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claude a écrit : 19 janv. 2018, 23:35

100km a écrit : 19 janv. 2018, 21:51 ...
moi je m'arrête souvent dans les cimetières pour remplir les bidons
...

Ben tu fais comment toi pour des sorties de 6-8h ?

Un camelback n’y suffit pas à raison de 1L/heure bu. Le problème du rechargement ressurgi, c’est juste la fréquence qui est moindre qu’avec des bidons

bon déjà des sorties aussi longues, c'est bon ,j'ai une vie de famille, donc disons 5h max cet été avec 1l/h mini ben le camel bak mul avec poche de 3l, deux bidons de boisson, ett encore, c'est pour pas m'arrêter parce que c'est pas le gard, ici il y a plein de fontaines

no non et non , tu ne vas quand mème pas payer 500 boules pour une course que tu vas faire en autonomie ....?
L'ironman n'est pas une rando (enfin ce n'est que mon avis ) , il y a largement assez de ravito pour aller au bout sans manquer de rien .

Des sorties de 6 à 8 h ? à part pour préparer Embrun et encore ... ça fait beaucoup ..

Bien sur Damien, je prenais le camel que sur Embrun, parce que les bidons à demi remplis

dff a écrit : 20 janv. 2018, 13:39 Des sorties de 6 à 8 h ? à part pour préparer Embrun et encore ... ça fait beaucoup ..

Ben non ça me fait plus ou moins 180km, je ne suis qu'un humble finisher. Et en vélo, si je n'ai pas la distance dans les pattes, j'y arriverai jamais. Et c'est aussi un minimum quand on s'entraîne pour un IM sans courir (pas par choix, mais par contrainte)

C'est pas la distance qu'il faut faire, mais le temps de course au maximum

Evidemment Gadagne , je ne parlais pas pour toi mais plutôt pour l'auteur du message initial ... (et à Embrun , on sait tous que les ravitos sont parfois un peu limite...)
100 km , je comprends que si tu ne peux pas courir pour préparer un iron , tu as envie au moins d'avoir la distance vélo dans les jambes (ceci dit , vouloir faire un iron sans pouvoir courir , c'est un peu aller à l'abattoir ,non ?)

100km a écrit : 20 janv. 2018, 14:07

dff a écrit : 20 janv. 2018, 13:39 Des sorties de 6 à 8 h ? à part pour préparer Embrun et encore ... ça fait beaucoup ..

Ben non ça me fait plus ou moins 180km, je ne suis qu'un humble finisher. Et en vélo, si je n'ai pas la distance dans les pattes, j'y arriverai jamais. Et c'est aussi un minimum quand on s'entraîne pour un IM sans courir (pas par choix, mais par contrainte)

Je ne connais ni tes contraintes ni toi perso, mais preparer un iron man sans courir ! Je trouve ça complètement fou et déraisonnable.

Ouf ! Je vois que je ne suis pas le seul

Gadagne a écrit : 20 janv. 2018, 14:40 C'est pas la distance qu'il faut faire, mais le temps de course au maximum

On est raccord : Nice 2017 - 8h15 sur le vélo. Grosse défaillance à la sortie de l'eau, il m'a fallu 30km pour reprendre un peu de poil de la bête mais le mal était fait.

dff a écrit : 20 janv. 2018, 14:55 Evidemment Gadagne , je ne parlais pas pour toi mais plutôt pour l'auteur du message initial ... (et à Embrun , on sait tous que les ravitos sont parfois un peu limite...)
100 km , je comprends que si tu ne peux pas courir pour préparer un iron , tu as envie au moins d'avoir la distance vélo dans les jambes (ceci dit , vouloir faire un iron sans pouvoir courir , c'est un peu aller à l'abattoir ,non ?)

Je souffre d'un rhumatisme inflammatoire chronique, courir est le sport le plus propice (parmi nos 3 sports favoris) à me déclencher des crises qui vont jusqu'à l'immobilisation. Ne vous inquiétez pas, ça fait déjà pas mal de temps que je m'entraîne ainsi ! Encore une fois, je ne suis qu'un finisher.

Mais je viens de me faire opérer des menisques (2ème fois) alors j'ai bon espoir de pouvoir faire un peu plus de CAP cette année. Enfin c'est mal parti, mon TFL s'est remanifesté dès la 2ème séance, a moins que ce ne soit cette foutue maladie qui s'attaque à tous les tendons qui existent Aucun médecin ne sait me le dire alors quand on souffre de ma pathologie, on fait avec, on apprend à vivre avec la souffrance. No pain no gain ?
Les traitements aident un temps puis il en faut toujours plus, toujours plus puissant : antalgiques (niveau III), anti-inflammatoires, corticoïdes, immuno-suppresseur (antiTNF)... de toutes facons c'est génétique alors on ne peut pas y faire grand chose à part attendre que j'ai 50 ans pour qu'on me dise "ben monsieur c'est normal à votre âge"

Mon dernier Embrun, je n ai jamais couru 3mois avant, que de l aquajog et de l elliptique, de toute façon pour aller allure footing, hein

Hartge a écrit : 20 janv. 2018, 10:36

Jerome.A a écrit : 20 janv. 2018, 06:35 Oui le meme, besoin d eau en pleine campagne un dimanche: cimetiere

+1, j'organise mon parcours pour passer à proximité de cimetières.

Pareil .. mais pas pour les mêmes raisons

Jerome.A a écrit : 19 janv. 2018, 19:17 salut seb, tu veux te faire le challenge d être en autonomie?
Tu peux ne prendre que l 'eau de l orga dans ce cas les poches du gilet suffisent, et un sac pour la cap...pour les outils tu peux tout faire tenir dans un bidon outils ou une sacoche de selle ou cadre pas bien grosse.
Par conte pour les grosses sorties d entrainement solo perso je prend 3L d eau et j ai une sacoche de selle de 1.5l comme ca je ne me pose pas de question je peux partir faire 200km sans m arreter si il fait pas trop chaud. Sinon un arrêt pour l'eau et basta.

Bonjour Jérôme,
Merci de ton retour. Aurais-tu des la références des sacoches que tu utilises, cela m’intéresse.
Merci d'avance

Bonjour,
Merci à tous pour vos réponses...
Sur le course en elle même, effectivement je pense que le sac sera de trop...avec tout les ravitos cela sera suffisant...
Par contre, pour les longues sorties, avec l'alimentation et éventuel un change ou autre cela serait une possibilité...
Je vois que le sujet en tout cas divise...
Encore merci de vos conseils.

Ortlieb existe en 3 tailles, si tu veux mettre un change le 2.7l est peut être mieux.
https://www.ortlieb.com/fr/Saddle-Bag/

Sinon sur le cadre tu peux mettre ca également
https://www.decathlon.fr/sacoche-velo-c ... 54453.html

et une bouteille d eau de 2l ente les barre aero. plus 2 bouteilles sur le cadre ca laisse de quoi voir venir et garder les poches vide.