Re: drafting en CAP
Publié : 16 oct. 2010, 15:02
C'est quoi le pavillon?
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nikus a écrit :C'est quoi le pavillon?
Biz
= Langage de jeune blanc bec prétentieux qui ne fait que du Court ... Dans qq années petit scarabée tu reviseras ton jugement ... et sache que la CAP ne se coure pas qu'avec tes 2 guiboles.rom03 a écrit : CA SERT STRICTEMENT A RIEN ET SI TU DRAFTES EN CAP C'EST QUE T'ES VRAIMENT UN GROS C** QUI N'A QUE CA A FOUTRE!!!!
Et alors???oukaimeden a écrit := Langage de jeune blanc bec prétentieux qui ne fait que du Court ... Dans qq années petit scarabée tu reviseras ton jugement ... et sache que la CAP ne se coure pas qu'avec tes 2 guiboles.rom03 a écrit : CA SERT STRICTEMENT A RIEN ET SI TU DRAFTES EN CAP C'EST QUE T'ES VRAIMENT UN GROS C** QUI N'A QUE CA A FOUTRE!!!!
Pour ceux qui ne savent pas lire : ce qu'il faut dégager de la question initiale de ce post (qui risque de faire encore couler beaucoup d'encre ...) c'est :
En situation course sur un TRI, est-ce que c'est réellement payant de s'abriter derrière un (ou des) autre(s)s concurrents sur la partie CAP. "est-ce que ça vaut vraiment le coup, en gros jusqu'à quel point ?"
Loin de toute considération mathématique, je t'assure qu'en situation de course ça vaut vraiment le coup de (se faire)
drafter jusqu'à ce que tu aperçoives la ligne d'arrivée. Cela s'appelle tout simplement une tactique de course, CQFD.
Loin d'être un grand coureur à pied, j'ai souvent gagné des places (par ex. sur semi ou la CAP d'un tri LD) au finish en ayant bien pris soin de me protéger auparavant. Inutile de dire que c'est assez jouissif ...même si bien sûr cela ne permet pas de jouer la gagne.
Fervent partisan du "No drafting" en vélo, le drafting pratiqué de manière correcte en NAT comme en CAP ne me dérange pas puisque que ce n'est pas interdit par le règlement. Cela fait partie du jeu en situation de course, et permet aussi à quelques vétérans d'arriver à torcher quelques jeunots bien plus fringuants ...
C'est sûrement ce que n'arrive pas à digérer notre_cador_du_trisapin_version_light, rom03.![]()
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Oui, un club de 50 licenciés et un club très jeune..pas très représentatif..tritof a écrit :Excuse moi Rom03 , mais ceux qui dans ton club finissent bien les IM sont aussi ceux qui finissent très bien les CD au niveau du club
Je pense que dans cette question (hormis les ânes qui en sont encore à jouer les gros bras avec leurs LD de tacticiens versus les CD de bourrins et vice versa) on prend les causes pour des conséquences et vice versa aussi:clemm a écrit :Merci pour les réponses.
Tout ça pour savoir si le temps gagné sur 10k par exemple est de l'ordre de 0 à 5 secondes, auquel cas on est d'accord pour dire que cette technique ne présente aucun intérêt, ou bien si on parle de 30 sec ou plus (mais là je serais très surpris...).
Pour parler de mon expérience (encore maigre...) je dois avouer que l'effet psychologique peut être très surprenant.
Donc pour en revenir à ma question de base, qui saurait appliquer une formule (même avec des approximations...) physique, mathématique pour y répondre ?
Tout est dit : le principe du lièvre pour ne pas s'endormir et le fait que le drafting peut être dangereux si les km/h sont trop différents. Par contre au niveau éthique (même si c'est autorisé), c'est moyen de sucer les pompes du mec sans prendre de relais !Christian Robin a écrit : Remarque 2): les purs coureurs cap prennent des "lièvres" pour battre des records . Drafting pour l'aéro, ou bien pour rythmer l'allure ? Je ne sais: mais ceci encore: je crois que Chris Boardman, pour son record de l'heure à vélo, avait utilisé un rayon laser qu'il suivait comme un âne suit la carotte...
Donc, intérêt indéniable, mais:
quand je suis au taquet, à pied à cheval ou en voiture, m'accrocher comme un morpion à un poil de c.l peut être néfaste: c'est l'explosion si l'affaire dure trop.
En substance, si mon allure est celle du peloton ( en cap, j'entends) tant mieux: ça ne veut pas dire que je drafte, mais que naturellement je peux suivre ce peloton sans dommage. Si le peloton n'était pas là, mon allure serait identique. Mais souvent, je me sens comme "enchaîné" par l'allure d'un peloton: parfois, pas assez vite, je remettrais bien une petite couche, et souvent imperceptiblement trop vite, et je me dis: "je ne tiendrai pas"...Je préfère mener mon allure de course "en fartlek" si j'ose dire, avec pour base mon rythme cardiaque à maintenir à bloc sans péter, mais non pas avec pour base une vitesse imposée par autrui.