malheureusement au vus de ce qui ce passe sur les trails et dans certaines autre discipline sportives j ai bien peur que cela se generalise dans peu de temps
ce qui n est quand meme pas une mauvaise chose pour la nature.......
allez voir le haut de la gineste au passage de marseille cassis vous comprendrez mieux...
apres idealement pour moi c est carrément plus de ravito du tout autonomie complete pour tout le monde
Clairement, l'environnement n'est plus une alternative (en tout cas dans le monde occidental). Mais bien un critère intégré de (sur)vie. C'est pourquoi cette préoccupation est permanente qu'il s'agisse de l'Embrunman. Ou des centaines d'heures d'entraînement que l'on fait pour le préparer.
D'ailleurs, le sport n'est-il pas intrinsèquement un choix de vie en harmonie avec la nature ? Qui peut se satisfaire d'un : "je balance mes déchets et au bout d'un mois quand je repasserai je parcourrai allègrement mon amoncellement d'ordures" ?
Après le contexte d'une course est particulier.
1. on ne fait pas un Embrunman tous les jours et cela demande des ressources particulières
2. même si on commence par se battre contre soi-même, il s'agit quand même d'une course où l'adversité est un vif stimulant (même si la convivialité est forte dans ce type d'épreuve), et l'espoir de faire un temps (si l'on termine) motivant
3. nous sommes habitués à la continuité dans l'effort, et le fait de l'interrompre pour la logistique peut être perturbant...
4. l'autonomie complète est peut-être la solution. Certains s'en approchent. Mais mieux vaut s'y être préparé avant !
En attendant, il va falloir improviser.
Cela dit, la pression (et l'excitation) de vivre le mythe monte carrément !