Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Publié : 11 juin 2013, 08:56
C'est ennuyeux pour les Europcar



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C'est pour ne pas hypothéquer ses chances de briller sur le TdF qu'il a dit Thierry AdamKenzo a écrit :Bon après je suis peut être mauvaise langue mais Thomas Voeckler après sa victoire sur la 6ème étape a abandonné...... à quelques quinze kilomètres de la ligne d'arrivée.
Il a gagné la 6ième étape et a abandonné sur la 8ième en haut du col de Vars (30Km environ de l'arrivée)Kenzo a écrit :Bon après je suis peut être mauvaise langue mais Thomas Voeckler après sa victoire sur la 6ème étape a abandonné...... à quelques quinze kilomètres de la ligne d'arrivée.
oui, ce n'est pas stupide de bâcher en haut d'un col, surtout s'il se sentait mal (froid, douleurs) et largué par le peloton maillot jaune.rswrc a écrit :Il a gagné la 6ième étape et a abandonné sur la 8ième en haut du col de Vars (30Km environ de l'arrivée)Kenzo a écrit :Bon après je suis peut être mauvaise langue mais Thomas Voeckler après sa victoire sur la 6ème étape a abandonné...... à quelques quinze kilomètres de la ligne d'arrivée.![]()
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Plusieurs medecins ont dit que c'était justement la bonne heure pour faire le prélèvement.Joel a écrit :Le journal a été un peu vite comme souvent ....
Rolland a été contrôlé dans un mauvais créneau horaire (le taux bouge dans un rapport de 1 à 3 dans la journée suivant l'heure de prise), ce qui donne des résultats non fiables (et non valables sur le plan purement contrôle).
De plus son taux était bas, toujours dans la limite et donc pas "effondré". Il devait refaire le test dans les conditions correctes pour voir s'il y avait effectivement un soucis de ce côté là ....
Quand tu vois aussi que Contador, dans la descente de Vars, a failli ne pas participer au TdF à cause d'un ralentisseur, on se dit que l'option de Voeckler n'était pas idiote.rswrc a écrit :Oui tout à fait c'est le raccourci abandon= dopage qui m'a fait réagir .
Kenzo a écrit :Wiggins: des lendemains qui déchantent
Roi de la saison 2012, le Britannique n’est plus que l’ombre de lui-même en 2013
En sport, et en cyclisme en particulier, la roue tourne de plus en plus vite ! Au propre comme au figuré. Si, avec les performances et le matériel des coureurs qui s’améliorent, la vitesse du peloton en général a augmenté, ces dernières années, on assiste de plus en plus souvent à des variations dans les performances des champions. Cette saison, c’est Bradley Wiggins qui en fait les frais. Omniprésent l’an dernier, lui qui survolait toutes les épreuves par étapes, y compris le Tour de France, sans oublier son sacre à domicile aux Jeux Olympiques, il n’est, cette année, plus que l’ombre de lui-même.
Alors qu’il comptait huit victoires à pareille époque, et pas des moindres, son compteur de succès est cette année resté bloqué à zéro. Après son abandon au Giro et son forfait pour le prochain Tour de France, son ancien entraîneur, Shane Sutton, l’a décrit comme étant à un point critique. “Il doit vite se fixer de nouveaux objectifs, comme la Vuelta pour préparer le Mondial du chrono, qu’il n’a jamais remporté ”, explique-t-il. “Et varier ses méthodes d’entraînement.” Pour retrouver ce goût de l’effort et se relancer.
Comment expliquer un tel rendement revu à la baisse, lui qui a complètement loupé le premier objectif qu’il s’était fixé, le Tour d’Italie, qu’il a abandonné, malade, victime d’une infection pulmonaire, après avoir accumulé les signes de faiblesse sur les routes froides et détrempées du Giro ? Véritable rock star au Royaume-Uni, rôle qu’apprécie ce grand fan de pop et qui a été anobli par la reine, Wigo a longuement décompressé après son titre olympique et sa victoire au Tour de France, rêve de toute une vie. Virées, alcool, il a relâché la pression.
Un relâchement mental combiné avec sa lutte interne dans son équipe pour le leadership du Tour de France : Froome et Wiggins ont clamé, à tour de rôle, qu’ils seraient leader unique chez Sky lors de la grand-messe de juillet. Une guerre d’usure qui a dû se révéler très… usante d’un point de vue psychologique. Surtout pour Wiggins, dont le rival n’a cessé d’enchaîner les victoires.
Et, pour couronner le tout, Sir Bradley Wiggins a vu sa belle mécanique s’enrayer. Renversé par une camionnette à l’entraînement cet hiver, avec comme conséquences des côtes cassées et une blessure au poignet, il a ensuite cumulé les déboires, comme les ennuis mécaniques (au Tour du Trentin, alors qu’il pouvait viser encore la victoire finale, ce qui l’a poussé à jeter, de rage, son vélo, mais aussi avec une crevaison lors du chrono du Giro, alors qu’il jouait la victoire d’étape), sans oublier une inflammation au genou gauche.
Autant de raisons qui expliquent la déroute 2013 de Bradley Wiggins, qui, à 33 ans, a encore de la marge pour se relancer.