont des discussions qui peuveut ne jamais s'arrêter !
On répond pour répondre en lisant mal
Tout est détourné et sorti du contexte pour avoir son ptit argument, c'est trop facile !
Tu peux t'appuyer sur des écrits au lieu de te plaindre de contexte sorti ? Lorsque l'on balance certaines affirmations faut y mettre les preuves, sinon ceux ne sont que pleurnicherie pour détourner l'attention.
Donc je reprends tes écrits...
On ne peut pas comparer ce qui n'est pas comparable !
Je me limitais bien à la préparation d'un Iroman ! Je vois pas ce que fait le basketteur dans la conversation ?
Comparons ce qui est comparable ?
Le sur ou le sous-entrainement n'est pas une problématique sportive générale ?
En quoi il y a une différence ?
Je n'ai pas quantifié le sur-entrainement même si j'ai une idée précise de ce qu'il pourrait être. Et là on s'emballe à me parler de "stakhanovistes" (mot qui plait bien apparemment

)
Hop hop hop... Que nenni, relis toi...
Ce n'est pas moi qui intentionnellement ait fait intervenir le jugement des A/R sur les sur et sous-entrainé.
Ce n'est pas moi qui ai affirmé...
Nombreux urgentistes et personnels soignants (kiné, rhumato, rééducateurs...) pourront confirmer que les pelotons sont remplis de gens déraisonnables, je sais de quoi je parle...
C'est donc sur ton curseur que je me pose... Et celui donne exactement le contraire de cela...
(au fait par déraisonnable c'est bien sous entrainé dans ton propos ??? Et non touriste "sans entrainement" du tout ?)
Sur les IM, les gars sous la tente que je peux rencontrer (discuter avec les urgentistes sur IM est très intéressant) sont plutôt au dessus des 15h/sem qu'en dessous, après quantifier un sur ou sous entrainement par rapport à cela, heu... Faut connaitre le profil complet de l'athlète et ses motivations/temps libre/famille pour évaluer le sur ou sous entrainement... Et les quelques données relevées à fin de statistique sont plutôt orienté vers le "Sur".
Votre souci est de ne pas savoir quelle est la dose pour optimiser votre entrainement et d'affirmer que c'est votre dose qui est la bonne.
Tiens tu me reproches de prendre le sportif dans sa globalité avec le sur et sou entrainement sportif et voilà que tu me reproches de ramener à mon cas.
C'est assez incohérent, je n'ai jamais fait de basket, ni de hand ou volley...
Je n'ai jamais affirmé que parce que je faisais quelque chose, c'est bon pour chacun, ce qui va pour Paul n'est pas bon pour Jacques et inversement pour Nicolas.
Le sur ou sous entrainement s'estime au cas par cas, par profil d'athlète.
Et en général, la grande majorité des athlètes frise le sur-entrainement beaucoup plus que le sous entrainement.
(Il n'y a pas que les A/R qui le voit, chaque entraineur le note. Ils sont plus nombreux les athlètes qui en rajoutent plutôt que ceux qui coupent les plans donnés)
C'est valable encore plus en Triathlon qui, contrairement à la CAP pure, peut laisser longtemps quelqu'un en fatigue chronique et en destruction intérieure, sans une blessure physique.
En tous cas, 80kms de vélo en 1 ou 2 fois par semaine pour préparer un parcours de 180 et 15km/sem pour préparer un marathon dans l'IM, c'est juste, très juste et c'est s'exposer à ne pas être prêt à le réaliser sans blessure ou problème.
Juste, cela dépend encore du profil de l'athlète et de ses ambitions.
Pour en avoir eu pas mal, je peux t'affirmer que les barrières horaires arrèteront ces athlètes bien avant une quelconque blessure...
C'est la seule chose que j'ai voulu dire et on va jusqu'à me parler de sportif pathologique, ça, c'est du grand écart !
Ca sent les gars qui cherchent à justifier leur truc et qui se rassurent en regardant les extrèmes inverses !
Et bingo jugement sur l'adversaire en ironisant sur les mots choisis...
Mais effectivement, il y a beaucoup de sportif pathologique qui emplissent les carnet de r/v des médecins... C'est les premiers à se blesser !
Figurez vous qu'au milieu de tout ça, il y a la grande majorité du "peloton" qui optimise intelligemment dans de bonnes proportions.
C'est pas grave si vous êtes en dessous, chacun ses plaisirs et ça ne vous empêche pas de finir votre IM comme vous pouvez; ça n'aura nuit à personne (jusqu'au jour où vous...) surtout pas à votre famille et c'est bien l'essentiel !
A cette dose, vous devriez aussi essayer le CD, ça devrait vous étonner agréablement
La tu te fait plaisir en imaginant que la majorité du "peloton" optimise intelligemment dans de bonnes proportions...
Ca y est, tu n'as rien donné, tu as débattu seul sans rien nous donner cela te permet de te ranger dans une majorité bienveillante qui optimise !?!?!?!
Heu... C'est quoi optimisé ?
Car, comme tu l'écris, faire 80kms de vélo 2 fois par semaine pour préparer un IM, c'est plus de 4160kms/an en y rajoutant les courses et cyclosportives...
C'est déjà un kilométrage correct pour une grande majorité des pimpim formant nos pelotons.
Avant d'être si catégorique et de venir écrire au nom d'une profession qui a des statistiques montrant le contraire de ce que tu affirmes, il est intéressant de se documenter.
Jamais je n'ai lu une thèse sur les conséquences néfastes du sous-entrainement pour la santé des athlètes, pour le sur entrainement, il te suffit d'aller dans les bibliothèques Staps ou CHU pour en avoir à foison. Cela signifie aussi quelque chose... Si tu es introduis dans ces milieux comme tu sembles l'affirmer, tu trouveras rapidement ces travaux.
Maintenant saches aussi que le sous-entrainement en CAP est déjà protocolisé depuis des années. Le triathlon en est, d'ailleurs, l'un des éléments.
En effet, souvent victime d'un sur-entrainement il existe des pathologies qui "interdisent" à bien des coureurs de faire des ultras (genre UTMB, GRR, GRP, etc... Avec Arthrose des hanches ou des genoux, entre autre...) ou des IM.²
Le sous entrainement est l'une des solutions adopté... Et cela marche !!! Pourquoi ?
Pour des raisons pas encore déterminé de manière précise, lors d'un ultra, ou un IM, le corps d'un sous entrainé va se mettre en mode survie et donc, toutes les pathologies seront masqués et l'athlète pourra finir sa compétition si sa stratégie est bien ordonné.
Le sur-entrainé ne connaitra jamais cet état car la répétition des entrainements durs font que le corps ne sait plus se mettre en mode survie.
La secrétion d'hormone étant exceptionnelle chez un sous entrainé, cette réaction de survie permet de finir bien sa course.
Chez le surentrainé la secrétion d'hormone n'est plus une solution avec une usure du process et la casse souvent bien avant la compétition objectif !
Chaque athlète est différent, mais pour la grande majorité du peloton qui ne vise pas les premières places, pour la santé, il est mieux d'être sous entrainé que sur entrainé...
LoPapy_ki_commence_à_avoir_trop_de_retard_pour_battre_son_record_sur_l'Altriman_
