Petite synthèse en vidéo de la course minimaliste... j'ai bien aimé (la chemise ouverte dégageant le torse aussi

A+
J'aime beaucoup cette photo.VelociR a écrit : Autant je trouve tes provoc' sur le topic ÉD. Drôle, autant la c'est vraiment de très mauvais goût.
Qu'avais tu en tête en postant ça ici?
Très bon livre, "courir avec les kenyans" d'un journaliste anglais au prénom imprononçable. Il s'immerge plusieurs mois a Iten pour "percer le secret des kenyans". C'est une des théories qu'il avance.beproud a écrit :. A savoir que les Kenyans, les Ethiopiens, etc sont plus habitués à courir en foulée naturelle, j'ai vu un reportage où les marathoniens courent pieds nus et ce n'est que lorsque qu'ils deviennent bons qu'ils arrivent à acheter une paire de chaussure. Ils sont habitués dès le début à ce genre de course et leurs pieds s'habituent à force.
Faisons courir nos enfants pieds nus pendant 15ans, ce seront des marathoniens pros! :p
pfff, c'est quoi ces explications de merde !? Tu fais de la mise en scène ? du théâtre en amateur ou quoi ? Tu as beaucoup d'imagination mais essaye d'aller la mettre à l'épreuve sur l'autre post foireux sur lequel tu sembles bien te divertir (ericD non ?) !Silver0l a écrit :J'aime beaucoup cette photo.VelociR a écrit : Autant je trouve tes provoc' sur le topic ÉD. Drôle, autant la c'est vraiment de très mauvais goût.
Qu'avais tu en tête en postant ça ici?
Le fait qu'on ne voie pas le visage de l'athlète en fait comme le symbole de l'abnégation, de l'approche nécessairement humble, dénudée et dépouillée du coureur minimaliste, qui va donner le peu qu'il a, son T-Shirt, pour porter secours à la victime étendue.
La conjointe éplorée et le sang au sol donne toute sa dimension dramatique à l'image, tandis que les figures animales en arrière plan, jaune et rose, qui ont l'air de contempler la scène d'un air affligé, marquent par leur violent contraste chromatique et sémantique l'innocence à jamais perdue de l'univers enfantin.
Oui c'est bien ça, j'ai un peu résumé ce qui en ressortait mais nos sources sont similaires :p.VelociR a écrit :Très bon livre, "courir avec les kenyans" d'un journaliste anglais au prénom imprononçable. Il s'immerge plusieurs mois a Iten pour "percer le secret des kenyans". C'est une des théories qu'il avance.beproud a écrit :. A savoir que les Kenyans, les Ethiopiens, etc sont plus habitués à courir en foulée naturelle, j'ai vu un reportage où les marathoniens courent pieds nus et ce n'est que lorsque qu'ils deviennent bons qu'ils arrivent à acheter une paire de chaussure. Ils sont habitués dès le début à ce genre de course et leurs pieds s'habituent à force.
Faisons courir nos enfants pieds nus pendant 15ans, ce seront des marathoniens pros! :p
Les kenyans ne mettent pas des chaussures pour courir, ils n'en ont pas les moyens. Mais les chaussures font partis des "primes de course", donc les meilleurs finissent pas avoir des runings occidentale... Mais la farce, c'est qu'ils ont un tel respect pour la "science occidentale", qu'ils sont persuadé que c'est bien. Sans même remettre en cause le principe même de "performance avec chaussures ou sans". C'est ce qui ressort du livre
Et toi, falkner, c'est quoi ton interprétation de la photo?falkner a écrit :pfff, c'est quoi ces explications de merde !? Tu fais de la mise en scène ? du théâtre en amateur ou quoi ? Tu as beaucoup d'imagination mais essaye d'aller la mettre à l'épreuve sur l'autre post foireux sur lequel tu sembles bien te divertir (ericD non ?) !Silver0l a écrit :
J'aime beaucoup cette photo.
Le fait qu'on ne voie pas le visage de l'athlète en fait comme le symbole de l'abnégation, de l'approche nécessairement humble, dénudée et dépouillée du coureur minimaliste, qui va donner le peu qu'il a, son T-Shirt, pour porter secours à la victime étendue.
La conjointe éplorée et le sang au sol donne toute sa dimension dramatique à l'image, tandis que les figures animales en arrière plan, jaune et rose, qui ont l'air de contempler la scène d'un air affligé, marquent par leur violent contraste chromatique et sémantique l'innocence à jamais perdue de l'univers enfantin.
Tu es vraiment d'une naïveté confondante et d'une grande ignorance des choses du monde pour penser qu'il n'y a pas une intention sous-jacente derrière l'oeuvre d'un grand photographe professionnel comme John Tlumacki.falkner a écrit :moi je ne sur-dramatise pas la photo et n'en donne aucune interprétation.
Le gars ne donne pas son tshirt... ce que tu vois c'est un pull.... un marathonien ne cours pas en pull-over... ensuite la nana, c'est la conjointe de qui ? du mec allongé ou du type de dos ? T'en sais pas plus non plus. Quant aux bestioles colorées dans le fond, c'est au fond de ton esprit ludique que tu les vois "contempler la scène d'un regard affligé".... tu mets en opposition les jouets d'enfants face à la violence des hommes.... bon, quant au contraste "sémantique" et "Chromatique" je vais éviter d'y apporter mon avis... le sang n'est-il déjà pas d'un contraste violent plus chromatique que sémantique d'ailleurs ?
Je reviens sur le terme d'abnégation... le gars est photographié de dos, c'est tout. Il ne pouvait pas en être autrement. C'est une photo volée... le côté "don de soi" tu repasseras ! C'est un type qui vient porter secours à un autre type. Il n'y a rien à ajouter je pense.
Le mauvais goût c'est toi qui l'apporte là avec cette image qui n'a pas sa place ici ! quant aux commentaires ... je te laisse lire entre les lignes !
On parle sur ce post de chaussures.... pas de l'abnégation imaginée d'un gars, qui est peut-être avec sa gonzesse devant des nounours qui sont affligés de la scène horrible qui vient de se dérouler sous leurs petits yeux de plastique. CQFD