COVID-19, de l'espoir?
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Re: COVID-19, de l'espoir?
Tu n 'es pas obligé d'être vacciné, un test à 80€ tous les 3 jours suffit ...
Pour paraphraser un sketch des inconnus : obligatoire ou pas obligatoire ? Pas obligatoire, mais on ne vous laisse pas vraiment le choix ....
Pour paraphraser un sketch des inconnus : obligatoire ou pas obligatoire ? Pas obligatoire, mais on ne vous laisse pas vraiment le choix ....
Re: COVID-19, de l'espoir?
Je peux expliquer, mais ça n'a rien à voir avec les maths.kestrel a écrit : 13 juil. 2021, 10:25Super ta réponse et tellement bien argumentée.Silver0l a écrit : 13 juil. 2021, 10:15Mais oui mais oui, les sondages sont manipulés, les médias pensent tous la même chose et ils nous mentent, la Dépêche est manipulée par Macron...kestrel a écrit : 13 juil. 2021, 10:09
Pas de surprise venant de ta part, toujours dans la propagande.
Sondage Elabe commandé par... BFMTV évidement![]()
Donc selon ce sondage 72% des Français se disent favorables à une vaccination obligatoire des soignants alors que ces mêmes Français ne seraient que 40% à être complétement vaccinés.
https://covidtracker.fr/vaccintracker/
Et puis ces inutiles de sondeurs, ce ne sont pas eux qui avaient dit que le RN était très fort dans les sondages pour les régionales![]()
Tu es au même niveau de manipulations que ces derniers![]()
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Toi qui est un matheux, tu peux nous expliquer comment 72% sont favorables à cette vaccination quand ils ne sont que 40% à être vaccinés?
D'abord, il y a 40% de Français complètement vaccinés, mais il y a 53% de Français qui ont au moins reçu une dose. Donc 53% de Français qui ont engagé un processus de vaccination, mais qui attendent que le délai recommandé soit écoulé pour recevoir leur 2ème dose.
Ensuite, tu parles de pourcentage de Français, mais tous ne sont pas éligibles à la vaccination: il faut exclure les moins de 12 ans. En outre, le sondage a probablement interrogé les majeurs. Or le pourcentage de vaccinés parmi les majeurs est évidemment beaucoup plus élevé que parmi la population française en générale, puisque les mineurs sont peu vaccinés, n'ayant pas été dans les populations prioritaires.
Enfin et surtout, plein de gens ne sont pas encore vaccinés mais ont l'intention de se faire vacciner. Même avant les annonces, les centres vaccinaient chaque semaine des centaines de milliers de primo-vaccinés.
Globalement:
- 81% des Français sont aujourd'hui volontaire pour se faire vacciner
- et même 58% des Français sont favorables à ce que la vaccination soit obligatoire pour tous, ce qui va bien au delà des mesures prises récemment
Il ne reste plus qu'à convaincre les derniers antivax en les mettant en face de leur responsabilité: ils ne pourront plus continuer de fréquenter des lieux à risque et mettre en danger les autres sans montrer soit qu'ils ont été vaccinés, soit qu'ils ont été testés récemment, soit qu'ils ont été déjà contaminés.
Du simple bon sens.
Augmentus, le roman des cyclistes qui aiment l'IA
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Re: COVID-19, de l'espoir?
De plus sans certains de ceux-ci pas de crèche, de garderie...Silver0l a écrit : 13 juil. 2021, 10:13A toutes fins utiles, signalons que le vaccin est déjà obligatoire pour les enfants pour:Joel a écrit : 12 juil. 2021, 23:01
Et l'obligation vaccinale pour les enfants, c'est juste .... j'ai pas les mots !
la diphtérie
le tétanos
la poliomyélite
la coqueluche
l’Haemophilus influenzae b
l’hépatite B
le méningocoque C
le pneumocoque
la rougeole
les oreillons
la rubéole
...mais qu'il n'y a pas d'obligation vaccinale pour la COVID, simplement un pass sanitaire exigé à partir de 12 ans pour certaines activités.
Bien que la pharma c'est mon gagne pain, je suis le premier à penser que le premier médoc c'est l'alimentation et que bon nombres de merdes devraient être retirées du marché ou au moins on devrait réduire drastiquement l'usage pour quand cela est vraiment nécessaire (statines, opioïdes..).
Mais je crois qu'il serait bon de faire un tour en Inde ou en Afrique et de voir ce que c'est de vivre avec un taux de mortalité infantile de 50 pour 1000, les dégâts de la polio etc...J'ai pas l'impression que le bénéfice de ces vaccins sur autant de personnes, sur autant de décennies soit quelques chose de discutable.
Re: COVID-19, de l'espoir?
Tu n'as pas besoin d'un test tous les 3j, tu as besoin d'un test quand tu risques de mettre en danger la santé d'autrui en te rendant dans un lieu où la probabilité de contamination est élevée.Petithomme a écrit : 13 juil. 2021, 10:47 Tu n 'es pas obligé d'être vacciné, un test à 80€ tous les 3 jours suffit ...
Pour paraphraser un sketch des inconnus : obligatoire ou pas obligatoire ? Pas obligatoire, mais on ne vous laisse pas vraiment le choix ....
Après, il est plus que normal que la collectivité arrête de rembourser à la pelle des tests à répétition à 80 euros (la FRance était un des rares pays à avoir cette générosité), quand 2 vaccins à 30 euros règlent le pb.
Du simple bon usage des deniers publics. Et un moyen d'encourager la vaccination, qui est aujourd'hui la seule solution viable à terme.
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Re: COVID-19, de l'espoir?
Dire que la majorité des gens sont favorables à la vaccination, je n'y crois pas un instant.Silver0l a écrit : 13 juil. 2021, 10:59Je peux expliquer, mais ça n'a rien à voir avec les maths.kestrel a écrit : 13 juil. 2021, 10:25Super ta réponse et tellement bien argumentée.Silver0l a écrit : 13 juil. 2021, 10:15
Mais oui mais oui, les sondages sont manipulés, les médias pensent tous la même chose et ils nous mentent, la Dépêche est manipulée par Macron...![]()
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Toi qui est un matheux, tu peux nous expliquer comment 72% sont favorables à cette vaccination quand ils ne sont que 40% à être vaccinés?
D'abord, il y a 40% de Français complètement vaccinés, mais il y a 53% de Français qui ont au moins reçu une dose. Donc 53% de Français qui ont engagé un processus de vaccination, mais qui attendent que le délai recommandé soit écoulé pour recevoir leur 2ème dose.
Ensuite, tu parles de pourcentage de Français, mais tous ne sont pas éligibles à la vaccination: il faut exclure les moins de 12 ans. En outre, le sondage a probablement interrogé les majeurs. Or le pourcentage de vaccinés parmi les majeurs est évidemment beaucoup plus élevé que parmi la population française en générale, puisque les mineurs sont peu vaccinés, n'ayant pas été dans les populations prioritaires.
Enfin et surtout, plein de gens ne sont pas encore vaccinés mais ont l'intention de se faire vacciner. Même avant les annonces, les centres vaccinaient chaque semaine des centaines de milliers de primo-vaccinés.
Globalement:
- 81% des Français sont aujourd'hui volontaire pour se faire vacciner
Se battre contre la vaccination est véritablement un combat rétrograde et d'arrière-garde. Le vaccin a fait ses preuves, il est la clé de la fin de cette cochonnerie, nous en sommes tous convaincus.
- et même 58% des Français sont favorables à ce que la vaccination soit obligatoire pour tous, ce qui va bien au delà des mesures prises récemment
Il ne reste plus qu'à convaincre les derniers antivax en les mettant en face de leur responsabilité: ils ne pourront plus continuer de fréquenter des lieux à risque et mettre en danger les autres sans montrer soit qu'ils ont été vaccinés, soit qu'ils ont été testés récemment, soit qu'ils ont été déjà contaminés.
Du simple bon sens.
Mon cas et ceux de beaucoup de personnes autour de moi, n'est pas unique.
Je suis vacciné (Pfizzer) depuis plusieurs mois, et je l'ai fait non pas parce que j'y suis favorable, mais simplement parce que depuis plusieurs mois, au travers des différents discours des médias qui relayaient la bonne parole du Gvt, j'avais bien compris que ça allait être un pré requis pour voyager, et comme je voyage, je n'avais pas d'autre choix que de me faire vacciner.
Re: COVID-19, de l'espoir?
Donc, il sera normal de prouver que tu es vacciné pour aller faire tes courses et par défaut, tous les employés des grandes surfaces auront l'obligation d'être vaccinés.Silver0l a écrit : 13 juil. 2021, 11:08Tu n'as pas besoin d'un test tous les 3j, tu as besoin d'un test quand tu risques de mettre en danger la santé d'autrui en te rendant dans un lieu où la probabilité de contamination est élevée.Petithomme a écrit : 13 juil. 2021, 10:47 Tu n 'es pas obligé d'être vacciné, un test à 80€ tous les 3 jours suffit ...
Pour paraphraser un sketch des inconnus : obligatoire ou pas obligatoire ? Pas obligatoire, mais on ne vous laisse pas vraiment le choix ....
Après, il est plus que normal que la collectivité arrête de rembourser à la pelle des tests à répétition à 80 euros (la FRance était un des rares pays à avoir cette générosité), quand 2 vaccins à 30 euros règlent le pb.
Du simple bon usage des deniers publics. Et un moyen d'encourager la vaccination, qui est aujourd'hui la seule solution viable à terme.
Je suis complétement en phase sur le fait de faire payer les test dits de confort, en revanche ça va créer un problème pour le dépistage précoce de la maladie puisqu'une personne qui présentait des signes d'infection pouvait s'auto tester et s'isoler.
Elle devra maintenant se déplacer chez son médecin.
1/ ça va alourdir la prise en charge
2/ elle risque de contaminer son entourage
Re: COVID-19, de l'espoir?
On l'a déjà dit maintes fois, la Dictature, ce n'est pas que les bruits de bottes...claude a écrit : 13 juil. 2021, 10:46 Faut se calmer avant de crier à la dictature face à des mesures purement sanitaires…
Rappelons le précédent de la tuberculose… mal du siècle jusqu'à l'arrivée de la pénicilline en 1945 !
Ma Mère était médecin a partir de 1939, et comme beaucoup de toubibs de l'époque, elle a commencé comme phtisiologue… spécialité non sans risque pour les soignants !
Elle m'a raconté qu'à l'époque, pour un cas déclaré dans une famille, la personne concernée, même le papa ou la maman, était autoritairement placée en sanatorium pour plusieurs mois… sanatorium dont ils revenaient guéris plus tard… ou pas. Elle a perdu beaucoup de malades...
La France était à l'époque couverte de sanatoriums, on en a construit partout… même dans les endroits les plus humides du pays ! ( beaucoup de ces sanas ont plus tard été transformés en centres de traitement et convalescence pour les accidentés de la route… un mal du siècle chassant l'autre )
Et il ne faut pas croire que l'arrivée salvatrice de la pénicilline en 1945 a réglé le problème en deux temps trois mouvements… Ca a pris des dizaines d'années… opérations de dépistage annuelles ( "cuti réaction", radios) avec, là encore, envoi en sana des gens dépistés, la différence de taille étant qu'on pouvait alors les soigner efficacement et à coup sur s'ils avaient été dépistés à temps.
Il n'était pas question, à l'époque, de refuser les dépistages, les radios et autres contrôles. Je crois que si on s'amusait à essayer ça on se faisait exclure ou mettre à l'écart. Et ça n'arrivait pas qu'aux autres : à la fin des années 50 j'ai chopé une "primo-infection", qui m'a valu un séjour de 3 mois dans un sana pour enfants, et dans les années 60 un de mes cousins a déclaré la maladie elle-même et est parti 6 mois en sana pur et dur.
C'était assez lourd, assez contraignant, et c'est resté dangereux longtemps. Je crois que le dispositif n'a été finalement levé qu'il y a une trentaine (?) d'années…
Alors, à côté de ça, y a pas trop lieu de se plaindre dans la situation actuelle. Y a eu des vaccins apparemment efficaces moins d'un an après l'arrivée de la maladie ! Et je crois que le plus dangereux, quand on va se faire vacciner, ça doit être le trajet en auto…
Bref, si vous ne vous êtes pas encore vaccinés, allez-y sans hésiter, et laissez braire les "anti-vax" qui sont finalement les héritiers des blaireaux qui, il n'y a pas si longtemps, prétendaient que jamais ils ne mettraient la ceinture en auto !
Par ailleurs, ce n'est pas tant un problème d'anti ou de pro vax que de proportionnalité des atteintes aux Libertés Publiques.
Personne n'aurait d'objections à faire s'il s'agissait d'un virus dangereux comme la peste ou la variole en leur temps... cette domestication aussi facile du Peuple interroge véritablement quant à notre organisation politique.
Re: COVID-19, de l'espoir?
On ne le dit pas trop, mais dans certaines entreprises privées, si t’es pas vacciné, tu dégages. D’ici à ce que les enseignes de la grande distribution mettent la pression sur leurs employés, y’a pas bien long à attendre. J’avais encore quelques collègues récalcitrants, mais avec les annonces d’hier soir, bah ils sont entrain de prendre rdv.kestrel a écrit : 13 juil. 2021, 11:20Donc, il sera normal de prouver que tu es vacciné pour aller faire tes courses et par défaut, tous les employés des grandes surfaces auront l'obligation d'être vaccinés.Silver0l a écrit : 13 juil. 2021, 11:08Tu n'as pas besoin d'un test tous les 3j, tu as besoin d'un test quand tu risques de mettre en danger la santé d'autrui en te rendant dans un lieu où la probabilité de contamination est élevée.Petithomme a écrit : 13 juil. 2021, 10:47 Tu n 'es pas obligé d'être vacciné, un test à 80€ tous les 3 jours suffit ...
Pour paraphraser un sketch des inconnus : obligatoire ou pas obligatoire ? Pas obligatoire, mais on ne vous laisse pas vraiment le choix ....
Après, il est plus que normal que la collectivité arrête de rembourser à la pelle des tests à répétition à 80 euros (la FRance était un des rares pays à avoir cette générosité), quand 2 vaccins à 30 euros règlent le pb.
Du simple bon usage des deniers publics. Et un moyen d'encourager la vaccination, qui est aujourd'hui la seule solution viable à terme.
Je suis complétement en phase sur le fait de faire payer les test dits de confort, en revanche ça va créer un problème pour le dépistage précoce de la maladie puisqu'une personne qui présentait des signes d'infection pouvait s'auto tester et s'isoler.
Elle devra maintenant se déplacer chez son médecin.
1/ ça va alourdir la prise en charge
2/ elle risque de contaminer son entourage
“Les réseaux sociaux vous ont tous mis trop à l’aise avec le fait de manquer de respect aux gens, sans vous faire casser la gueule”. Mike Tyson 

Re: COVID-19, de l'espoir?
Dans la liste des vaccins obligatoires, on ne peut pas dire que l’Hépatite soit vraiment une maladie aussi grave que la peste ou la variole. Et pourtant ça n’a pas bronché une seconde malgré une très mauvaise réputation sur le vaccin et la fameuse affaire de la sclérose en plaque.Bardamu a écrit : 13 juil. 2021, 11:26On l'a déjà dit maintes fois, la Dictature, ce n'est pas que les bruits de bottes...claude a écrit : 13 juil. 2021, 10:46 Faut se calmer avant de crier à la dictature face à des mesures purement sanitaires…
Rappelons le précédent de la tuberculose… mal du siècle jusqu'à l'arrivée de la pénicilline en 1945 !
Ma Mère était médecin a partir de 1939, et comme beaucoup de toubibs de l'époque, elle a commencé comme phtisiologue… spécialité non sans risque pour les soignants !
Elle m'a raconté qu'à l'époque, pour un cas déclaré dans une famille, la personne concernée, même le papa ou la maman, était autoritairement placée en sanatorium pour plusieurs mois… sanatorium dont ils revenaient guéris plus tard… ou pas. Elle a perdu beaucoup de malades...
La France était à l'époque couverte de sanatoriums, on en a construit partout… même dans les endroits les plus humides du pays ! ( beaucoup de ces sanas ont plus tard été transformés en centres de traitement et convalescence pour les accidentés de la route… un mal du siècle chassant l'autre )
Et il ne faut pas croire que l'arrivée salvatrice de la pénicilline en 1945 a réglé le problème en deux temps trois mouvements… Ca a pris des dizaines d'années… opérations de dépistage annuelles ( "cuti réaction", radios) avec, là encore, envoi en sana des gens dépistés, la différence de taille étant qu'on pouvait alors les soigner efficacement et à coup sur s'ils avaient été dépistés à temps.
Il n'était pas question, à l'époque, de refuser les dépistages, les radios et autres contrôles. Je crois que si on s'amusait à essayer ça on se faisait exclure ou mettre à l'écart. Et ça n'arrivait pas qu'aux autres : à la fin des années 50 j'ai chopé une "primo-infection", qui m'a valu un séjour de 3 mois dans un sana pour enfants, et dans les années 60 un de mes cousins a déclaré la maladie elle-même et est parti 6 mois en sana pur et dur.
C'était assez lourd, assez contraignant, et c'est resté dangereux longtemps. Je crois que le dispositif n'a été finalement levé qu'il y a une trentaine (?) d'années…
Alors, à côté de ça, y a pas trop lieu de se plaindre dans la situation actuelle. Y a eu des vaccins apparemment efficaces moins d'un an après l'arrivée de la maladie ! Et je crois que le plus dangereux, quand on va se faire vacciner, ça doit être le trajet en auto…
Bref, si vous ne vous êtes pas encore vaccinés, allez-y sans hésiter, et laissez braire les "anti-vax" qui sont finalement les héritiers des blaireaux qui, il n'y a pas si longtemps, prétendaient que jamais ils ne mettraient la ceinture en auto !
Par ailleurs, ce n'est pas tant un problème d'anti ou de pro vax que de proportionnalité des atteintes aux Libertés Publiques.
Personne n'aurait d'objections à faire s'il s'agissait d'un virus dangereux comme la peste ou la variole en leur temps... cette domestication aussi facile du Peuple interroge véritablement quant à notre organisation politique.
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Re: COVID-19, de l'espoir?
Il me semble que cette vaccination contre l'hépatite reste controversée... Et ça ne modifie en rien mon raisonnement.FAYARD a écrit : 13 juil. 2021, 11:33Dans la liste des vaccins obligatoires, on ne peut pas dire que l’Hépatite soit vraiment une maladie aussi grave que la peste ou la variole. Et pourtant ça n’a pas bronché une seconde malgré une très mauvaise réputation sur le vaccin et la fameuse affaire de la sclérose en plaque.Bardamu a écrit : 13 juil. 2021, 11:26On l'a déjà dit maintes fois, la Dictature, ce n'est pas que les bruits de bottes...claude a écrit : 13 juil. 2021, 10:46 Faut se calmer avant de crier à la dictature face à des mesures purement sanitaires…
Rappelons le précédent de la tuberculose… mal du siècle jusqu'à l'arrivée de la pénicilline en 1945 !
Ma Mère était médecin a partir de 1939, et comme beaucoup de toubibs de l'époque, elle a commencé comme phtisiologue… spécialité non sans risque pour les soignants !
Elle m'a raconté qu'à l'époque, pour un cas déclaré dans une famille, la personne concernée, même le papa ou la maman, était autoritairement placée en sanatorium pour plusieurs mois… sanatorium dont ils revenaient guéris plus tard… ou pas. Elle a perdu beaucoup de malades...
La France était à l'époque couverte de sanatoriums, on en a construit partout… même dans les endroits les plus humides du pays ! ( beaucoup de ces sanas ont plus tard été transformés en centres de traitement et convalescence pour les accidentés de la route… un mal du siècle chassant l'autre )
Et il ne faut pas croire que l'arrivée salvatrice de la pénicilline en 1945 a réglé le problème en deux temps trois mouvements… Ca a pris des dizaines d'années… opérations de dépistage annuelles ( "cuti réaction", radios) avec, là encore, envoi en sana des gens dépistés, la différence de taille étant qu'on pouvait alors les soigner efficacement et à coup sur s'ils avaient été dépistés à temps.
Il n'était pas question, à l'époque, de refuser les dépistages, les radios et autres contrôles. Je crois que si on s'amusait à essayer ça on se faisait exclure ou mettre à l'écart. Et ça n'arrivait pas qu'aux autres : à la fin des années 50 j'ai chopé une "primo-infection", qui m'a valu un séjour de 3 mois dans un sana pour enfants, et dans les années 60 un de mes cousins a déclaré la maladie elle-même et est parti 6 mois en sana pur et dur.
C'était assez lourd, assez contraignant, et c'est resté dangereux longtemps. Je crois que le dispositif n'a été finalement levé qu'il y a une trentaine (?) d'années…
Alors, à côté de ça, y a pas trop lieu de se plaindre dans la situation actuelle. Y a eu des vaccins apparemment efficaces moins d'un an après l'arrivée de la maladie ! Et je crois que le plus dangereux, quand on va se faire vacciner, ça doit être le trajet en auto…
Bref, si vous ne vous êtes pas encore vaccinés, allez-y sans hésiter, et laissez braire les "anti-vax" qui sont finalement les héritiers des blaireaux qui, il n'y a pas si longtemps, prétendaient que jamais ils ne mettraient la ceinture en auto !
Par ailleurs, ce n'est pas tant un problème d'anti ou de pro vax que de proportionnalité des atteintes aux Libertés Publiques.
Personne n'aurait d'objections à faire s'il s'agissait d'un virus dangereux comme la peste ou la variole en leur temps... cette domestication aussi facile du Peuple interroge véritablement quant à notre organisation politique.
Re: COVID-19, de l'espoir?
Tu vis dans ta bulle. Regarde les gens. Autour de moi, l'évolution en faveur du vaccin est flagrante - et c'est plus que normal, tout le monde peut constater tous les jours qu'il marche et que les effets secondaires sont négligeables. Il n'y a plus que les derniers des blaireaux à rester antivax.kestrel a écrit : 13 juil. 2021, 11:12Dire que la majorité des gens sont favorables à la vaccination, je n'y crois pas un instant.Silver0l a écrit : 13 juil. 2021, 10:59Je peux expliquer, mais ça n'a rien à voir avec les maths.kestrel a écrit : 13 juil. 2021, 10:25
Super ta réponse et tellement bien argumentée.
Toi qui est un matheux, tu peux nous expliquer comment 72% sont favorables à cette vaccination quand ils ne sont que 40% à être vaccinés?
D'abord, il y a 40% de Français complètement vaccinés, mais il y a 53% de Français qui ont au moins reçu une dose. Donc 53% de Français qui ont engagé un processus de vaccination, mais qui attendent que le délai recommandé soit écoulé pour recevoir leur 2ème dose.
Ensuite, tu parles de pourcentage de Français, mais tous ne sont pas éligibles à la vaccination: il faut exclure les moins de 12 ans. En outre, le sondage a probablement interrogé les majeurs. Or le pourcentage de vaccinés parmi les majeurs est évidemment beaucoup plus élevé que parmi la population française en générale, puisque les mineurs sont peu vaccinés, n'ayant pas été dans les populations prioritaires.
Enfin et surtout, plein de gens ne sont pas encore vaccinés mais ont l'intention de se faire vacciner. Même avant les annonces, les centres vaccinaient chaque semaine des centaines de milliers de primo-vaccinés.
Globalement:
- 81% des Français sont aujourd'hui volontaire pour se faire vacciner
Se battre contre la vaccination est véritablement un combat rétrograde et d'arrière-garde. Le vaccin a fait ses preuves, il est la clé de la fin de cette cochonnerie, nous en sommes tous convaincus.
- et même 58% des Français sont favorables à ce que la vaccination soit obligatoire pour tous, ce qui va bien au delà des mesures prises récemment
Il ne reste plus qu'à convaincre les derniers antivax en les mettant en face de leur responsabilité: ils ne pourront plus continuer de fréquenter des lieux à risque et mettre en danger les autres sans montrer soit qu'ils ont été vaccinés, soit qu'ils ont été testés récemment, soit qu'ils ont été déjà contaminés.
Du simple bon sens.
Augmentus, le roman des cyclistes qui aiment l'IA
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Re: COVID-19, de l'espoir?
La propagande dure rentre facilement dans la mollesse d'un corps social bien travaillé...Silver0l a écrit : 13 juil. 2021, 11:48Tu vis dans ta bulle. Regarde les gens. Autour de moi, l'évolution en faveur du vaccin est flagrante - et c'est plus que normal, tout le monde peut constater tous les jours qu'il marche et que les effets secondaires sont négligeables. Il n'y a plus que les derniers des blaireaux à rester antivax.kestrel a écrit : 13 juil. 2021, 11:12Dire que la majorité des gens sont favorables à la vaccination, je n'y crois pas un instant.Silver0l a écrit : 13 juil. 2021, 10:59
Je peux expliquer, mais ça n'a rien à voir avec les maths.
D'abord, il y a 40% de Français complètement vaccinés, mais il y a 53% de Français qui ont au moins reçu une dose. Donc 53% de Français qui ont engagé un processus de vaccination, mais qui attendent que le délai recommandé soit écoulé pour recevoir leur 2ème dose.
Ensuite, tu parles de pourcentage de Français, mais tous ne sont pas éligibles à la vaccination: il faut exclure les moins de 12 ans. En outre, le sondage a probablement interrogé les majeurs. Or le pourcentage de vaccinés parmi les majeurs est évidemment beaucoup plus élevé que parmi la population française en générale, puisque les mineurs sont peu vaccinés, n'ayant pas été dans les populations prioritaires.
Enfin et surtout, plein de gens ne sont pas encore vaccinés mais ont l'intention de se faire vacciner. Même avant les annonces, les centres vaccinaient chaque semaine des centaines de milliers de primo-vaccinés.
Globalement:
- 81% des Français sont aujourd'hui volontaire pour se faire vacciner
Se battre contre la vaccination est véritablement un combat rétrograde et d'arrière-garde. Le vaccin a fait ses preuves, il est la clé de la fin de cette cochonnerie, nous en sommes tous convaincus.
- et même 58% des Français sont favorables à ce que la vaccination soit obligatoire pour tous, ce qui va bien au delà des mesures prises récemment
Il ne reste plus qu'à convaincre les derniers antivax en les mettant en face de leur responsabilité: ils ne pourront plus continuer de fréquenter des lieux à risque et mettre en danger les autres sans montrer soit qu'ils ont été vaccinés, soit qu'ils ont été testés récemment, soit qu'ils ont été déjà contaminés.
Du simple bon sens.
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Re: COVID-19, de l'espoir?
C'est de la posture et du discours vain que tu nous sers là. Inutile de comparer la covid à la peste ou à la variole. La covid est p.e. bcp moins grave pour les individus qu'un cancer ou le Sida, mais en attendant il fout davantage de bordel all over the World depuis un an et demi. T'as pas remarqué ? Alors, à part des discours qui ne servent à rien, tu as quoi d'autre comme alternative à une large couverture vaccinale ? T' as un truc à proposer efficace où on se contente juste de tes facėties ridicules qui ne mènent à rien ?Bardamu a écrit : 13 juil. 2021, 11:26On l'a déjà dit maintes fois, la Dictature, ce n'est pas que les bruits de bottes...claude a écrit : 13 juil. 2021, 10:46 Faut se calmer avant de crier à la dictature face à des mesures purement sanitaires…
Rappelons le précédent de la tuberculose… mal du siècle jusqu'à l'arrivée de la pénicilline en 1945 !
Ma Mère était médecin a partir de 1939, et comme beaucoup de toubibs de l'époque, elle a commencé comme phtisiologue… spécialité non sans risque pour les soignants !
Elle m'a raconté qu'à l'époque, pour un cas déclaré dans une famille, la personne concernée, même le papa ou la maman, était autoritairement placée en sanatorium pour plusieurs mois… sanatorium dont ils revenaient guéris plus tard… ou pas. Elle a perdu beaucoup de malades...
La France était à l'époque couverte de sanatoriums, on en a construit partout… même dans les endroits les plus humides du pays ! ( beaucoup de ces sanas ont plus tard été transformés en centres de traitement et convalescence pour les accidentés de la route… un mal du siècle chassant l'autre )
Et il ne faut pas croire que l'arrivée salvatrice de la pénicilline en 1945 a réglé le problème en deux temps trois mouvements… Ca a pris des dizaines d'années… opérations de dépistage annuelles ( "cuti réaction", radios) avec, là encore, envoi en sana des gens dépistés, la différence de taille étant qu'on pouvait alors les soigner efficacement et à coup sur s'ils avaient été dépistés à temps.
Il n'était pas question, à l'époque, de refuser les dépistages, les radios et autres contrôles. Je crois que si on s'amusait à essayer ça on se faisait exclure ou mettre à l'écart. Et ça n'arrivait pas qu'aux autres : à la fin des années 50 j'ai chopé une "primo-infection", qui m'a valu un séjour de 3 mois dans un sana pour enfants, et dans les années 60 un de mes cousins a déclaré la maladie elle-même et est parti 6 mois en sana pur et dur.
C'était assez lourd, assez contraignant, et c'est resté dangereux longtemps. Je crois que le dispositif n'a été finalement levé qu'il y a une trentaine (?) d'années…
Alors, à côté de ça, y a pas trop lieu de se plaindre dans la situation actuelle. Y a eu des vaccins apparemment efficaces moins d'un an après l'arrivée de la maladie ! Et je crois que le plus dangereux, quand on va se faire vacciner, ça doit être le trajet en auto…
Bref, si vous ne vous êtes pas encore vaccinés, allez-y sans hésiter, et laissez braire les "anti-vax" qui sont finalement les héritiers des blaireaux qui, il n'y a pas si longtemps, prétendaient que jamais ils ne mettraient la ceinture en auto !
Par ailleurs, ce n'est pas tant un problème d'anti ou de pro vax que de proportionnalité des atteintes aux Libertés Publiques.
Personne n'aurait d'objections à faire s'il s'agissait d'un virus dangereux comme la peste ou la variole en leur temps... cette domestication aussi facile du Peuple interroge véritablement quant à notre organisation politique.
"La machine a gagné l'homme, l'homme s'est fait machine, fonctionne mais ne vit plus."
Re: COVID-19, de l'espoir?
Toi, moi et bien d’autres ici n’ont pas été tendre avec les mesures coercitives que le gvt nous a imposé depuis 16 mois, si le vaccin est la seule solution pour éviter cela, parce que ça ne changera pas avant les présidentielles, bah faut se faire une raison. Y a pas de retour sur les vaccins à long terme j’en conviens, mais jusqu’à présent ce n’est pas l’hécatombe et ça fonctionnent plutôt bien.Bardamu a écrit : 13 juil. 2021, 11:39Il me semble que cette vaccination contre l'hépatite reste controversée... Et ça ne modifie en rien mon raisonnement.FAYARD a écrit : 13 juil. 2021, 11:33Dans la liste des vaccins obligatoires, on ne peut pas dire que l’Hépatite soit vraiment une maladie aussi grave que la peste ou la variole. Et pourtant ça n’a pas bronché une seconde malgré une très mauvaise réputation sur le vaccin et la fameuse affaire de la sclérose en plaque.Bardamu a écrit : 13 juil. 2021, 11:26
On l'a déjà dit maintes fois, la Dictature, ce n'est pas que les bruits de bottes...
Par ailleurs, ce n'est pas tant un problème d'anti ou de pro vax que de proportionnalité des atteintes aux Libertés Publiques.
Personne n'aurait d'objections à faire s'il s'agissait d'un virus dangereux comme la peste ou la variole en leur temps... cette domestication aussi facile du Peuple interroge véritablement quant à notre organisation politique.
Après je ne suis pas dans le même cas que toi, je suis confronté à cette maladie par obligation, les gestes barrières ne sont pas possibles dans mon métier, mes collègues ont été touchés et avec des variants de plus en plus contagieux, je n’y échapperais pas. Dans mon unité, y a plus de vaccinés que de non vaccinés et les derniers récalcitrants sont en train de changer d’avis. Il est normal de ne pas avoir la même approche suivant notre expérience avec ce virus, mais je pense qu’à un moment donné il faut faire preuve d’empathie. Y a encore trop de gens à risques qui ne sont pas vaccinés, ça coûte un pognon de dingue, et surtout ça prive de libertés toute la population française.
“Les réseaux sociaux vous ont tous mis trop à l’aise avec le fait de manquer de respect aux gens, sans vous faire casser la gueule”. Mike Tyson 

Re: COVID-19, de l'espoir?
J'hésite toujours à te répondre parce ceux qui, comme toi, tentent de compenser une pensée indigente par de l'agressivité, donnent plutôt envie de passer son chemin. Mais comme j'entends beaucoup trop le fond de ton discours je vais te répondre :triplette a écrit : 13 juil. 2021, 12:05C'est de la posture et du discours vain que tu nous sers là. Inutile de comparer la covid à la peste ou à la variole. La covid est p.e. bcp moins grave pour les individus qu'un cancer ou le Sida, mais en attendant il fout davantage de bordel all over the World depuis un an et demi. T'as pas remarqué ? Alors, à part des discours qui ne servent à rien, tu as quoi d'autre comme alternative à une large couverture vaccinale ? T' as un truc à proposer efficace où on se contente juste de tes facėties ridicules qui ne mènent à rien ?Bardamu a écrit : 13 juil. 2021, 11:26On l'a déjà dit maintes fois, la Dictature, ce n'est pas que les bruits de bottes...claude a écrit : 13 juil. 2021, 10:46 Faut se calmer avant de crier à la dictature face à des mesures purement sanitaires…
Rappelons le précédent de la tuberculose… mal du siècle jusqu'à l'arrivée de la pénicilline en 1945 !
Ma Mère était médecin a partir de 1939, et comme beaucoup de toubibs de l'époque, elle a commencé comme phtisiologue… spécialité non sans risque pour les soignants !
Elle m'a raconté qu'à l'époque, pour un cas déclaré dans une famille, la personne concernée, même le papa ou la maman, était autoritairement placée en sanatorium pour plusieurs mois… sanatorium dont ils revenaient guéris plus tard… ou pas. Elle a perdu beaucoup de malades...
La France était à l'époque couverte de sanatoriums, on en a construit partout… même dans les endroits les plus humides du pays ! ( beaucoup de ces sanas ont plus tard été transformés en centres de traitement et convalescence pour les accidentés de la route… un mal du siècle chassant l'autre )
Et il ne faut pas croire que l'arrivée salvatrice de la pénicilline en 1945 a réglé le problème en deux temps trois mouvements… Ca a pris des dizaines d'années… opérations de dépistage annuelles ( "cuti réaction", radios) avec, là encore, envoi en sana des gens dépistés, la différence de taille étant qu'on pouvait alors les soigner efficacement et à coup sur s'ils avaient été dépistés à temps.
Il n'était pas question, à l'époque, de refuser les dépistages, les radios et autres contrôles. Je crois que si on s'amusait à essayer ça on se faisait exclure ou mettre à l'écart. Et ça n'arrivait pas qu'aux autres : à la fin des années 50 j'ai chopé une "primo-infection", qui m'a valu un séjour de 3 mois dans un sana pour enfants, et dans les années 60 un de mes cousins a déclaré la maladie elle-même et est parti 6 mois en sana pur et dur.
C'était assez lourd, assez contraignant, et c'est resté dangereux longtemps. Je crois que le dispositif n'a été finalement levé qu'il y a une trentaine (?) d'années…
Alors, à côté de ça, y a pas trop lieu de se plaindre dans la situation actuelle. Y a eu des vaccins apparemment efficaces moins d'un an après l'arrivée de la maladie ! Et je crois que le plus dangereux, quand on va se faire vacciner, ça doit être le trajet en auto…
Bref, si vous ne vous êtes pas encore vaccinés, allez-y sans hésiter, et laissez braire les "anti-vax" qui sont finalement les héritiers des blaireaux qui, il n'y a pas si longtemps, prétendaient que jamais ils ne mettraient la ceinture en auto !
Par ailleurs, ce n'est pas tant un problème d'anti ou de pro vax que de proportionnalité des atteintes aux Libertés Publiques.
Personne n'aurait d'objections à faire s'il s'agissait d'un virus dangereux comme la peste ou la variole en leur temps... cette domestication aussi facile du Peuple interroge véritablement quant à notre organisation politique.
Le passeport sanitaire est une réponse politique à un problème sanitaire. C'est une réponse politique disproportionnée à un problème sanitaire assez négligeable.
C'est en effet le bordel parce que les Autorités (pas qu'en France mais pas partout non plus), on décidé de faire d'un problème sanitaire négligeable, un problème sanitaire disproportionné...
Bref, ce passeport sanitaire c'est un peu le remède du pompier pyromane. Si toi t'es content des mesures contraignantes du mec qui a mis le feu à ta maison, ben tant mieux pour toi. De toutes façons, avec ta vue basse, ça ne changera pas grand chose pour toi...