DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun
Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun
Le reportage est bien, les flashbacks qui entrecoupent la course sont agréables, c'est une plongée dans le monde de l'IM, dans toute sa dimension onirique, émotionnelle, obsédante, envahissante mais aussi l'enthousiasme délirant qu'il suscite comme toutes les épreuves d'endurance extrême qui sont en vogue et où l'on voit des colonnes de compétiteurs à la dérive.
Conclusion pour un néophyte ou un triathlète aguerri, il faut avoir conscience de l'épreuve que l'on envisage de faire.
Il était certain qu'ils allaient droit dans le mur, un IM roulant comme Vichy, Chtriman, Ironbask ou leur 4-120-30 du Breizhman faisait l'affaire et correspondait à leur entraînement et leur terrain de jeu.
Embrun a été pour eux une déroute, c'est dommage pour l'image du triathlon mais c'est une réalité à assumer.
Conclusion pour un néophyte ou un triathlète aguerri, il faut avoir conscience de l'épreuve que l'on envisage de faire.
Il était certain qu'ils allaient droit dans le mur, un IM roulant comme Vichy, Chtriman, Ironbask ou leur 4-120-30 du Breizhman faisait l'affaire et correspondait à leur entraînement et leur terrain de jeu.
Embrun a été pour eux une déroute, c'est dommage pour l'image du triathlon mais c'est une réalité à assumer.
BLEU BLANC RAGE
- Nono le motard
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Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun
Ironbask, roulant !! Ahahah, MDR !!
Qu'est-ce qu'il faut par lire ici ....
Qu'est-ce qu'il faut par lire ici ....
Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun
rediffusé lundi prochain à 22h10bakagoal a écrit :Bien évidemment j'ai loupé le reportage!![]()
Savez vous s'il va être possible de le voir en rediff, en replay ou même qq part sur le net?
Merci

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Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun
Tu m'as l'air d'être un sacré pimpim toi !!T.K a écrit :Embrun a été pour eux une déroute, c'est dommage pour l'image du triathlon mais c'est une réalité à assumer.

- Nono le motard
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Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun
Ceci dit je vais donner mon avis sur ce reportage que j'ai vu hier soir et que j'ai trouvé très chouette !!
Même si évidemment, nous, en tant que triathlète, on aurait peut-être préféré que le réalisateur passe un peu plus de temps sur l'aspect préparatif, sur le temps consacré à l'entrainement, j'approuve sont choix de flashback ponctuels sur différents moments de la préparation, et je trouve aussi très bien qu'il aborde l'impact familial et le coté égoïste de ce sport. Personnellement j'aurai même préféré que ça soit un peu plus développé, au détriment de quelques minutes de course.
Alors oui j'ai aimé ce reportage. Pourquoi ?
Parce que j'ai eu un instant de compassion quand le 4ème mousquetaire a abandonné, son souhait avorté de passer la ligne avec sa gamine.
Parce que j'étais mal quand je voyais le plus jeune des 4 à la peine dans l'Isoard et que je me mettais à sa place ... faire une course sans trouver son rythme, ne pas être bien, subir ..
Parce que j'étais dégouté de voir celui qui était en tête(désolé j'ai pas imprimé les prénoms) être obligé de finir en marchant
Parce que je sentais bien que le "tatoué" était costaud dans sa tête et que malgré les douleurs il irait au bout
Parce que j'ai eu un frisson en les voyant passer la ligne, embrasser leurs gamins etc...
La plupart ici, on fait du tri pour le plaisir. On ne s'attaque pas à une course pour faire la partie pédestre en marchant, bien sûr que non. Mais quand on se met en tête de faire un Iron, qu'on fait subir des mois d'entrainements à nos familles, bin la moindre des choses c'est, si on peut, d'aller au bout, de finir. On met son orgueil dans sa poche, tant pis pour la perf, c'est un respect vis-à-vis de ceux qui nous ont subi/soutenu/accompagné. Le but c'est d'aller au bout, point.
Bravo encore aux 4 Morlaisiens pour leur humilité et leur amitié, c'est beau, une des valeur du sport c'est aussi le partage. Et bravo à Ronan et son équipe pour ce film !!!
Même si évidemment, nous, en tant que triathlète, on aurait peut-être préféré que le réalisateur passe un peu plus de temps sur l'aspect préparatif, sur le temps consacré à l'entrainement, j'approuve sont choix de flashback ponctuels sur différents moments de la préparation, et je trouve aussi très bien qu'il aborde l'impact familial et le coté égoïste de ce sport. Personnellement j'aurai même préféré que ça soit un peu plus développé, au détriment de quelques minutes de course.
Alors oui j'ai aimé ce reportage. Pourquoi ?
Parce que j'ai eu un instant de compassion quand le 4ème mousquetaire a abandonné, son souhait avorté de passer la ligne avec sa gamine.
Parce que j'étais mal quand je voyais le plus jeune des 4 à la peine dans l'Isoard et que je me mettais à sa place ... faire une course sans trouver son rythme, ne pas être bien, subir ..
Parce que j'étais dégouté de voir celui qui était en tête(désolé j'ai pas imprimé les prénoms) être obligé de finir en marchant
Parce que je sentais bien que le "tatoué" était costaud dans sa tête et que malgré les douleurs il irait au bout
Parce que j'ai eu un frisson en les voyant passer la ligne, embrasser leurs gamins etc...
La plupart ici, on fait du tri pour le plaisir. On ne s'attaque pas à une course pour faire la partie pédestre en marchant, bien sûr que non. Mais quand on se met en tête de faire un Iron, qu'on fait subir des mois d'entrainements à nos familles, bin la moindre des choses c'est, si on peut, d'aller au bout, de finir. On met son orgueil dans sa poche, tant pis pour la perf, c'est un respect vis-à-vis de ceux qui nous ont subi/soutenu/accompagné. Le but c'est d'aller au bout, point.
Bravo encore aux 4 Morlaisiens pour leur humilité et leur amitié, c'est beau, une des valeur du sport c'est aussi le partage. Et bravo à Ronan et son équipe pour ce film !!!
Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun
Pour faire court, voici un bon résumé de ce documentaire :


Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun
Bravo + 100Nono le motard a écrit :Ceci dit je vais donner mon avis sur ce reportage que j'ai vu hier soir et que j'ai trouvé très chouette !!
Même si évidemment, nous, en tant que triathlète, on aurait peut-être préféré que le réalisateur passe un peu plus de temps sur l'aspect préparatif, sur le temps consacré à l'entrainement, j'approuve sont choix de flashback ponctuels sur différents moments de la préparation, et je trouve aussi très bien qu'il aborde l'impact familial et le coté égoïste de ce sport. Personnellement j'aurai même préféré que ça soit un peu plus développé, au détriment de quelques minutes de course.
Alors oui j'ai aimé ce reportage. Pourquoi ?
Parce que j'ai eu un instant de compassion quand le 4ème mousquetaire a abandonné, son souhait avorté de passer la ligne avec sa gamine.
Parce que j'étais mal quand je voyais le plus jeune des 4 à la peine dans l'Isoard et que je me mettais à sa place ... faire une course sans trouver son rythme, ne pas être bien, subir ..
Parce que j'étais dégouté de voir celui qui était en tête(désolé j'ai pas imprimé les prénoms) être obligé de finir en marchant
Parce que je sentais bien que le "tatoué" était costaud dans sa tête et que malgré les douleurs il irait au bout
Parce que j'ai eu un frisson en les voyant passer la ligne, embrasser leurs gamins etc...
La plupart ici, on fait du tri pour le plaisir. On ne s'attaque pas à une course pour faire la partie pédestre en marchant, bien sûr que non. Mais quand on se met en tête de faire un Iron, qu'on fait subir des mois d'entrainements à nos familles, bin la moindre des choses c'est, si on peut, d'aller au bout, de finir. On met son orgueil dans sa poche, tant pis pour la perf, c'est un respect vis-à-vis de ceux qui nous ont subi/soutenu/accompagné. Le but c'est d'aller au bout, point.
Bravo encore aux 4 Morlaisiens pour leur humilité et leur amitié, c'est beau, une des valeur du sport c'est aussi le partage. Et bravo à Ronan et son équipe pour ce film !!!
"Embrun a été pour eux une déroute, c'est dommage pour l'image du triathlon mais c'est une réalité à assumer."
Apparemment, ici il y a surtout des winners qui courent pour la gagne et qui n'auraient pas l'idée de marcher sur un marathon, même quand ça ne va plus...quel intérêt d'aller au bout de soi ?
C'est bien de vous soucier de l'image de votre sport "moi, je préfère abandonner plutôt que de marcher, c'est mauvais pour l'image du tri " Pensez à envoyer un cv à la FFTRI au service com', vous avez des chances.

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Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun
Superbe reportage dans lequel pour ma part je me retrouve bien plus que dans celui du norseman ou d'hawaii ...
J'ai juste une petite réflexion à faire, à embrun seul les 100 premiers ne marchent pas ( et encore ) donc bien que je partage l'idée que finir en marchant cela gache tout, c'est la réalité de l'embrunman : nombreux sont ceux qui marchent, nombreux sont ceux qui partent en ambulance et nombreux sont ceux qui explosent en vol...
Pour en revenir au reportage, ce que j'aime le plus c'est que pour une fois on ne présente pas le truc comme une épreuve de surhomme hyper entrainé prêt à mourir au combat ... C'est une bande de pote qui s'est lancé un défi et qui s'entraine pour y arriver !
Si tu ne connait pas embrun, le seul truc que tu comprend c'est que c'est un iron man et que ça monte ...
J'ai juste une petite réflexion à faire, à embrun seul les 100 premiers ne marchent pas ( et encore ) donc bien que je partage l'idée que finir en marchant cela gache tout, c'est la réalité de l'embrunman : nombreux sont ceux qui marchent, nombreux sont ceux qui partent en ambulance et nombreux sont ceux qui explosent en vol...
Pour en revenir au reportage, ce que j'aime le plus c'est que pour une fois on ne présente pas le truc comme une épreuve de surhomme hyper entrainé prêt à mourir au combat ... C'est une bande de pote qui s'est lancé un défi et qui s'entraine pour y arriver !
Si tu ne connait pas embrun, le seul truc que tu comprend c'est que c'est un iron man et que ça monte ...
Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun
Bonjour,
Ayant loupé le documentaire hier soir, quelqu'un aurait-il un lien ou un site ?
Merci d'avance.
Ayant loupé le documentaire hier soir, quelqu'un aurait-il un lien ou un site ?
Merci d'avance.
Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun
C'est quoi cet anathème jeté à la gueule symptomatique d'absence d'argument.Bikemonster a écrit :Tu m'as l'air d'être un sacré pimpim toi !!T.K a écrit :Embrun a été pour eux une déroute, c'est dommage pour l'image du triathlon mais c'est une réalité à assumer.
Pour répondre à Nono le motard, jusqu'à 2000m de dénivelé, un IM se prépare sans problème n'importe où en France, Embrun et l'Altiman non, c'est ce que je pense avec mon vécu, si tu le permets...
BLEU BLANC RAGE
- Nono le motard
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Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun
Je suis d'accord avec toi, un Iron montagnard se prépare en montagne, mais ne compare pas Vichy à l'Ironbask stp, ça n'a rien à voir ! Plat : Vichy ; accidenté : Ironbask ou Nice ; Montagne : Embrun ou Altriman.T.K a écrit :
Pour répondre à Nono le motard, jusqu'à 2000m de dénivelé, un IM se prépare sans problème n'importe où en France, Embrun et l'Altiman non, c'est ce que je pense avec mon vécu, si tu le permets...

Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embruns ré
On ne peut pas tout le temps se déplacer ,faire du dénivelé est possible dans d''autres régions . En Normandie il y a quelques côtes pour s'entraîner. C'est pas idéal mais ça peut servir.
Après d'accord l 'idéal c'est bien d'aller faire des recos.
Sinon l'arrivée by night sur embrun ( richard) était très émouvante.
Et le garçon qui fait les 18 bornes en soutenant son père ...en le "saoulant" de paroles... Génial de partager une course avec ses enfants.
Après d'accord l 'idéal c'est bien d'aller faire des recos.
Sinon l'arrivée by night sur embrun ( richard) était très émouvante.
Et le garçon qui fait les 18 bornes en soutenant son père ...en le "saoulant" de paroles... Génial de partager une course avec ses enfants.
Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun
En même temps, quand on habite un endroit ou il n'y a pas de montagne (Bretagne, Nord...), faut bien faire avec...(ou plutôt sans...). Donc à part quelques belles côtes -et il y en a en Bretagne, tout comme il y a quelques monts en Flandres- je vois mal comment on peut faire une prépa montagnarde...T.K a écrit :Pour répondre à Nono le motard, jusqu'à 2000m de dénivelé, un IM se prépare sans problème n'importe où en France, Embrun et l'Altiman non, c'est ce que je pense avec mon vécu, si tu le permets...
Perso, j'aimerais bien un jour prendre le départ de ce type d'épreuve qu'est l'EmbrunMan (même si je sais que j'en chierais grave), et même si il faut finir en marchant (Mais pour moi aucun problème sur ce point-là, ça me dérange pas de finir en marchant s'il le faut -le principal étant de finir-la marche étant mon sport en plus...Tiens, on n'a encore jamais vu un marcheur athlétique sur l'EmbrunMan il me semble

En tous cas, pas pu voir le reportage mais d'après la bande-annonce et les retours, il a l'air très bien. J'espère donc pouvoir le regarder lundi à 22h10 alors !!!
Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun
"A bout de course"
Hier soir, l'Equipe 21 a diffusé un reportage sur 4 passionnés bretons (Morlaix) de triathlon, préparant et faisant l'Embrunman. La bande-annonce, racoleuse, laissait entrevoir enfin un récit à la hauteur de notre sport.
L'histoire entre le triathlon et la télévision n'est pas simple. Tout le monde garde en mémoire les terribles images d'Hawaii et de Nice, début des années 80s. Des nageurs frigorifiés à la sortie de l'eau, des coureurs qui franchissaient la ligne d'arrivée en rampant. Des images qui, avouons-le ont fait plus de tort qu'autre chose à la promotion du triathlon.
Hier soir, l'Equipe 21 en a remis une couche. Certes, et c'est certainement ce qu'ont voulu montré les auteurs, l'histoire entre copains peut paraître belle ; les gars qui veulent se faire plaisir, etc...
Au final, qu'a-t-on vu ? des triathlètes qui passent à côté de leur objectif, qui crampent à vélo, qui marchent en course à pied, qui s'entraînent comme des forcenés, limite au détriment de leur vie de famille. Durant la course, ils étaient bien loin d'avoir l'air de sportifs qui se font plaisir, qui prennent leur pied.
Le film n'avait pas pour but de faire gonfler le nombre de licenciés ; mais ce n'est pas en nous montrant un tel "spectacle" que les nouveaux adhérents vont affluer.
Le triathlon ne s'arrête heureusement pas à l'ironman, et lors de ses épreuves la plupart des athlètes terminent en courant au terme d'un tryptique jouissif.
Après avoir regarder l'émission dans son intégralité (je n'y ai pas pris plaisir, vous l'aurez compris), je constate qu'à l'inverse de beaucoup de sports, le triathlon est encore présenté sous son mauvais profil. Mais il survivra à ces caricatures.
Hier soir, l'Equipe 21 a diffusé un reportage sur 4 passionnés bretons (Morlaix) de triathlon, préparant et faisant l'Embrunman. La bande-annonce, racoleuse, laissait entrevoir enfin un récit à la hauteur de notre sport.
L'histoire entre le triathlon et la télévision n'est pas simple. Tout le monde garde en mémoire les terribles images d'Hawaii et de Nice, début des années 80s. Des nageurs frigorifiés à la sortie de l'eau, des coureurs qui franchissaient la ligne d'arrivée en rampant. Des images qui, avouons-le ont fait plus de tort qu'autre chose à la promotion du triathlon.
Hier soir, l'Equipe 21 en a remis une couche. Certes, et c'est certainement ce qu'ont voulu montré les auteurs, l'histoire entre copains peut paraître belle ; les gars qui veulent se faire plaisir, etc...
Au final, qu'a-t-on vu ? des triathlètes qui passent à côté de leur objectif, qui crampent à vélo, qui marchent en course à pied, qui s'entraînent comme des forcenés, limite au détriment de leur vie de famille. Durant la course, ils étaient bien loin d'avoir l'air de sportifs qui se font plaisir, qui prennent leur pied.
Le film n'avait pas pour but de faire gonfler le nombre de licenciés ; mais ce n'est pas en nous montrant un tel "spectacle" que les nouveaux adhérents vont affluer.
Le triathlon ne s'arrête heureusement pas à l'ironman, et lors de ses épreuves la plupart des athlètes terminent en courant au terme d'un tryptique jouissif.
Après avoir regarder l'émission dans son intégralité (je n'y ai pas pris plaisir, vous l'aurez compris), je constate qu'à l'inverse de beaucoup de sports, le triathlon est encore présenté sous son mauvais profil. Mais il survivra à ces caricatures.
Re: DOCUMENTAIRE "A bout de course" sur embrun
Non mais sérieux :
1/ Problème de casting. Les personnages sont mauvais. Si ce sont des acteurs ils sont fades et n'ont aucun charisme, si ce sont des sportifs ils manquent cruellement de mental et de volonté. Ne dégagent aucune sympathie (a part le maçon qui lui m'a bien plu).
2/ Aucune originalité. Les interviews n'apportent rien d'inédit et on est dans le cliché permanent (beaucoup de sacrifices, le sport c'est une drogue, et bla bla bla).
3/ Aucune émotion, ce qui est en partie lié au 1er point. Impossible de s'identifier à eux ou de se sentir représenté. Par moment j'avais limite honte.
Enfin, certaines scènes sont surréalistes comme :
- les mecs qui tapent la discute 15min (?) au sommet de l'izoard et se font un débrief de leur course en plein milieu !
- Le mec qui se prive d'un carré de chocolat la veille de la course, alors qu'il arrive night finisher... A ce niveau, pas sur que le carré de chocolat change quoi que ce soit l'ami tu peux y aller !
- Le mec qui part en marchant ("foulée commando" comme il dit) et n'affiche clairement aucune intention ne serait-ce que d'essayer de trottiner. Son objectif, attendre "la fraîche". Et finalement il bâche avant !
- Le mec qui accorde des interviews face caméra avec son gamin qui à l'air bien plus dépité que lui, s'analyse en direct au lieu de faire ce pour quoi il est sensé être là : courir.
Au final, la vue de ce reportage m'a limite filé le bourdon et l'envie de changer de sport ! Pas le truc à regarder si vous cherchez à vous motiver !
1/ Problème de casting. Les personnages sont mauvais. Si ce sont des acteurs ils sont fades et n'ont aucun charisme, si ce sont des sportifs ils manquent cruellement de mental et de volonté. Ne dégagent aucune sympathie (a part le maçon qui lui m'a bien plu).
2/ Aucune originalité. Les interviews n'apportent rien d'inédit et on est dans le cliché permanent (beaucoup de sacrifices, le sport c'est une drogue, et bla bla bla).
3/ Aucune émotion, ce qui est en partie lié au 1er point. Impossible de s'identifier à eux ou de se sentir représenté. Par moment j'avais limite honte.
Enfin, certaines scènes sont surréalistes comme :
- les mecs qui tapent la discute 15min (?) au sommet de l'izoard et se font un débrief de leur course en plein milieu !
- Le mec qui se prive d'un carré de chocolat la veille de la course, alors qu'il arrive night finisher... A ce niveau, pas sur que le carré de chocolat change quoi que ce soit l'ami tu peux y aller !
- Le mec qui part en marchant ("foulée commando" comme il dit) et n'affiche clairement aucune intention ne serait-ce que d'essayer de trottiner. Son objectif, attendre "la fraîche". Et finalement il bâche avant !
- Le mec qui accorde des interviews face caméra avec son gamin qui à l'air bien plus dépité que lui, s'analyse en direct au lieu de faire ce pour quoi il est sensé être là : courir.
Au final, la vue de ce reportage m'a limite filé le bourdon et l'envie de changer de sport ! Pas le truc à regarder si vous cherchez à vous motiver !