D'abord les bouées: depuis le bord on ne peut pas les rater, énormes, et quand on a le nez au ras de l'eau, elles deviennent invisibles. J'en ai même confondu une avec le bonnet d'un concurrent

L'opacité de l'eau peut surprendre, on ne voit même pas sa main devant. Pour ceux qui connaissent, ma première c'était dans le "lac" de St quentin en yvelines, bon bouillon de culture, visibilité nulle.
Il y en a qui ont une impression de claustrophobie, ca peut expliquer des accès de panique.
Moi ce qui me posait problème, c'était l'eau froide (disons - de 16 °). Je me souviens à Brive (12 °) j'avais mis 500 m avant de pouvoir correctement souffler dans l'eau, impossible d'expirer longuement, c'était comme une réaction de rejet, dc suffocation rapide, brasse grand-père pour reprendre son souffle et j'ai enfin pu crawler à partir des 1000 m.
Pour résoudre ce pb, j'ai trouvé une solution

Bon, ça va en faire marrer certains

Toujours est il qu'avec ce truc l'adaptation a été de plus en plus rapide, puis finalement plus aucun blocage, et j'ai confirmé ensuite sur les tris.
Un dernier truc que je fais: une fois que j'ai mis les lunettes de nat pour l'échauffement je ne les enlève plus (une fois sur le vélo, vous pouvez quand même

