Re: experience???
Publié : 13 nov. 2012, 18:28
Un truc de base, aux ravitos : soit Gel + eau, soit Coca seul. Sans oublier, Coca le plus tard possible pendant la course.
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Je n'avais pas toutes les cartes en main, je ne savais pas (ou avait lu en diagonale peut êtrelopapy a écrit :N'oublie pas, non plus, mon cher Bryce que lorsque tu es déshydraté, il y a de grandes chance que ton cerveau manque cruellement de sucres simples et donc la moindre contrariété peut être vécu comme une catastrophe, même si on a un mental de "guerrier" !![]()
Mon cher Bryce (2 fois, arf...) C'est ton quotage de goretBryce a écrit :Je n'avais pas toutes les cartes en main, je ne savais pas (ou avait lu en diagonale peut êtrelopapy a écrit :N'oublie pas, non plus, mon cher Bryce que lorsque tu es déshydraté, il y a de grandes chance que ton cerveau manque cruellement de sucres simples et donc la moindre contrariété peut être vécu comme une catastrophe, même si on a un mental de "guerrier" !![]()
) que tu étais déshydraté...effectivement dans ce cas tu ne réagis pas pareil.
IL y a beaucoup de vrai dans ce que tu dis, car en regardant la start list on peut potentiellement viser une place pour certains ou un chrono pour d'autres ou "simplement" franchir la ligne. L'etat motivationnel est donc subordonné par ces differents cas de figures. La configuration de la course, l'etat de forme ... font qu'on respecte ou non son objectif. Par contre c'est vrai que si on s'eloigne de son objectif, on peut en perdre le sens à finir la courseBryce a écrit :J'ai aussi longtemps trouvé ça nul (pour le dire sans détour) de bâcher sur IM après le semi avec de bons chronos en nat et vélo.lopapy a écrit : Pour repondre sur ma course de gravelines, certains lachent physiquement , moi sur cette course c'est le mental qui a laché, il n'y arien d'etrange la dedans
Puis avec le temps je me suis posé la question autrement, pris le problème à l'envers et c'est pourtant évident, il y a une double notion au départ de la course : finir et / ou performer, l'objectif des un n'est pas l'objectif des autres. Certains partent pour voir la finish line, d'autre pour la voir également mais avec tel chrono, voir la ligne sans avoir performé (ou du moins ce qu'ils considèrent comme une bonne perf selon leur niveau et leur prépa) n'a pas (plus) de sens, alors ils ne finissent pas, plus de plaisir, plus l'effort suffisant dans la tête...
J'ai plus de mal à le comprendre en fin de saison (ça amène de toute façon toujours de l'expèrience) et surtout à Hawaii, c'est avant tout une fête, une chance d'y être, un cadeau pour soit-même (et ses proches, après une saison de plus de sacrifices)
Merci de ce retour...Taborniau a écrit :Tu m'as intrigué avec ton histoire d'absorption sublinguale... J'ai fait quelques recherches sur pubmed... et pas trouvé grand chose concernant l'effort prolongé.
Sur le court terme (efforts courts de type 20-40min), je me rappelle aussi du Sport&Vie en question et le principe est que ça provoque un boost insulinémique, permettant des imports cellulaires plus marqués, à terme des oxydations potentiellement augmentées. Sur le moyen terme, ce boost serait à priori plutôt négatif (tu leurres ton organisme qui s'attend à recevoir plus d'énergie...à court terme ça va, à moyen terme tu te prends un violent crochet du droit quand il s'en rend compte -sous forme d'hypo réactionnelle- par le cerveau qui gueule...
Quant à l'absorption sublinguale en elle-même, j'ai cherché (en vitesse certes) mais apparemment on est très loin des apports nécessaires à un corps en effort intense.
(L'absorption du tractus digestif est déjà limitante quand on parle de 1.2 à 1.8 g/min CHO... là ce serait bien inférieur...)
Pas sûr que le sublingual soit réellement une voie de dernier recours. Quand c'est trop tard, c'est trop tard...