De mémoire, c'est plus ou moins ce qu'avait tenté celle qui s'était fait prendre aux mondiaux de cyclo-cross (c'était pas son vélo de course, il y avait eu une erreur,...). Conclusion: FAILclaude a écrit : 06 sept. 2017, 09:23 Oui, mais bon, si on te trouve un moteur dans la bécane à l'entraînement, on fait quoi, on t'accuse de quoi ?
"oui, y a un petit moteur, mais bon, c'est le vélo que j'utilise pour aller chercher le pain"...


Mais ce que je voulais dire justement, c'est que la le risque est limité au parc à vélo (donc extrêmement réduit). Alors qu'avec le dopage chimique, du moment ou tu t'injectes quel que chose, tu peux te faire prendre n'importe quand pendant toute la durée ou le produit est détectable dans ton organisme. Donc statistiquement bien plus risqué que d'avoir un arbitre qui cible ton vélo dans le parc. Et pourtant beaucoup prennent quand même ce risque.
Il faut choisir une course avec deux tours de natation, sans sortie à l'australienne (des organisateurs vicieux mettent un tapis de chronométrage lors de la sortie, et du coup on voit facilement si tu n'y es pas passé... pas moyen de tricher tranquille !) et nager 2 fois moins vite que les premiers, de façon à ce qu'ils te doublent avant la fin de ton premier tour. Tu prends "malencontreusement" la mauvaise voie et tu sors avec ceux qui te doublent.claude a écrit : 06 sept. 2017, 09:23 Ca marche vraiment, le "un seul tour de natation à Embrun" ? Ah, si j'avais su ... comment aurait-il fallu faire ?