Comment puis je avoir plusieurs groupes d'arthrosiques qui ont terminé l'UTMB, le GRR ou le GRP, alors qu'ils sont incapable de faire un seul entrainement de 30kms/40kms sans connaitre de gros soucis physiques ?Ben' a écrit :Je ne pensais pas mais si vous le dites tous les deux, ce n'est certainement pas pour rien.![]()
Cependant avec l'adrénaline et compagnie, j'ai du mal à croire que le corps mette en place une sorte de sécurité qui permet de diminuer le risque de blessure car je me donne personnellement bien plus lors d'une compétition que lors d'un entraînement, même le plus difficile qui puisse être.
Edit : Je n'avais pas fait effectivement la distinction entre les deux types d'épreuves (cyclotouriste et cyclosportive).
Même ta fameuse "adrenaline" t'aidera à passer un cap qu'à l'entrainement tu n'arriverais pas...
Et puis effectivement, rien que dans le terme "se donner" c'est trop extrémiste.
En compétition l'introspection te permet de savoir si c'est le bon jour ou pas.
Si tu peux aller chercher loin pour réaliser un top, calmer car ce n'est pas un bon jour ou réaliser un abandon raisonné car sinon les séquelles seront trop lourdes.
Si chaque compétition doit voir "se donner" l'athlète, il faut qu'effectivement, il en fasse peu.
Mais connait on notre biorythme pour placer son Objectif au bon moment ? Pas évident...
C'est amusant, d'ailleurs, de voir sur les cross comment des gamins préparés à l'ancienne ont du mal à tenir le rythme de Novembre à Mars, alors qu'en introspection, la progression est linéaire (bon le pic de forme peut avoir 7 jours d'écart...



L'Papy_course_saucisson_la_semaine_dernière_très_difficile_derrière_100kms_de_vélo_avec_coursier...

