mais je ne sais pas ce que cela induit en terme de pollution .

Faudrait demander à un spécialiste du réseau d'égoûts, mais je ne suis pas certain que l'effet soit neutre!T.K a écrit :mais je ne sais pas ce que cela induit en terme de pollution .
d'accord avec toi Thierry, on sentait le mec sur la défensive quand la question fut posée ( je ne sais d'ailleurs plus pourquoi nous en sommes venus sur ce sujet) et nous dire qu'on valorise a un tel montant fait tout de suite penser : " ah ouais quand même!!" mais le déficit reste le même.Thierry *OnlineTri* a écrit :La réalité chiffré est que jusqu'à présent le triathlon de Paris a énormément couté à la fédération (il suffit de reprendre année après année les déficits annoncés à l'AG pour le constater). Les pertes seraient encore plus importante si l'on inclut le temps passé par les salariés de la fédération sur l'épreuve.kundun a écrit :D’après le vice président de la fftri, président de la ligue idf, entendu a l'ag de la Ligue Rhône-Alpes, pour lui aucun doute sur la tenue du triathlon de Paris, et ce en dépit du déficit. Pour la FFTRI, c'est la vitrine du Triathlon en France(!) et la valorisation de l'image en retour serait valorisé a 1.5 millions d'euros ( chiffre a vérifier).
amha, il aura bien lieu.
Le chiffre d'1.5 millions d'euros est alors cité afin de faire passer la pilule mais c'est un leurre. Ce chiffre est donné par l'agence de presse pour justifier de ses honorairesLa présence média du triathlon (télé, presse) est mesurée et on compare les achats d'espace publicitaires qu'il aurait fallu faire pour obtenir une présence équivalente. On comprend immédiatement que ce chiffre est à manipuler avec beaucoup de précaution. Par exemple, il y a des retours médias concernant les problèmes de qualité d'eau et le décès survenu pendant l'épreuve l'année dernière. Cela constitue une "publicité négative", est-ce intégré en positif, négatif ou pas compter dans la valorisation de l'espace média occupé par le triathlon de Paris? Je suis étonné aussi qu'année après année c'est toujours le même chiffre de 1.5 million qui est utilisé, comme s'il n'était pas actualisé chaque année.
Quand bien même ce chiffre serait juste & indiscutable, le fait que le triathlon soit déficitaire chaque année montre bien que la fédération n'arrive pas à capitaliser sur cette présence média. La fédération aurait tout à gagner à laisser l'organisation à un organisateur privé tel ASO : les retours médias pour la discipline ne serait que plus important, le risque financier pour la fédération deviendrait nul et la fédération percevrait des droits d'organisation & licences journées. Cela serait donc tout bénéfice mais ce n'est cependant pas du tout la voie vers laquelle s'oriente la fédération. C'est même tout le contraire, puisque le projet en cours est de créer une société d'organisation.
T.
Concernant la qualité de l'eau, je ne pense pas que la pluie/crue actuelle est à craindre... l'eau qui coule aujourd'hui sous les ponts sera depuis longtemps dans l'atlantique en juillet prochain. Le plus gros soucis peut provenir des orages pouvant survenir en amont de Paris un peu avant l'épreuve comme cela c'était produit à Montpellier il y a quelques années... la qualité de l'eau peut alors se dégrader très rapidement. Ce problème ne concerne pas que la Seine bien sur mais tous les triathlons en rivière...JMBL a écrit :Concernant l'impact de la pluviométrie sur le niveau de pollution, j'ai du mal à imaginer que 2013 puisse être pire que 2012, compte tenu de ce qu'on est pris sur le nez.
Sauf à ce que les règles se soient durcies, je ne pense pas que les freins viennent de cet aspect.
Si les organisateurs sont si fiers (et surs) du chiffre de 1,5ME de retombées médiatiques et bien ce devrait être la fédé qui reverse "virutellement" cette somme à l'organisation.kundun a écrit :d'accord avec toi Thierry, on sentait le mec sur la défensive quand la question fut posée ( je ne sais d'ailleurs plus pourquoi nous en sommes venus sur ce sujet) et nous dire qu'on valorise a un tel montant fait tout de suite penser : " ah ouais quand même!!" mais le déficit reste le même.Thierry *OnlineTri* a écrit :La réalité chiffré est que jusqu'à présent le triathlon de Paris a énormément couté à la fédération (il suffit de reprendre année après année les déficits annoncés à l'AG pour le constater). Les pertes seraient encore plus importante si l'on inclut le temps passé par les salariés de la fédération sur l'épreuve.kundun a écrit :D’après le vice président de la fftri, président de la ligue idf, entendu a l'ag de la Ligue Rhône-Alpes, pour lui aucun doute sur la tenue du triathlon de Paris, et ce en dépit du déficit. Pour la FFTRI, c'est la vitrine du Triathlon en France(!) et la valorisation de l'image en retour serait valorisé a 1.5 millions d'euros ( chiffre a vérifier).
amha, il aura bien lieu.
Le chiffre d'1.5 millions d'euros est alors cité afin de faire passer la pilule mais c'est un leurre. Ce chiffre est donné par l'agence de presse pour justifier de ses honorairesLa présence média du triathlon (télé, presse) est mesurée et on compare les achats d'espace publicitaires qu'il aurait fallu faire pour obtenir une présence équivalente. On comprend immédiatement que ce chiffre est à manipuler avec beaucoup de précaution. Par exemple, il y a des retours médias concernant les problèmes de qualité d'eau et le décès survenu pendant l'épreuve l'année dernière. Cela constitue une "publicité négative", est-ce intégré en positif, négatif ou pas compter dans la valorisation de l'espace média occupé par le triathlon de Paris? Je suis étonné aussi qu'année après année c'est toujours le même chiffre de 1.5 million qui est utilisé, comme s'il n'était pas actualisé chaque année.
Quand bien même ce chiffre serait juste & indiscutable, le fait que le triathlon soit déficitaire chaque année montre bien que la fédération n'arrive pas à capitaliser sur cette présence média. La fédération aurait tout à gagner à laisser l'organisation à un organisateur privé tel ASO : les retours médias pour la discipline ne serait que plus important, le risque financier pour la fédération deviendrait nul et la fédération percevrait des droits d'organisation & licences journées. Cela serait donc tout bénéfice mais ce n'est cependant pas du tout la voie vers laquelle s'oriente la fédération. C'est même tout le contraire, puisque le projet en cours est de créer une société d'organisation.
T.
Et pour la qualité de l'eau, faire signer une décharge aux triathlétes pour la natation ça veut tout dire....
Clair, dans 5 mois "l'eau aura coulé sous les ponts"Thierry *OnlineTri* a écrit :Concernant la qualité de l'eau, je ne pense pas que la pluie/crue actuelle est à craindre... l'eau qui coule aujourd'hui sous les ponts sera depuis longtemps dans l'atlantique en juillet prochain. Le plus gros soucis peut provenir des orages pouvant survenir en amont de Paris un peu avant l'épreuve comme cela c'était produit à Montpellier il y a quelques années... la qualité de l'eau peut alors se dégrader très rapidement. Ce problème ne concerne pas que la Seine bien sur mais tous les triathlons en rivière...JMBL a écrit :Concernant l'impact de la pluviométrie sur le niveau de pollution, j'ai du mal à imaginer que 2013 puisse être pire que 2012, compte tenu de ce qu'on est pris sur le nez.
Sauf à ce que les règles se soient durcies, je ne pense pas que les freins viennent de cet aspect.![]()
T.
Corsaire a écrit :Personne n'a émis l'idée d'une pétition ou d'une manifestation devant les bateaux-louches en faveur du tri de Paris ?
La Seine est dégeu dans beaucoup d'endroits. Je ne sais même pas si à Rouen ce n'est pas pire qu'à Paris...Corsaire a écrit :alors qu'une semaine avant se déroule le tri d'Andrésy, dans la même Seine, en aval.. mais avec une autre préfecture, et sans bateau-mouche...