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Joel a écrit : ↑21 oct. 2017 13:25

FAYARD a écrit : ↑21 oct. 2017 12:48

Joel a écrit : ↑21 oct. 2017 10:02 Quand je fais mes positionnements je demande le volume horaire hebdomadaire des athlètes (car c'est une donnée importante) et beaucoup d'amateurs sont entre 10 et 20h avec certains entre 20 et 25 ...

Joel, 10h ça s'encaisse et se case pas trop mal dans une semaine d'amateur, par contre 20h, ce n'est déjà plus possible pour beaucoup. Il faut le supporter physiquement et avoir un job et une vie famille adequat.

Moi je ne juge pas, c'est juste un constat

FAYARD a écrit : ↑21 oct. 2017 12:41 Cependant c'est pas parce que tu fais du long que tu fais plus de volume que si tu fais du M et du S, notamment chez les pros ou les Élites. On a tous vu le volume de Vincent Luis dans le petit reportage qui lui était consacré juste avant les JO de Rio.
Je maintiens que 26 h c'est énorme surtout quand tu ne pédales pas sur la route parce qu'il faut se les fader les heures sur HT.
Aprés tu as des mecs pas doués, mais qui adorent faire du sport pour le plaisir alors ils font du volume. Néanmoins il faut avoir un job qui soit compatible avec des volumes conséquents, ce n'est pas permis à tant de monde que cela.
Sanders est dans la fourchette basse, en effet, mais on ne peut pas dire que ce soit pas un volume conséquent, ce n'est pas anodin des semaines de 16 à 26h.

Gadagne a écrit : ↑22 oct. 2017 11:39 Quand je vois que je ne bosse que 3 nuits/semaine et qu'une fois que je me suis bien occupé des enfants, de la maison, des corvées administratives il ne me reste que 5 à 6h par semaine pour faire du sport dans de bonnes conditions .

Pour avoir fait plus de 20h par semaine célibataire, il y a une réalité, faire du triathlon en ayant une vie de famille, forcément c'est mettre beaucoup de la famille de côté

abdo_kassou a écrit : ↑22 oct. 2017 13:06 16h30 de moyenne c'est déjà énorme (faut déjà décompter les semaines de coupure, celles de compétition où on allège puis récupère sans compter le temps de transport).
Bref, comme toujours une moyenne ne veut rien dire.
Ce que l'on peut dire c'est que les volumes pour faire du long et du court (je parle du haut niveau) sont comparables. La différence sera peut être en natation (plus de séances pour le court) et certainement en vélo 180kms à 320w de moyenne ça se fait pas comme ça (encore que en court faut être performant en vélo et qu'il y a stratégie de faire le volume aérobie en vélo plutôt qu'en course à pied pour des raisons évidentes).
Personnellement, sans faire de natation (chiant, froid et bon une fois qu'on sait nager hein? )
avec moins de 6h je régresse, entre 7 et 9h je stagne (niveau maintenant plutôt quelconque mais bon régional), au delà je progresse. Autrement dit, à part pendant les vacances je ne fais que régresser
Et je suis d'accord avec Fayard, 26h c'est énorme surtout que c'est pas un pimpin (si on convertit en route 12h ça lui fait dans les 400kms, 6h à 7h de càp ça me paraît déjà limite et un volume proche des 100kms, reste 7/8h de natation 4 à 5 grosses journées!!!), ça me paraît dantesque mais possible à condition de ne faire que ça et de ne pas coucher avec sa femme ou alors juste pour l'hygiène.

Néo a écrit : ↑22 oct. 2017 13:26

abdo_kassou a écrit : ↑22 oct. 2017 13:06 16h30 de moyenne c'est déjà énorme (faut déjà décompter les semaines de coupure, celles de compétition où on allège puis récupère sans compter le temps de transport).
Bref, comme toujours une moyenne ne veut rien dire.
Ce que l'on peut dire c'est que les volumes pour faire du long et du court (je parle du haut niveau) sont comparables. La différence sera peut être en natation (plus de séances pour le court) et certainement en vélo 180kms à 320w de moyenne ça se fait pas comme ça (encore que en court faut être performant en vélo et qu'il y a stratégie de faire le volume aérobie en vélo plutôt qu'en course à pied pour des raisons évidentes).
Personnellement, sans faire de natation (chiant, froid et bon une fois qu'on sait nager hein? )
avec moins de 6h je régresse, entre 7 et 9h je stagne (niveau maintenant plutôt quelconque mais bon régional), au delà je progresse. Autrement dit, à part pendant les vacances je ne fais que régresser
Et je suis d'accord avec Fayard, 26h c'est énorme surtout que c'est pas un pimpin (si on convertit en route 12h ça lui fait dans les 400kms, 6h à 7h de càp ça me paraît déjà limite et un volume proche des 100kms, reste 7/8h de natation 4 à 5 grosses journées!!!), ça me paraît dantesque mais possible à condition de ne faire que ça et de ne pas coucher avec sa femme ou alors juste pour l'hygiène.

Ca serait bien de lire en entier avant de débattre.
Les 16h30 de moyenne de Sanders, c'est sur les 10 mois avant Hawaï. Donc la coupure n'y est pas.
Ici la moyenne a une signification puisqu'il la détaille.
7 à 9h/semaine tu stagnes sur quel format ? Sur IM ça m'étonnerait qu'on stagne...

Enfin, 26h en valeur plafond pour un pro qui n' a que ça à faire, c'est pas énorme. Ou en tous cas c'est loin d'être la norme. Il suffit de regarder les autres pros qui communiquent leur planning de stage.
26 heures sur 7 jours, ça fait 3h45 de sport par jour. 2h le matin, 1h45 l'après-m'.
Or, le but c'est quand même d'être performant sur une épreuve d'un jour qui dure 8h01'40" hein...et ça c'est dans le meilleur des cas

Joel a écrit : ↑21 oct. 2017 10:02 Quand je fais mes positionnements je demande le volume horaire hebdomadaire des athlètes (car c'est une donnée importante) et beaucoup d'amateurs sont entre 10 et 20h avec certains entre 20 et 25 ...

débutant a écrit : ↑22 oct. 2017 18:18 Il manque Romain GUILLAUME 2015 ! pourtant dans un article de Triathlète Magazine !

http://redaction.triathlete.fr/post/201 ... n%C3%A7ais

Christophe BUQUET a écrit : ↑22 oct. 2017 17:50

Joel a écrit : ↑21 oct. 2017 10:02 Quand je fais mes positionnements je demande le volume horaire hebdomadaire des athlètes (car c'est une donnée importante) et beaucoup d'amateurs sont entre 10 et 20h avec certains entre 20 et 25 ...

Etant originaire d'une région pluvieuse, j'ai été amené par le passé (ex: Hawaii 99) à réaliser un kilométrage vélo important sur home-trainer (ex: 1h30 home + 1h30 route). Par ailleurs le travail en bosse (ex: l'Ospédale en Corse (jusqu'à 3 montées consécutives)) ou derrière moto n'est pas à négliger dans certains blocs. Même si le volume reste une donnée importante, j'ai privilégié au long des années la qualité vélo.

CB