Thierry *OnlineTri* a écrit :Pour couper court à cet échange:
C'est une image d'
Orange Mécanique de Stanley Kubrick. L'image est extraite d'une scène où un sdf se fait massacrer pour le "héro" du film et sa bande (Triathlex confirmera).
On est d'accord que ce n'est pas dans le registre des bisounours, à chacun de porter son jugement la dessus.
Au passage et sans aucun rapport, je ne suis pas un inconditionnel de Stanley Kubrick, mais il est l'auteur de mon film favori par la noiceur de son "humour" sur la nature humaine :
"Docteur Folamour ou : comment j'ai appris à ne plus m'en faire et à aimer la bombe"
T.
BARAK : il a intérêt à bien payé ses gardes du corps et d'avoir des plus réactifs que ceux du pape:
le lobby des assurances, mutuelles.... + la semaine dernière,
le lobby des banques avec sa volonté de réduire leurs tailles...cela fait beaucoup en 3 mois
Pour Orange mécanique, un mélange de subjectivisme de l'auteur du roman de départ sur un drame personnel et une critique globale de la socité des années 70 : génératrice de violence...directement ou indirectement et comme quand il n'y a pas de "société", c'est le bordel et la violence, on tourne en rond
La "bombe" : un bon moyen de lutter contre le réchauffement climatique, comment ne pas y avoir pensé avant

Plus de problème pour organiser les JO d'Hiver...
Le risque nucléaire est avant tout climatique
LEMONDE.FR | 26.01.10 | 12h39 • Mis à jour le 26.01.10 | 12h49
a perspective d'un conflit nucléaire entre l'Inde et le Pakistan inquiète la commission internationale pour la non-prolifération et le désarmement nucléaires, créée en 2008 à l'initiative du premier ministre australien, Kevin Rudd. Un rapport conjoint australo-japonais, intitulé Conséquences climatiques catastrophiques des conflits nucléaires, souligne les risques climatiques qu'entraînerait un conflit régional, même considéré comme mineur.
"Un conflit nucléaire régional entre l'Inde et le Pakistan, au cours duquel cent armes nucléaires d'une puissance comparable à celle de Hiroshima exploseraient, (...) bouleverserait de façon significative le climat au niveau mondial pour au moins une décennie", explique Steven Starr, l'auteur du rapport. "Plus de cinq millions de tonnes de fumée s'élèveraient au-dessus des nuages pour former, en quelques jours, une couche de fumée stratosphérique autour de la Terre (...) qui réduirait la lumière du Soleil parvenant sur Terre de 7 à 10 %", poursuit-il.
"HIVER NUCLÉAIRE"
En conséquence de quoi, avertit M. Starr, "les températures moyennes sur Terre deviendraient plus froides qu'elles ne l'ont été au cours des mille dernières années", créant ce que l'auteur nomme "un hiver nucléaire". La diminution des précipitations et la réduction des périodes de pousse entraîneraient un désastre agricole.
Pour prendre la mesure du bouleversement, le rapport compare cette projection avec "les arsenaux nucléaires déployés et opérationnels russes et américains", plus de cent fois plus importants. Si ces dernières armes étaient utilisées, ce sont plus de 150 millions de tonnes de fumée qui envahiraient la stratosphère, réduisant la luminosité solaire de 70 % dans l'hémisphère Nord et 35 % dans l'hémisphère Sud, "avec des températures plus froides que celles connues il y a dix-huit mille ans au cours de l'âge de glace" et des précipitations réduites de plus de 90 %. En clair : la mort pour la quasi-totalité des êtres vivants sur Terre.