C4st0r_Tr0y a écrit :FAYARD a écrit :
Magnifique...surtout après un contrôle positif...non vraiment un grand champion...bon d'accord pas autant que Lance, hein !!!! Putain mais faut arrêter vos délires les gars, ce type est une énorme chaudière !!!!!

Tout le monde se dope Fayard... Faut arrêter de croire au père noël, le cyclisme est comme cela...
Le dopage est devenu un paramètre comme l'entrainement, la récup, l'alimentation, etc...
Amstrong, cantador et autres sont justes meilleurs dans l'optimisation de tous ces paramètres.
Ce qui aurait du arriver durant l'affaire FESTINA (un grand déballage) va t-il enfin arriver
http://www.sport365.fr/autres-sports/cy ... 9299.shtml
Dopage : Museeuw se confesse à son tour
Dans une interview accordée à la Gazet Van Antwerpen, Johan Museeuw a reconnu ouvertement s'être dopé durant sa carrière. Il veut en terminer avec l'hypocrisie au sujet du dopage, très répandu dans les années 90 selon lui.
Après les révélations de Tyler Hamilton et de Jonathan Vaughters,
Johan Museeuw est également passé aux aveux.
L'ancien coureur belge, qui a arrêté sa carrière en 2004, a reconnu un dopage quotidien durant la majeure partie de sa carrière.
« Je suis le premier à l'admettre ouvertement, et peut-être que beaucoup de gens vont me reprocher de rompre le silence, mais ce doit être fait : se doper faisait partie de la vie quotidienne pour presque tout le monde à l'époque, a lâché sans concession Museeuw, vainqueur de trois Paris-Roubaix et d'un championnat du Monde notamment, dans les colonnes de la Gazet Van Antwerpen. Il faut arrêter avec l'hypocrisie. La seule façon de sortir de cette spirale meurtrière est de lutter contre le déni constant, et contre le silence qui continue de nous hanter. Si nous ne sommes pas ouverts sur ce sujet, on ne parviendra pas à faire table rase du passé. Un mea culpa collectif est la seule manière dont nous pouvons ouvrir la voie pour l'avenir. »
http://www.velochrono.fr/actu/2012/dopa ... -coureurs/
Dopage : Vaughters mouille ses coureurs
Manager de Garmin-Sharp, Jonathan Vaughters s’est toujours donné l’image d’un combattant du dopage, homme à la tête d’une équipe propre, laquelle a instauré un système complet de lutte contre la triche. Il n’a jamais eu de casserole à gérer : contrôle positif de l’un de ses coureurs, implication dans des enquêtes ou même suspicion. Et il expliquait le recrutement d’un ex-banni, Thomas Dekker, par le concept de la « deuxième chance », sous couvert de tests réalisés après quelques mois passés dans la réserve. Quand de nombreux dirigeants d’équipes sont loin d’inspirer confiance à cause de leur passé de coureur, « JV », lui, arrivait à séduire grâce à ses prises de position, et ce malgré son passé de coureur chez US Postal. Mais après le Tour de France, Jonathan Vaughters a craqué. Le 12 août dernier, il est passé aux aveux dans les colonnes du New York Times : « Je me suis dopé. Je suis désolé de l’avoir fait, je le regrette profondément. Ma culpabilité m’a poussé à me retirer de la compétition et à monter mon équipe cycliste. » Il explique alors que la philosophie de sa structure fut dictée par les enseignements tirés de sa carrière de coureur.
Ça se tient. Mais l’Américain aurait pu faire cette confession bien plus tôt, d’autant qu’il est loin d’être le seul ancien coureur de la génération EPO à avoir des fonctions dans le cyclisme professionnel. La démarche de « tout dire » est louable mais à chaque fois qu’un sac est vidé, une question légitime se pose : pourquoi maintenant ? Sans doute parce que l’on est à quelques semaines de l’épilogue (ou presque) de l’affaire Armstrong. Le septuple vainqueur du Tour de France, qui devrait perdre ce statut dans les jours à venir, a renoncé à se défendre face aux accusations de l’Usada, fruits d’une enquête articulée autour de témoignages livrés par de nombreux anciens collègues du Texan. Jonathan Vaughters en fait partie. De là à se dire que s’il n’y avait jamais eu d’affaire Armstrong, jamais il n’aurait délié sa langue, il n’y a qu’un pas. Être le parangon de la propreté, un ancien coureur « clean » privé d’un palmarès par la culture du dopage devenu manager d’équipe pour rectifier le tir par procuration, ce n’est pas pareil qu’être ce même homme de vertu après avoir connu l’autre côté de la barrière.
« Je savais comment fonctionnaient ces coureurs »
Tout ça, c’était avant le 5 septembre. La saga Vaughters a connu une nouvelle péripétie mercredi, encore une fois de la propre initiative du premier concerné. Il s’est immiscé dans une discussion sur le forum du site Cyclingnews (et a confirmé qu’il s’agissait bien de lui), qui traitait des récentes déclarations de Jorg Jaksche, garçon que Jonathan Vaughters avait refusé de recruter après ses aveux de dopage en 2007. D’une part, il maintient qu’il n’aurait jamais voulu l’engager même si son sponsor lui avait donné l’autorisation. D’autre part, au fil des échanges, il admet ouvertement que trois de ses coureurs, Christian Vande Velde, David Zabriskie et Thomas Danielson,
qui partagent le point commun d’être comme lui d’anciens coureurs de Johan Bruyneel, se sont dopés à un moment de leur carrière. « Ils ont un passé et d’un point de vue éthique, ils ne sont pas différents de Jorg Jaksche. La différence repose sur la performance. Je savais par mon passé chez US Postal comment fonctionnaient ces coureurs. Et je sais que leur transgressions, si elles sont éthiquement semblables à celle de Jaksche, n’ont rien à voir en terme d’amélioration de la performance. Du coup, je savais qu’ils pouvaient rester proches de leur niveau tout en étant clean. »
On résume l’histoire ? Jonathan Vaughters a pris sa retraite après avoir été dégoûté par les pratiques de certains coureurs qu’il affrontait ou avec qui il courait. Il n’a pas pour autant voulu quitter le cyclisme et a créé sa petite équipe, aux Etats-Unis, dans le but de la faire grandir selon une certaine idée de transparence et d’éthique. Il y est parvenu mais en misant sur des coureurs qui ont triché par le passé. Il les a convaincus qu’ils pouvaient obtenir des résultats tout en arrêtant de se doper, en rejoignant son équipe. Il explique qu’il ne se « base pas sur la perception qu’a le public, ni sur une stratégie de relations publiques », mais sur ce que peuvent faire ces coureurs avec propreté. Reste une interrogation : certes à contretemps, c’est de la transparence, mais est-ce que cela ne va pas causer la perte de trois coureurs en question ?
Car sur la bases des propos de leur manager, Vande Velde, Zabriskie et Danielson pourraient maintenant risquer une suspension…
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http://www.velochrono.fr/actu/2012/dopa ... z25jAv0lQH
De nouvelles révélations qui s'inscrivent dans un climat pesant, marqué par la destitution de Lance Armstrong de ses sept Tours de France.