aurelie.218 a écrit :
En découle une interrogation métaphysique. Je me demandais si c'était aussi un peu le même type de dualisme au lit : certains y vont en douceur, dans un souci d'économie avant la finition ultime (s'ils ont assez de réserves pour cela au terme d'un effort doux mais de longue haleine). Tandis que d'autres y vont à bloc au cardio : un truc court et intense, un hurlement qui crache les décibels (et d'autres substances gélatineuses non identitiées ou seulement via des tests ADN) et hop le finish. Quelques-uns peuvent témoigner ?

Existe-t-il une analogie entre les préférences triathlétiques (court, long) et les habitus au lit ?

perso j'ai une libido de dingue.
je vais tenir la main à une meuf, l'embrasser ou sentir sa chaleur si je suis proche d'elle ça va être le chapiteau et c'est assez chiant dans le métro par exemple où je me force à penser à autre chose.
donc pendant l'acte, vu que la sauce monte vite :
préliminaire long pour habituer le corps au contact de l'autre
baise en fractionné car j'ai la sauce qui monte très vite je suis obligé de sortir toutes les minutes pour pas tout balancer (même en serrant les dents c'est impossible).
=> j'ai donc un moteur de F1 mais je dois la jouer diesel.
en sport c'est différent : métronome.
le corps fonctionne comme celui d'un papi et non pas comme celui d'un poulain fou