
N’en déplaise aux Sopo-Tubiana-Jakubowicz-Aounit-Fourest-Sifaoui, n’en déplaise aux Boubakeur-Moussaoui-Ramadan, les Français sont attachés à leur liberté, fruit de leur histoire, comme à la prunelle de leurs yeux. Ils aiment Eric Zemmour parce qu’il a du talent, du panache, et un discours qui tranche avec un politiquement correct qu’ils ne supportent plus. Et ils sont suffisamment lucides pour savoir que jamais Eric ne prononcera le moindre discours raciste, parce que c’est aux antipodes de ses idées, de son éducation, et de sa culture politique.
N’en déplaise aux apprentis-dictateurs déguisés en anti-racistes des beaux quartiers, les assises du 18 décembre, et le sondage du "Monde" marquent le chant du cygne, pour eux. Ils ne font plus peur à personne. Ils ont tombé le masque, les Français ont compris dans quel camp ils jouaient. Ce n’est certainement pas dans celui de la Liberté (il suffit de voir le nombre de personnes honnêtes, comme une Fanny Truchelut, qu’ils ont salie, calomniée, et ruinée), encore moins dans celui de l’égalité (il suffit de voir leur conception du racisme à géométrie variable), et pas davantage dans celui de la fraternité (il suffit de voir leur incapacité à débattre sans utiliser immédiatement les mots "raciste", "fasciste" et "extrême droite".
Ce sont eux qui auront bientôt des comptes à rendre au peuple de France, pour la maltraitance qu’ils ont fait subir à des centaines d’innocents, depuis plus de vingt ans.
Ce procès sera tout simplement celui d’un homme qui est amoureux de la France, qui est fier de ses valeurs, contre ceux qui ont décidé de verrouiller, au nom du politiquement correct, la liberté d’expression, chèrement acquise dans le pays de Voltaire.
Il sera celui des Lumières contre le nouvel obscurantisme