Ted01 a écrit :Christian Robin a écrit :
Superbe ! j'ai eu le privilège ( j'ose) de grimper à bord: des équatoriens qui l'avaient acquis pour faire du charter dans les Galapagos. Con ellos, aprendi un poco hablar espanol !
Seul défaut, ( paraît que je casse l'ambiance, moi qui habituellement ne casse rien....

) si tu pieutais dans la coque de gauche, et que tu voulais rejoindre ta proie dans la coque de droite, c'était la Paris Dakar + la Croisière jaune pour y arriver...

T as pu faire un tour avec ?? le 14m70 et le 48 avait la mauvaise reputation de "taper" ( t as vu la hauteur de la nacelle?

)! Je serai curieux de savoir s ils avaient remedié a ça sur le 51. En tout cas c est un beau morceau, le cockpit doit etre impressionant

! Enfin tout doit etre impressionant , des jupes a la plage avant!
Mdr, le mieux c est de prendre la cabine centrale

! Remarques ce qu alliaura fait, c est pas mal non plus...je suis descendu dans le sud y a pas longtemps, j en ai profité pour aller faire un tour sur le port, y avait un privilege 495

(ahhh si je pouvais gagner au loto!) , j ose meme pas imaginer le 615 ou encore pire, le 745! Mais là c est plus au loto qu il faut que je gagne, c est a l euromillion

!
C 'est de la vieille histoire. C'était en 1989, c'est dire ! Les gars sont restés bloqués 5 mois aux Sables, parce que leur monnaie, le "sucre" valait peau de balle: à l'époque, les transactions financières entre l'Equateur et la France passaient par le troc: en l'occurrence, la crevette de Guayaquil: en substance, il a fallu que la banque des mecs achète des crevettes, les vende à une société d'import export équatorienne ou française, je sais pas le détail, qu'en France, les crevettes soient vendues, que le pognon se transforme en dollars, et que ça revienne chez Jeantot. Ca leur a laissé le temps non pas de naviguer, parce qu'ils avaient interdiction de quitter le port ( la confiance ne régnait pas), en revanche, on a fait quelques fiestas à bord ....le matin, ça sentait la crevette...

la cabine centrale, justement, c'était un point de passage obligé: un escalier à monter, ne pas se foutre la gueuele en l'air sur la table de quart, ouvrir l'autre porte, descendre l'autre escalier, tourner sec à gauche...il y a des états qui ne permettent même plus ces choses simples ! même si j'étais jeune à l'époque...
