experience???
Re: experience???
Un truc de base, aux ravitos : soit Gel + eau, soit Coca seul. Sans oublier, Coca le plus tard possible pendant la course.
"Se trouver des excuses c'est perdre le temps précieux que l'on pourrait utiliser à persévérer"
"Do not fear death, fear an unlived life"
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Re: experience???
Je n'avais pas toutes les cartes en main, je ne savais pas (ou avait lu en diagonale peut êtrelopapy a écrit :N'oublie pas, non plus, mon cher Bryce que lorsque tu es déshydraté, il y a de grandes chance que ton cerveau manque cruellement de sucres simples et donc la moindre contrariété peut être vécu comme une catastrophe, même si on a un mental de "guerrier" !![]()

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Re: experience???
Mon cher Bryce (2 fois, arf...) C'est ton quotage de goretBryce a écrit :Je n'avais pas toutes les cartes en main, je ne savais pas (ou avait lu en diagonale peut êtrelopapy a écrit :N'oublie pas, non plus, mon cher Bryce que lorsque tu es déshydraté, il y a de grandes chance que ton cerveau manque cruellement de sucres simples et donc la moindre contrariété peut être vécu comme une catastrophe, même si on a un mental de "guerrier" !![]()
) que tu étais déshydraté...effectivement dans ce cas tu ne réagis pas pareil.

Mais comme je n'ai pas retouvé de littérature crédible sur ce point, j'en fais peu de publicité (si quelqu'un retrouve le sport & vie qui en cause, faites moi signe !)
L'Papy_absorption_sublinguale_en_test
Re: experience???
Tu m'as intrigué avec ton histoire d'absorption sublinguale... J'ai fait quelques recherches sur pubmed... et pas trouvé grand chose concernant l'effort prolongé.
Sur le court terme (efforts courts de type 20-40min), je me rappelle aussi du Sport&Vie en question et le principe est que ça provoque un boost insulinémique, permettant des imports cellulaires plus marqués, à terme des oxydations potentiellement augmentées. Sur le moyen terme, ce boost serait à priori plutôt négatif (tu leurres ton organisme qui s'attend à recevoir plus d'énergie...à court terme ça va, à moyen terme tu te prends un violent crochet du droit quand il s'en rend compte -sous forme d'hypo réactionnelle- par le cerveau qui gueule...
Quant à l'absorption sublinguale en elle-même, j'ai cherché (en vitesse certes
) mais apparemment on est très loin des apports nécessaires à un corps en effort intense.
(L'absorption du tractus digestif est déjà limitante quand on parle de 1.2 à 1.8 g/min CHO... là ce serait bien inférieur...)
Pas sûr que le sublingual soit réellement une voie de dernier recours. Quand c'est trop tard, c'est trop tard... 
Sur le court terme (efforts courts de type 20-40min), je me rappelle aussi du Sport&Vie en question et le principe est que ça provoque un boost insulinémique, permettant des imports cellulaires plus marqués, à terme des oxydations potentiellement augmentées. Sur le moyen terme, ce boost serait à priori plutôt négatif (tu leurres ton organisme qui s'attend à recevoir plus d'énergie...à court terme ça va, à moyen terme tu te prends un violent crochet du droit quand il s'en rend compte -sous forme d'hypo réactionnelle- par le cerveau qui gueule...
Quant à l'absorption sublinguale en elle-même, j'ai cherché (en vitesse certes

(L'absorption du tractus digestif est déjà limitante quand on parle de 1.2 à 1.8 g/min CHO... là ce serait bien inférieur...)


Dernière modification par Taborniau le 13 nov. 2012, 22:33, modifié 9 fois.
"Si tu veux gagner, cours le 100 mètres. Si tu veux tenter une autre existence, cours un marathon." E.Zatopek
Re: experience???
IL y a beaucoup de vrai dans ce que tu dis, car en regardant la start list on peut potentiellement viser une place pour certains ou un chrono pour d'autres ou "simplement" franchir la ligne. L'etat motivationnel est donc subordonné par ces differents cas de figures. La configuration de la course, l'etat de forme ... font qu'on respecte ou non son objectif. Par contre c'est vrai que si on s'eloigne de son objectif, on peut en perdre le sens à finir la courseBryce a écrit :J'ai aussi longtemps trouvé ça nul (pour le dire sans détour) de bâcher sur IM après le semi avec de bons chronos en nat et vélo.lopapy a écrit : Pour repondre sur ma course de gravelines, certains lachent physiquement , moi sur cette course c'est le mental qui a laché, il n'y arien d'etrange la dedans
Puis avec le temps je me suis posé la question autrement, pris le problème à l'envers et c'est pourtant évident, il y a une double notion au départ de la course : finir et / ou performer, l'objectif des un n'est pas l'objectif des autres. Certains partent pour voir la finish line, d'autre pour la voir également mais avec tel chrono, voir la ligne sans avoir performé (ou du moins ce qu'ils considèrent comme une bonne perf selon leur niveau et leur prépa) n'a pas (plus) de sens, alors ils ne finissent pas, plus de plaisir, plus l'effort suffisant dans la tête...
J'ai plus de mal à le comprendre en fin de saison (ça amène de toute façon toujours de l'expèrience) et surtout à Hawaii, c'est avant tout une fête, une chance d'y être, un cadeau pour soit-même (et ses proches, après une saison de plus de sacrifices)
Il m'est arrivé de bacher une course car je n'etais pas dans le classement espéré. Pour gravelines c'est different, et mentalement je pense que j'etais hors course...l'explication j'ai du mal à la trouver, cest
certainement un ensemble de facteurs.
http://stephane-huet.onlinetri.com/
Re: experience???
Merci de ce retour...Taborniau a écrit :Tu m'as intrigué avec ton histoire d'absorption sublinguale... J'ai fait quelques recherches sur pubmed... et pas trouvé grand chose concernant l'effort prolongé.
Sur le court terme (efforts courts de type 20-40min), je me rappelle aussi du Sport&Vie en question et le principe est que ça provoque un boost insulinémique, permettant des imports cellulaires plus marqués, à terme des oxydations potentiellement augmentées. Sur le moyen terme, ce boost serait à priori plutôt négatif (tu leurres ton organisme qui s'attend à recevoir plus d'énergie...à court terme ça va, à moyen terme tu te prends un violent crochet du droit quand il s'en rend compte -sous forme d'hypo réactionnelle- par le cerveau qui gueule...
Quant à l'absorption sublinguale en elle-même, j'ai cherché (en vitesse certes) mais apparemment on est très loin des apports nécessaires à un corps en effort intense.
(L'absorption du tractus digestif est déjà limitante quand on parle de 1.2 à 1.8 g/min CHO... là ce serait bien inférieur...)
Pas sûr que le sublingual soit réellement une voie de dernier recours. Quand c'est trop tard, c'est trop tard...

Attention que l'apport n'est pas glycémique, juste hydrique... Mais cela complique encore plus le schéma.
En effet l'apport glycémique est apporter par les sucres du Coca en cas d'urgence, ou de la boisson énergétique, dont je baisse l'osmolarité par un second verre d'eau.
MAIS dans certaines courses à force de boire les intestins me sonnent du clairon.
La, au Chtriman, je commençais à avoir le dégout du sucré, signe de déshydratation, avec la bouche pateuse.
Mais il me fallait m'hydrater et aussi me "sucrer" !
La boisson glucosée commençait à donner des signes de faiblesse, CAD des débuts de nausée montrant une osmolarité trop basse.
Malheureusement impossible de boire le verre complet à chaque ravito !
Du coup, fort ralentissement je passe de 5'/km à presque 6', il fallait réagir.
J'ai donc bu mon coca puis derrière un verre d'eau pétillante, eurêka, j'ai acceléré vers les 5'30"...
Mais les intestins n'ont pas été d'accord pour ce fort apport hydrique d'un coup et après 3 ravitos j'ai du mal à avaler le verre de coca et impossible à avaler l'eau. Je la garde dans la bouche presque 200m avant de la recracher. Au ravito suivant, je ne prend que du Cola et quelques mêtres plus loin je redescends autour de 6'... J'ai les glandes alors au ravito suivant je reviens à la boisson glucosée, qui m'écoeure, alors je reprends du pétillant et marche en me rinçant la bouche, repartant en gardant la bouche pleine.
je refais comme quelques ravitos précédent et je ré-accélère. Je garde la même technique et là, byzance, je fini les 10 derniers kms à 5'/kms, escortant une fille du half remontant des gars dont certains émettaient des grognements misogynes ! (j'adore, quand j'accompagne une femme, doubler ce genre de personnage

Comme je suis un adepte de l'homéopathie et qu'il me semble qu'avec une autre partie du corps dont les suppositoire profitent, l'absorption sublinguale serait parmi les meilleures du corps, j'ai imaginé une possibilité technique de leurrer des capteurs sans effets secondaires ou de maximiser l'absorption hydrique réelle vers son maximum ainsi. En échangeant j'ai eu divers retours mais aucun prouvant que l'idée était stupide...
J'ai retesté cela sur marathon il y a 3 semaines, cela m'a permis de sortir de mon coup de mou, mais ne m'a pas empéché de finir déshydraté et avec des courbatures.
Dimanche, j'ai fait un trail de 56 bornes 1400D+ à 11MY... Aucune courbature car hydraté dès le départ en continue tous les 200m/500m (faut avoir la lucidité de souvent prendre la pipette et la mettre dans la bouche).*
Je ramasse 10 coureurs dans les 5 derniers km (je met 20" au plus vaillant en 800m...) et passé la ligne, à part les traits tirés.. Rien... Pas soif, pas faim, bien... J'ai pris une douche délicieuse me foutant des copains courbaturés !!!
J'ai l'intuition que le sublinguale pourrait servir a quelque chose d'autres que simplement enlevé ce gout pateux du sucré... Mais comment ?
Encore merci...
L'Papy
PS : et voilà avec son quotage de goret (bis) le Bryce a aussi pertubé Stéphane,


Re: experience???
Oh bah si j'peux aider
(à faire se développer les débats, les explications...)

"Se trouver des excuses c'est perdre le temps précieux que l'on pourrait utiliser à persévérer"
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