onlinetri.com

bigpeuf a écrit :c'est marrant, je me doutais bien que ça partirai hors sujet, comme dab finalement sur OLT

Mais non , mais non . J'avais utilisé la métaphore de la religion et de la foi , mais ça n'était pas bien compris et interprété .
Aurélie a des métaphores plus parlantes pour les mâles .

dis donc aurelie je te trouve très portée sur la chose...

perso si je suis plutot sprint (enfin "S" maintenant) en tri, c'est plutot LD voir IM au lit...





enfin, c'etait...

Faab900 a écrit :dis donc aurelie je te trouve très portée sur la chose...

perso si je suis plutot sprint (enfin "S" maintenant) en tri, c'est plutot LD voir IM au lit...





enfin, c'etait...

Mytho....

+ scato ... tout dans la délicatesse .

Marrant comme à chaque fois que ça part sur le thème "n'importe qui peut finir un IM", tout le monde intervient pour expliquer que c'est uniquement une question de mental, d'assiduité à l'entraînement, de planning rigoureux, de capacité à pas s'emmerder en faisant des entraînements interminables. Alors que dans 90 voire 95% des cas, le pb c'est les blessures, les articulations, le squelette et je ne sais quels autres pbs structurels qui sont les facteurs limitants. Genre t'as un TFL insoluble qui te fait hurler au bout de 15 bornes sur le plat ou des articulations de merde, mais non, pas de pb, c'est juste une question de mental et de rigueur à l'entraînement et hop, finisher. Et si t'as des limites physiques c'est juste que tu t'entraînes pas bien... Ben voyons......

ben , il faut du mental , et on ne peut rien contre les blessures . en quoi est-ce contradictoire ?

Bien d'accord avec Typhoon: je crois que le mental est une condition nécessaire mais pas suffisante...

Typhoon a écrit :Marrant comme à chaque fois que ça part sur le thème "n'importe qui peut finir un IM", tout le monde intervient pour expliquer que c'est uniquement une question de mental, d'assiduité à l'entraînement, de planning rigoureux, de capacité à pas s'emmerder en faisant des entraînements interminables. Alors que dans 90 voire 95% des cas, le pb c'est les blessures, les articulations, le squelette et je ne sais quels autres pbs structurels qui sont les facteurs limitants. Genre t'as un TFL insoluble qui te fait hurler au bout de 15 bornes sur le plat ou des articulations de merde, mais non, pas de pb, c'est juste une question de mental et de rigueur à l'entraînement et hop, finisher. Et si t'as des limites physiques c'est juste que tu t'entraînes pas bien... Ben voyons......

Une blessure a toujours une cause, il suffit de la trouver, c'est pas simple mais c'est comme cela...après tu as des individus plus solides que d'autres...cependant la majorité des sportifs qui tentent un IM, passent la ligne d'arrivée...

T.K a écrit :L'Ironman est une religion . Quand tu as la foi chevillée au corps , tu as envie de t'entraîner matin , midi et soir , tout le reste devient secondaire .
Chaque entraînement est une jubilation et rien ne t'empêchera d'être finisher .

Et c'est bien ça le pb.
Voir: http://silberblog.graphz.fr/10-commande ... triathlon/

J'aime bcp le casque aéro en vélo pour un mec pas aero du tout......la prise au vent est vraiment a optimiser; c'est un moindre mot

Bravo a lui, gros, maigre, jeune, vieux, malade et en bonne santé.....il a été au bout de son rêve, c'est le plus important...point a la ligne.
Maintenant les amarloches....c'est des machines a vendre et donc ils sortent les violons pour que tous les autres gros amerloches se disent
il l'a fait, je peux le faire.

Eh eh, dire que le sujet part de la vidéo d'un mec par très attirant pour en arriver à là
Sinon, oui, la vidéo est très américaine !! Mais bon, il faut parfois se laisser aller à un peu d'émotion en boîte : c'est facile mais ça fait du bien !

aurelie.218 a écrit : En découle une interrogation métaphysique. Je me demandais si c'était aussi un peu le même type de dualisme au lit : certains y vont en douceur, dans un souci d'économie avant la finition ultime (s'ils ont assez de réserves pour cela au terme d'un effort doux mais de longue haleine). Tandis que d'autres y vont à bloc au cardio : un truc court et intense, un hurlement qui crache les décibels (et d'autres substances gélatineuses non identitiées ou seulement via des tests ADN) et hop le finish. Quelques-uns peuvent témoigner ? Existe-t-il une analogie entre les préférences triathlétiques (court, long) et les habitus au lit ?

perso j'ai une libido de dingue.
je vais tenir la main à une meuf, l'embrasser ou sentir sa chaleur si je suis proche d'elle ça va être le chapiteau et c'est assez chiant dans le métro par exemple où je me force à penser à autre chose.
donc pendant l'acte, vu que la sauce monte vite :
préliminaire long pour habituer le corps au contact de l'autre
baise en fractionné car j'ai la sauce qui monte très vite je suis obligé de sortir toutes les minutes pour pas tout balancer (même en serrant les dents c'est impossible).
=> j'ai donc un moteur de F1 mais je dois la jouer diesel.

en sport c'est différent : métronome.
le corps fonctionne comme celui d'un papi et non pas comme celui d'un poulain fou