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Edwige Pittel au départ du CLM individuel

francky48 a écrit :Edwige Pittel au départ du CLM individuel

7eme temps au premier intermédiaire go go go

3eme au deuxième intermédiaire

Judith Arndt conserve son titre




Après les féminines de la classe juniors ce matin, c'était au tour des Dames Elites de prendre part à leur Championnat du Monde du contre-la-montre, cet après-midi. Contrairement à l'épreuve du matin, elles, avaient bel et bien à franchir le Cauberg (1.2 km à 5.8%) durant leur parcours, qui s'étalait sur pratiquement 25 kilomètres, et qui comprenait également le Gronsvelderberg (2.1 km à 3.5%). Alors, après une belle après-midi de compétition, c'est finalement la tenante du titre, Judith Arndt (Allemagne), qui est parvenu à réaliser le meilleur temps, et donc à conserver son titre de championne du monde. L'Allemande a devancé l'Américaine d'Evelyn Stevens, médaillée d'argent, de 33 secondes sur la ligne d'arrivée, ainsi que la Néo-Zélandaise Linda Mélanie Villumsen, médaille de bronze, de 40 secondes. Un sacre qui ne souffre d'aucune contestation, tant la cycliste de 36 ans a dominé son sujet, du début à la fin, réalisant les meilleurs temps de passage à chaque intermédiaire. Elle se succède donc à elle-même, tandis que la première Français est Audrey Cordon, 18ème à 2'47" de la lauréate du jour.


1 Judith Arndt (Germany) 0:32:26.46
2 Evelyn Stevens (United States) 0:00:33.77
3 Linda Melanie Villumsen (New Zealand) 0:00:40.57
4 Emma Pooley (Great Britain) 0:00:49.33
5 Eleonora Van Dijk (Netherlands) 0:00:54.01
6 Ina Teutenberg (Germany) 0:01:33.74
7 Amber Neben (United States) 0:01:43.42
8 Trixi Worrack (Germany) 0:01:44.56
9 Martina Sablikova (Czech Republic) 0:01:59.44
10 Shara Gillow (Australia) 0:01:59.75
11 Anna Van Der Breggen (Netherlands) 0:02:08.05
12 Emma Johansson (Sweden) 0:02:13.39
13 Tatiana Antoshina (Russian Federation) 0:02:16.07
14 Wendy Houvenaghel (Great Britain) 0:02:17.51
15 Elisa Longo Borghini (Italy) 0:02:20.52
16 Carmen Small (United States) 0:02:29.07
17 Natalya Boyarskaya (Russian Federation) 0:02:31.84
18 Audrey Cordon (France) 0:02:47.20
19 Edwige Pitel (France) 0:02:51.65
20 Patricia Schwager (Switzerland) 0:02:52.57
21 Joelle Numainville (Canada) 0:02:54.72
22 Rhae-Christie Shaw (Canada) 0:03:03.04
23 Martina Ritter (Austria) 0:03:04.78
24 Tjasa Rutar (Slovenia) 0:03:15.50
25 Cecilie Gotaas Johnsen (Norway) 0:03:19.76
26 Clemilda Fernandes Silva (Brazil) 0:03:19.78
27 Eugenia Bujak (Poland) 0:03:20.92
28 Rossella Ratto (Italy) 0:03:29.24
29 Sari Saarelainen (Finland) 0:03:29.62
30 Serika Guluma Ortiz (Colombia) 0:03:39.10
31 Anna Sanchis Chafer (Spain) 0:03:39.24
32 Olena Pavlukhina (Ukraine) 0:03:45.10
33 Olivia Dillon (Ireland) 0:03:46.87
34 Katarzyna Sosna (Lithuania) 0:03:54.13
35 Anna Nagirna (Ukraine) 0:03:55.76
36 Jarmila Machacova (Czech Republic) 0:04:08.18
37 Martyna Klekot (Poland) 0:04:18.81
38 Veronica Leal Balderas (Mexico) 0:04:26.21
39 Aleksandra Sosenko (Lithuania) 0:04:33.76
40 Kathryn Bertine (St Kitts & Nevis) 0:04:34.95
41 Mia Radotic (Croatia) 0:05:06.63
42 Semra Yetis (Turkey)

Tony Martin conserve son titre



Grand favori de l'épreuve, Tony Martin est devenu champion du monde du contre-la-montre pour la deuxième fois consécutive mercredi à Valkenburg (Pays-Bas). Avec un chrono de 58'38''76, l'Allemand devance l'Américain Tyler Finney et le Biélorssue Vasil Kiryienka.

Il était attendu, il n’a pas déçu. Grand favori du contre-la-monte individuel des championnats du monde de Valkenburg (Pays-Bas) en l’absence de Bradley Wiggins et de Fabian Cancellara, Tony Martin a décroché son deuxième titre consécutif. Sur les routes vallonnées du Limbourg (trois cotes étaient au programme), l’Allemand a confirmé qu’il était bien le roi du chrono malgré une saison 2012 décevante. Renversé par une voiture en avril, victime d’une fracture du scaphoïde lors du Tour de France, balayé par un Wiggins survolté lors des Jeux Olympiques, Martin, champion du monde du chrono par équipes cette semaine avec Omega Pharma-Quick Step, n’a pas laissé passer sa dernière chance de briller cette saison.

Si ces rivaux « historiques » n’étaient pas présents mercredi, le coureur de 27 ans a dû faire face à la nouvelle génération. Après s’être mis en valeur lors du contre-la-monte par équipes avec leur équipe BMC, Tejay Van Garderen et surtout Tyler Finnay ont montré qu’il faudra compter sur eux pour les prochaines années. Ce dernier échoue à seulement 5"37 de Tony Martin (58’38’’76) alors que Van Garderen échoue au pied du podium, à 4’’38 du Biélorusse Vasil Kiryienka.

1- Tony Martin (ALL) en 58’38’’76
2- Tyler Finnay (USA) à 5''37
3- Vasil Kiryienka (BLR) à 1'44''99
4- Tejay Van Garderen (USA) à 1'49''37
5- Fredrik Kessiakoff (SUE) à 1'50''56
6- Dmitry Gruzdev (KAZ) à 1'56''44
7- Jan Barta (RTC) à 2'12''49
8- Alex Dowsett (GBR) à 2'26''06
9- Alberto Contador (ESP) à 2'30''
10- Adriano Malory (ITA) à 2'40''54
...
15- Sylvain Chavanel (FRA) à 2'58''15
18- Jérémy Roy (FRA) à 3'08''16

J'aime bien le sponsor du 3ième : MOTOVELO ???? c'est autorisé maintenant ?????

Ah enfin un mec avec des grosses cuisses qui gagne un CLM!! je suis rassuré là!! J'y croyais plus...
A un moment je me suis dis qu'il allait falloir être anorexique pour rouler comme un bourrin...

Je suis allé vendredi passé reconnaître le parcours de valkenburg (enfin la boucle de 16 km a faire 10x pour le championnat du monde en ligne) et j'ai grimpé le cauberg......au milieu du dit cauberg, une équipe pro me dépasse....c'etait la quickstep.....en peloton, 2 par 2.......y'a 2 gars qui ont fait la bosse a bloc, chavanel et un autre que je n'ai pas reconnu.

Arrivé au dessus, le groupe etait déja bien loin et c'est un long faux plat ensuite......il y a un feu rouge et 2 gars de chez QUICKSTEP s'arrête au feu rouge, ils sont avec leur vélo de chrono et une voiture suiveuse derrière !!!!! c'etait Tony martin et un autre ?

J'ai roulé 3-4 km dans leur sillage (honnêtement il retournait en discutant a l'hotel a mon avis car 30-32 de moyenne )

J'ai essayé de discuter mais rien en retour

Enfin, marrant de voir que ce mec est devenu champion du monde de CLM par équipe et individuel en moins d'une semaine
Par contre pas du tout impressionné par son gabarit, ca reste une croquette pour moi.....fin, leger et sec

"Celui qui bat Gilbert est champion du monde"

Pour Gianni Meersman, Philippe Gilbert est l'homme à battre dimanche aux Mondiaux de cyclisme sur route, à Valkenburg. "Qui d'autre que moi peut mieux juger? J'étais au tout premier rang lors de ses victoires à la Vuelta, tant à Barcelone qu'à La Lastrilla. Celui qui bat Gilbert est champion du monde. Pour moi, c'est aussi simple", a déclaré jeudi le coureur de l'équipe Lotto-Belisol, âgé de 27 ans.

"Pour quelqu'un comme lui, je veux bien me dévouer dimanche. Je suis sorti en bonne forme de la Vuelta et ne manque pas de fraîcheur. Je n'ai plus couru depuis le Tour d'Espagne. Je sens que je manque peut-être un peu de rythme, mais les entraînements poussés de mercredi et jeudi avec l'équipe m'ont fait du bien. J'espère que la course de dimanche sera la juste récompense de ma belle saison", selon Meersman, qui disputera son premier Mondial chez les professionnels.

"Ma saison est déjà réussie. J'ai commencé fort avec des succès au Tour d'Algarve et sur Paris-Nice. J'ai ensuite connu un coup dur avec une petite fracture au poignet et au coude sur le Giro, mais j'ai ensuite réussi à me relancer sur le Tour de Wallonie, où j'ai raté de peu la victoire finale, puis avec une 3e place à la Clasica San Sebastian et une série de places d'honneur sur la Vuelta."

Le parcours de Valkenburg recouvert de peinture par des vandales

Le parcours du mondial sur route de cyclisme à Valkenburg a été victime d'actes de vandalisme dans la nuit de jeudi à vendredi. Il a en effet été recouvert de peinture dans sa quasi-totalité, a annoncé la police, qui a lancé un appel à témoins pour tenter de mettre la main sur les auteurs des faits. Une enquête a en effet été ouverte.
Un porte-parole des la police a expliqué que les vandales ont utilisé des pots de couleurs différentes. Tout le parcours entre le Cauberg et le Bemelerberg est dégradé.

Ces actes ne compromettent cependant pas les compétitions à venir, les équipes de nettoyage étant déjà en action.

Avermaet: "Avoir au moins un homme dans chaque échappée"

La tension monte au sein du clan belge, à trois jours du départ de la course en ligne des championnats du monde de cyclisme, à Valkenburg, aux Pays-Bas. Greg Van Avermaet n'en démord pourtant pas, il veut toujours emmener ses deux leaders Tom Boonen et Philippe Gilbert dans les meilleures conditions au pied de la dernière ascension du Cauberg. C'est ce que le coureur de l'équipe BMC a répété jeudi en conférence de presse.

"Un travail qui, avec quatre coureurs, devrait de toute façon être plus facile à exécuter que le contrôle de la course lors des Jeux de Londres", a expliqué Van Avermaet.

"Une des premières conditions sera d'avoir au moins un homme dans chaque échappée. Sinon, on risque de devoir travailler dur dès le début de l'épreuve. Il vaut mieux ne pas gaspiller ses forces trop tôt."

Avec sa forme actuelle, le Flandrien, âgé de 27 ans, n'est également pas dépourvu de toute chance sur un circuit exigeant. "Il se peut que les circonstances de course font en sorte que je reçoive ma chance. Vu mon état de forme je pourrais en effet bien devenir le prochain champion du monde. Peut-être que ma mission sera de sauter comme chien de garde dans une échappée. On ne doit pas se focaliser uniquement sur les Espagnols et les Italiens. Lars-Petter Nordhaug, Edvald Boasson Hagen et Simon Gerrans sont aussi de dangereux outsiders."

Le profil de la course

L’épreuve de clôture de ces Championnats du Monde sera la course en ligne, une épreuve de 267 km disputée le dimanche 23 septembre dont le départ sera donné à Maastricht à 10h45. Les cyclistes auront à parcourir 107km en ligne à travers les paysages néerlandais durant lesquelles se succéderont sept ascensions.

C’est ensuite sur circuit fermé que se terminera la course autour de la ville de Valkenburg : les cyclistes auront à effectuer un premier tour de circuit partiel avant 9 tours complets de 16.5 km chacun. Sur ce circuit, se dresseront deux cols non négligeables : le Cauberg, avec un passage à 12 % pendant la montée de 1.2 km et le Bemelerberg dont l’ascension se déroulera sur 900m et le dénivelé sera d’environ 5 %.

Jalabert croit fort en Voeckler



Le sélectionneur va tout miser sur le coureur d’Europcar pour la course en ligne des championnats du monde dimanche...

Laurent Jalabert sait que son choix n’a pas fait l’unanimité. Mais il l’assume crânement dans l’Equipe de mercredi: «J’aurais pu bâtir une équipe de France-récompense, j’ai préféré faire à ma sauce, avec des néophytes autour de celui qui pourra porter le plus haut les couleurs de l’équipe de France». Le «celui» en question, c’est Thomas Voeckler, leader désigné des Bleus pour aller chercher un podium lors de la course en ligne des championnats du monde de cyclisme, dimanche à Valkenburg (Pays-Bas).

Chavanel en leader d'appoint

Après des JO ratés sur tous les plans, le sélectionneur français a tranché dans le vif: finies les équipes de baroudeurs à plusieurs têtes, où chacun est libre de tenter sa chance en tout moment. Pour cette année, tout le monde sera au service de Voeckler, quoi qu’il en coûte. Et si les autres ne sont pas d’accord, «ils n’ont qu’à faire une pétition pour avoir un autre sélectionneur», répond Jalabert.

A commencer par Sylvain Chavanel, pas forcément enchanté par l’idée de rouler pour le puncheur d’Europcar, loin d’être le coureur le plus apprécié du peloton. «Sylvain est un excellent coureur, juge Jalabert. Mais il n’a pas la capacité de faire la différence dans les derniers kilomètres, il sent moins bien la course que Voeckler». Ce dernier possède toute la légitimité nécessaire pour être le leader tricolore, selon le vice-champion du monde en 1992: «Il est en pleine maturité, il connaît sa valeur, ses adversaires, et sa réussite du Tour l’a installé dans une spirale positive».


Voeckler, bilan (très) mitigé



Thomas Voeckler sera le leader de l'équipe de France dimanche à Valkenburg. Retour sur ses précédentes expériences aux Mondiaux.

A 33 ans, le numéro un français figure parmi les spécialistes des classiques sur les parcours tels que celui de Valkenburg. Les candidats au titre parlent de lui comme d'un vrai rival, à surveiller de près, difficile à manoeuvrer à cause de son intelligence de course et de son punch. Voeckler, qui a fait du Mondial son grand objectif de fin de saison, a rejoint en début de semaine l'hôtel de l'équipe de France à Herstal, dans les environs de Liège. Sa famille l'a rejoint pour cette campagne dans laquelle il a tenu à mettre tous les atouts de son côté. Quitte à renoncer à plusieurs critériums lucratifs. Sa froide détermination impressionne. Même si le Mondial ne lui a jamais vraiment réussi jusqu'à présent. Retour sur ses quatrièmes premières expériences.

2006: LA DECOUVERTE
Salzbourg, Autriche
93e à 6'19" de Paolo Bettini

Deux ans après s'être révélé par son titre de champion de France et dix jours en jaune dans le Tour, Voeckler étrenne sa première cape. Dès le début de course, il s'intègre dans l'échappée qui ne sera reprise qu'à trois tours de l'arrivée. "J'ai fait mon travail. Toutes les grosses nations étaient représentées dans l'échappée initiale: on ne pouvait pas ne pas y figurer. Ici, ce n'était pas du folkLore. Le niveau de ce Championnat du monde était très élevé", constate le Français.

2007: EXTENUE
Stuttgart, Allemagne
68e à 15'51" de Paolo Bettini

Sur la lancée de sa victoire au Grand Prix Ouest-France à Plouay, Voeckler se prend à imaginer un scénario favorable: "dans le vélo, ce n'est pas toujours le meilleur qui gagne, c'est parfois le plus malin. On n'a pas un Valverde ou un Bettini dans nos rangs mais ça ne veut pas dire qu'on ne peut pas les battre." La course, toutefois, sera loin de correspondre à son attente. Il termine, "exténué", à plus d'un quart d'heure du vainqueur.

2009: PREMIERE AVEC JALABERT
Mendrisio, Suisse
67e à 7'43" d'Evans

Laurent Jalabert, devenu sélectionneur, a été conquis par les qualités de Voeckler: "un gars très intelligent, très malin, sérieux dans son approche des objectifs. Il a des moyens physiques plus limités que Chavanel ou Fédrigo. A son avantage, il a le mental. Il sait ruser, tirer le meilleur profit de ses capacités, enfumer ses adversaires. Il représente tout le temps un danger. Il saura anticiper la manoeuvre." Le scénario sera différent. Voeckler ne peut suivre l'accélération brutale de Cancellara à l'approche dernier tour et termine dans l'anonymat.

2011: OPPORTUNISTE
Copenhague, Danemark
98e à 0'31" de Mark Cavendish

A défaut d'être dans un grand jour, le Français se signale par son opportunisme sur un circuit favorable aux sprinteurs. A 20 kilomètres de l'arrivée, il contre-attaque avec deux autres coureurs (Lodewyck, N. Sörensen) et aborde le dernier tour avec 18 secondes d'avance sur le peloton. La tentative ne prendra fin qu'à six kilomètres de la ligne. "Que pouvais-je faire d'autre ?", relève Voeckler.

Et pourquoi pas Rodriguez ou Valverde ? Mais au fait en parlant de Valverde...




Être champion du monde est le rêve logique de tout cycliste. Le privilège de porter le maillot irisé, rester dans la légende, à jamais. Voici donc la première partie de l'analyse de ces mondiaux de Limburg 2012. Au menu, l'historique de Valverde sur l'épreuve des championnats du Monde.


Valverde et le Mondial, toujours placé jamais vainqueur :
S'il y a bien une course qui lui résiste depuis qu'il est pro, c'est celle là. Et pourtant, il y est toujours arrivé suffisament en forme, avec un statut de au minimum d'outsider. Flashback.

En 2003, alors qu'il est encore tout jeune, il signe une très belle 2e place après avoir fait une tout aussi belle Vuelta, gagnant entre autres à La Pandera et à Envalira. Cette médaille d'argent est d'autant plus impressionante qu'elle est jointe à la médaille d'or Igor Astarloa.



Nous voici en 2004. Un an plus tard, Valverde est toujours présent et s'affirme de plus en plus. Deux deuxième places et une victoire à la Vuelta. Cette fois-ci, il finir 6e des mondiaux. La sélection espagnole repart une nouvelle fois avec le titre. C'est Oscar Freire qui rafle la mise. Valverde n'est pas encore aussi influent et il doit encore bosser pour les autres en lançant parfaitement Freire d'ailleurs. Ce malgré sa 4e place au classement UCI.



En 2005, année de la victoire de la bala face à Armstrong, Valverde retrouve le podium des championnats du Monde. 2e, encore. Cette fois ci derrière Boonen et devant Geslin (dernier podium français...).



2006, année du fameux doublé mais aussi année de la 2e place de la Vuelta (1 victoire, 2 2e places) sera encore une jolie année pour Valverde puisqu'il recoltera la médaille de bronze... Encore un podium ! Il est devancé par Bettini et Zabel...



2007, année du presque doublé (2e flèche/LBL), Valverde tombe (enfin) dans l'anonymat, hors du top 20, il finit à la 57e place, et cette année marque un petit fiasco chez les espagnols puisque Valverde a roulé pour Freire, qui n'avait finalement pu contenir le vainqueur du jour, Bettini.

2008 aurait dû être la belle année. Après sa victoire à LBL et à Plumelec, Valverde a enchaîné avec une autre très bonne Vuelta et pourtant, rien de bon ne s'est produit. Pour la deuxième année consécutive l'Espagne connaît un fiasco. Seul Purito saura prendre le bon coup. Valverde finit à une anonyme place dans le top 50. Au coeur du peloton des battus.

2009 est l'année du retour pour ainsi dire. Bien qu'il est loupé ses classiques de printemps notament à cause du volcan islandais, il s'impose enfin sur la Vuelta. Une Vuelta usante sans victoire d'étape, avec de la pluie et du courage. Quelques jours plus tard Valverde finira 9e du championnat du Monde.