le tout pour le tout....ou passe son tour ?

[100km]

Moi je vote le tout pour le tout. Parce que ca m'est déjà arrivé à 1 mois d'un marathon et que c'est hyper fréquent. Bloqué de chez bloqué par une cruralgie et sciatique. Par miracle, le jour de la course, plus rien, j'ai donc pris le départ et aucun soucis ! Au pire, quand ca m'arrive de rester bloqué à la veille d'epreuves moins conséquentes, un anti-inflammatoire le jour J et c'est parti. Le triathlon a une vertue particulière pour mes pathologies : l'effort est progressif.

J'ai déjà eu moultes démises (sciatique, cruralgie, tendinite, épanchements de synovie, periostites...) et si on écoute les médecins, on arrête tout. J'adapte juste mon entraînement en axant sur les sports où je ne souffre pas.

Une fois sur la CAP, si tu souffres, DNF picétou. Tu auras quand même un peu profité de la journée.

[falkner]

... et la méthode Cyrano alors, c'est pour les chiens !?

[VelociR]

Aller, j'y vais de mon avis, qui recoupe celui de d'autre!

Forcer pour le regretter sur plusieurs mois, c'est idiot, et la période "de regret" semble d'autant plus longue...

Donc faut compenser, avec d'autres activités... Ça tombe bien, tu nages et tu pédale! Donc une croix sur ta compet´? Certainement pas, donne tout sur les deux premières, et abandonne a t2!

Ça aura plusieurs incidence:

on dit "pire que la défaite, l'abandon"... Je suis pas d'accord, DNF c'est qu'il y a un vrais problème... Et tu as un vrais problème. Alors que des temps moyens sont plus sujets aux frustrations personnelles d'après courses.

Tu auras des "marques" en natation et velo que tu pourra ambitionner d'égaler, en y ajoutant la CAP lors de ton prochain, ça colle dans tes objectif de faire mieux qu'avant.

Ne pas sortir a T2, même si tu le sent bien, et te niquer sur la CAP serait comme abandonner a T2, mais avec conséquences physiques...

Alors donne tout ce que tu as sur les deux premières diciplines! Enjoy!!!!!! La course est bâché d'avance, vive la course!

[FAYARD]

Moi je vote le tout pour le tout. Parce que ca m'est déjà arrivé à 1 mois d'un marathon et que c'est hyper fréquent. Bloqué de chez bloqué par une cruralgie et sciatique. Par miracle, le jour de la course, plus rien, j'ai donc pris le départ et aucun soucis ! Au pire, quand ca m'arrive de rester bloqué à la veille d'epreuves moins conséquentes, un anti-inflammatoire le jour J et c'est parti. Le triathlon a une vertue particulière pour mes pathologies : l'effort est progressif.

J'ai déjà eu moultes démises (sciatique, cruralgie, tendinite, épanchements de synovie, periostites...) et si on écoute les médecins, on arrête tout. J'adapte juste mon entraînement en axant sur les sports où je ne souffre pas.

Une fois sur la CAP, si tu souffres, DNF picétou. Tu auras quand même un peu profité de la journée.

Heuuuuu...faire un marathon sous anti-inflammatoire avec une cruralgie et/ou sciatique..c'est pas ce qui se fait de mieux...c'est pas un épanchement au genou...si tu chope une hernie grave, c'est l'opération directe et tu peux parfois dire adieu à une vie normale...à ta place, je jouerais pas trop avec les disques lombaires...

[badbeu]

plus de disques,de genou,une vie avec des douleurs chroniques mais comme certains te le conseillent gentiment"tu auras quand méme profité de la journée"

[lefloch]

Bon, je l'ai déjà raconté et je n'en tire aucune gloire mais l'an dernier, au mois d'avril, on m'a trouvé une fracture de fatigue au pied droit. J'ai tenté Belfort pour voir mais je n'ai pas pu courir après le vélo, j'ai été DNS à l'Alpe, la mort dans l'âme et je n'ai pas couru jusqu'à la fin août pour participer à Gravelines. Le marathon fut long, plus de 5 heures mais sans douleur. Voila, je ne veux pas donner l'exemple, la blessure n'est pas la même mais essaie et tu verras bien...

[ravioliv]

mouais...je suis pas un IM ou ultra distance runner mais bon je me dis que si on ne masque pas les signaux d'alerte ( du genre forts anti inflammatoires ) et qu'on s'ecoute un minimum y a pas de raison de se detruire a vie....

J'ai lu je ne sais plus ou que 40% des traithletes amateurs consomment regulierement des anti inflammatoires pour couvrir des petits "bobos"...ca c'est en effet un jeu dangereux....
Maintenant si on raccroche tout au moindre bobo ou douleur en course on va devenir des "danseuses"...

Je precise que je suis plutot dans la categorie "danseuse" que "légionnaire"....mais bon quand je lis les recits de certains ultra trailers, la douleur physique fait partie de la gestion de la course, ils ont mal partout a la mi course et c'est pas des crampes...

Donc bon a chacun de se connaitre et savoir s'arreter a temps....apres si s'était moi la decision serait aussi conditionnée par la proximité....si c'est a coté de chez moi je le tente....si ca conditionne gros frais de deplacement...peut etre pas....

[FAYARD]

mouais...je suis pas un IM ou ultra distance runner mais bon je me dis que si on ne masque pas les signaux d'alerte ( du genre forts anti inflammatoires ) et qu'on s'ecoute un minimum y a pas de raison de se detruire a vie....

J'ai lu je ne sais plus ou que 40% des traithletes amateurs consomment regulierement des anti inflammatoires pour couvrir des petits "bobos"...ca c'est en effet un jeu dangereux....
Maintenant si on raccroche tout au moindre bobo ou douleur en course on va devenir des "danseuses"...

Je precise que je suis plutot dans la categorie "danseuse" que "légionnaire"....mais bon quand je lis les recits de certains ultra trailers, la douleur physique fait partie de la gestion de la course, ils ont mal partout a la mi course et c'est pas des crampes...

Donc bon a chacun de se connaitre et savoir s'arreter a temps....apres si s'était moi la decision serait aussi conditionnée par la proximité....si c'est a coté de chez moi je le tente....si ca conditionne gros frais de deplacement...peut etre pas....

On parle pas de douleur...on parle de blessures...le mec a un épanchement au genou, soit, c'est pas non plus la blessure du siècle...dans un mois ça peut aller mieux...maintenant si le type a une blessure importante au dos, faut éviter de l'aggraver...j'ai quelques exemples autour de moi où des mecs ont insisté sur des pbs lombaires ou cervicaux...ils sont tous passés sous le bistouri...avec plus ou moins de réussite...
Faut pas jouer avec certaines pièces du bonhomme...

[100km]

Heuuuuu...faire un marathon sous anti-inflammatoire avec une cruralgie et/ou sciatique..c'est pas ce qui se fait de mieux...c'est pas un épanchement au genou...si tu chope une hernie grave, c'est l'opération directe et tu peux parfois dire adieu à une vie normale...à ta place, je jouerais pas trop avec les disques lombaires...

Je te rassure : le jour du marathon : RIEN, plus une douleur. La veille je souffrais encore le martyr et me demandai si j'allais prendre le départ. J'ai quand même préparé mon dossard, mon tshirt... Et en me levant le matin : un miracle !

De là à penser que c'est le stress... ou une tendinite mal placée que 15j de coupure ont soignés (mais remplacé par nat/vélo).

Je n'ai donc pris aucun anti-inflammatoire ni souffert de ma sciatique ce jour là. J'avoue que lorsqu'elle me fait souffrir (et pire avec la cruralgie), à chaud je ne sens plus rien lors d'une petite cap. Ca m'empèche donc pas de courir/nager/rouler.

Depuis, ce mal de dos est passé (apparu après chute d'un arbre). Je fais attention et n'ai plus de rechutes ou quelques tensions occasionnelles. Et puis les médecins m'ont toujours dis : y'a rien, juste un peu d'arthrose. Difficile à croire quand on ne peut même plus mettre un pied devant l'autre, rester dans son lit...
Enfin je pense que ca s'est reporté ailleurs, mon pied et genou prennent de drôles de positions, d'où les épanchements de synovie à chaque sortie vélo, un début de TFL qui s'ammorce à chaque sortie cap. Mais après tous les examens, les médecins sont formels : RIEN à part toujours un peu d'arthrose et cartillage qui s'use. Donc oui j'avoue je tire dessus sinon je fais quoi ? J'attend 15 ans que ca se passe ? L'hiver n'a pas été très chargé avec une interruption d'un mois pour travail très prennant et ca n'a rien changé. C'est sûr que si on ne fait rien, on a mal nul part. Alors quand ca devra péter, ca petera. La prothèse, je me suis fait à l'idée depuis mes 17 ans où j'avais arraché mes ligaments.

Si je me limite à chaque fois sur le discours des médecins, il y a bien longtemps que j'aurais arrêté tout sport. Trop mauvais pour vous qui êtes obèse, mal à gauche, à droite, etc... On laisse bien les handicapés/sclérosés/diabétiques/aveugles/mono-rein/transplantés et j'en passe.... faire du sport, alors pourquoi pas moi ?