Cela rappelle le labo de test italien corrompu qui déclarait tout négatif.
Le foot est un sport propre, qu'on se le dise, et pour lequel le dopage n'a aucun intérêt
http://www.topmercato.com/36890,1/un-sc ... terre.html
Un scandale lié au dopage frappe l'Angleterre !
Au travers d'un reportage diffusé sur la chaîne anglaise Channel 4, on a appris que de nombreux joueurs qui évoluent en Angleterre auraient subi des contrôles antidopage qui se seraient avérés être... positifs !
Un pavé dans la mare. L'émission Dispatches qui est bien connue outre-Manche a fait un carton d'audience hier soir. Et pour cause puisque les téléspectateurs ont appris en regardant cette dernière que
des des dizaines de footballeurs qui jouent en Premier League auraient été contrôlés positifs au cannabis, à la cocaïne, à l'ecstasy ou encore à d'autres substances. Problème : les dirigeants de la Fédération anglaise de football et ceux des clubs concernés
auraient tout fait pour étouffer l'affaire plutôt que de mener des enquêtes complémentaires sérieuses.
En plus de cela, de nombreux joueurs auraient également boycotté volontairement les contrôles antidopage entre avril 2007 et août 2010 !
Résultat, 240 tests qui auraient dû être effectués seraient passés à la trappe dixit plusieurs intervenants chargés de faire ces contrôles souvent inopinés lors des entraînements et à l'issue des matches. Selon le règlement, un athlète peut être suspendu pendant plusieurs mois, voire plus longtemps, s'il refuse de se soumettre à trois contrôles d'affilée.
Or dans ce cas précis, aucune star n'a été prise par la patrouille en Angleterre dernièrement à contrario de footballeurs méconnus comme par exemple Garry O'Connor en 2009 ! Le directeur général de l'AMA (l'Agence mondiale antidopage) a laissé entendre que la FA (Fédération anglaise de football) n'est pas clean dans cette histoire.
Un double discours malvenu
"Si vous ne divulguez pas ce genre d'informations, alors vous êtes logiquement soumis à des spéculations sérieuses. Cela laisse suggérer que vous cachez quelque chose. Ils n'auraient pas dû se mettre dans cette position", a-t-il déclaré selon le Daily Mirror. De son côté, le président de la PFA (l'Association des footballeurs en Angleterre et au Pays de Galles) a minimisé tout cela. "Il n'y a pas longtemps, je suis allé dans un club de Premier League. J'ai discuté avec un joueur qui m'a dit qu'il avait été contrôlé 15 fois depuis le mois de janvier", a-t-il raconté. En attendant, des preuves crédibles ont été présentées dans ce documentaire. En clair, des anciens médecins qui travaillaient pour le compte de Manchester United ou encore de Chelsea officiaient au sein d'une clinique qui utilisait l'Actovegin.
Ce traitement à base de sang de veau favorise la circulation du glucose et de l'oxygène dans l'organisme ce qui permet de faire des efforts de longue durée sans trop de problèmes. En 1990, une étude menée en Allemagne avait mis une évidence un élément : les sportifs qui ont subi une ou plusieurs injections de ce produit récupèrent en moyenne 30% plus vite que les autres après avoir été victimes d'une blessure importante. Le Dopage reste un sujet plus ou moins tabou sur la planète football. La FIFA ferme souvent les yeux sur ce fléau car évidemment l'enjeu financier (il ne faut pas tuer la poule aux oeufs d'or !) prend souvent le pas sur la passion que les gens peuvent avoir pour ce sport célébré dans le monde entier...
Richie a écrit :A ceux qui comme Braziou pensent que le dopage dans certains sports (foot, tennis...) n'est pas un élément principal de la performance finale, voici une nouvelle qui les contredit...
Aux enjeux "politiques" de l'époque ont succédé les enjeux financiers.
D'autres études Italie avaient déjà révélé une proportion de footeux dopés en Italie dans les années 60, également énorme.
http://www.lemonde.fr/planete/article/2 ... _3244.html
Football : les champions du monde allemands de 1954 étaient dopés
LEMONDE.FR avec AFP | 26.10.10 | 16h32 • Mis à jour le 26.10.10 | 17h54
Et si le "miracle de Berne", surnom de la finale du Mondial 1954, n'était qu'une supercherie ? La légende de l'équipe de RFA, victorieuse de la Coupe du monde en Suisse après un succès renversant contre les favoris Hongrois, risque en tout cas de prendre du plomb dans l'aile
après les révélations d'une étude universitaire commandée par le Comité olympique allemand. Selon ce rapport, les footballeurs de la Mannschaft auraient reçu au cours du tournoi des injections de pervitine, un produit dopant.
Etrillés sur le score de 8-3 en match de poule par le onze d'or de la grande équipe de Hongrie, les Allemands et leur buteur Helmut Rahn avaient déjoué en finale tous les pronostics en infligeant aux coéquipiers de Ferenc Puskas leur première défaite depuis quatre ans, à l'issue d'une finale à rebondissements (3-2). Mais les "héros de Berne", qui croyaient bénéficier d'un traitement à base de vitamine C,
recevaient en fait des injections de méthamphétamine. Une substance donnée notamment aux troupes allemandes lors de la seconde guerre mondiale et figurant depuis cette date sur la liste des produits dopants.
Cette information est issue d'une étude baptisée "Dopage en Allemagne" et financée par le Comité olympique allemand, qui se penche sur le dopage dans le sport ouest-allemand. Les premiers résultats de cette étude, dont les travaux définitifs seront publiés en 2012,
révélent que le dopage était utilisé dans le sport de haut niveau en RFA dès 1949.