
ne jamais s'éloigner du chemin ou piste quand tu cours en foret ou parc
Putaindad1 a écrit :J'ai ce problème avec ma copine qui roule ou courre le téléphone quasi à la main et une de ses copines s'est faite agresser par un détraqué qui l'a doublé en voiture, s'est arrêté plus loin et quand elle l'a dépassé, le gros porc est sorti de sa bagnolle à poil. Elle a tellement flippé qu'elle n'a pas relevé la plaque et s'est sauvée. C'était sur son circuit régulier et à 7h00 du mat en hiver en bord de rivière...elle a eu de la chance que ce soit un simple exhibitionniste.
+1jhr a écrit :Abdo—kassou, il y a a peine 100 ans en France , l'inceste était monnaie courante, les viols par personne hiérarchiquement supérieure, d'une banalité extreme, la culpabilisation des filles mères une généralité et l'idée même qu'une fille ou femme puisse s'adonner a des loisirs...pas encore née! Alors le monde dans lequel on vis est incommensurablement mieux qu'avant même pour le sexe féminin, même si je ne conteste pas qu'un long chemin reste encore a parcourir voire défricher pour sereniser leur quotidien! Quant au FN.....la comme ailleurs aucune solution ne résiste a une analyse cartésienne et censée.
à mon avis , si tu t'arretes pas de courir tu risques rien , le mec va pas te sauter dessusaurelie.218 a écrit :Putaindad1 a écrit :J'ai ce problème avec ma copine qui roule ou courre le téléphone quasi à la main et une de ses copines s'est faite agresser par un détraqué qui l'a doublé en voiture, s'est arrêté plus loin et quand elle l'a dépassé, le gros porc est sorti de sa bagnolle à poil. Elle a tellement flippé qu'elle n'a pas relevé la plaque et s'est sauvée. C'était sur son circuit régulier et à 7h00 du mat en hiver en bord de rivière...elle a eu de la chance que ce soit un simple exhibitionniste.![]()
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Sinon, perso je suis du genre assez sauvage et j'aime bien courir seule dans la nature... Si je m'écoutais, j'irais même courir vers 3-4h du matin après mes gardes pour le funMais quand j'entends ces histoires dignes de films d'horreur, ça me fait flipper^^ Des fois quand je sors, ma mère me lâche : "Tu fais gaffe, hein ?"
Mais je lui réponds toujours : "Ouais mais bon, la mort peut m'attendre à n'importe quel coin de la rue même quand je vais acheter des bananes à l'épicerie"..............et il est exclu que j'en vienne un jour à devoir courir avec du monde en permanence, non mais
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Un truc qui m'interpelle : comment ces "prédateurs" arrivent-il à choper leurs victimes ?En les abordant (la nana s'arrete, répond au mec sans se douter, le mec la chope...) ? En la surprenant l'arrière (dans ce cas-là, la nana ne l'entend pas venir...) ? En la défonçant en bagnole pour être sûr qu'elle ne fuie pas ?
Parce qu'en général, quand je cours dans des coins isolés, j'entends les gens venir d'assez loin... Le moindre bruissement de feuilles me fait détaler comme un lapinAutre anecdote : un jour en remontant une grande route, un type en voiture s'arrête à ma hauteur...il ralentit pour se caler à mon rythme. Et moi, j'ai eu le réflexe primitif de me casser à toute vitesse en traversant la route
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Et puis bon.....une coureuse, normalement ça devrait dissuader, non ? C'est pas plus facile de s'en prendre aux nanas qui font du nordic walking ou du yoga dans un parc ?![]()
je suis bien d'accord sur le fait que nous vivons dans des sociétés qui n'ont jamais été aussi sûres, mais malheureusement les détraqués, même s'ils sont rares existent et je n'aimerai pas que ma copine en croise un !!Boulegan a écrit :+1jhr a écrit :Abdo—kassou, il y a a peine 100 ans en France , l'inceste était monnaie courante, les viols par personne hiérarchiquement supérieure, d'une banalité extreme, la culpabilisation des filles mères une généralité et l'idée même qu'une fille ou femme puisse s'adonner a des loisirs...pas encore née! Alors le monde dans lequel on vis est incommensurablement mieux qu'avant même pour le sexe féminin, même si je ne conteste pas qu'un long chemin reste encore a parcourir voire défricher pour sereniser leur quotidien! Quant au FN.....la comme ailleurs aucune solution ne résiste a une analyse cartésienne et censée.
Je relisais il y a 2-3 ans un recueil sur l'histoire du Massif de l'Estérel, que les Azuréens connaissent bien, à cheval sur les départements des Alpes-Maritimes et le Var. Il y a à-peine 100 ans, ce superbe massif forestier était un véritable coupe-gorge pour qui osait s'aventurer dans ces bois. Les caravanes et convois postaux étaient assez souvent attaqués, les cavaliers détroussés et tués pour une simple bourse de pièces d'or voire pour rien du tout. On peut lire ce même genre de récits dans les Mystères de Paris, d'Eugène Sue, époque où l'on envoyait au bagne un enfant de 7 ans qui, affamé, avait eu le tort de' voler une pomme ou un morceau de pain à l'étalage.
Aujourd'hui, l'Estérel est tout de même bp plus calme et la justice des mineurs est un peu plus humaine, liberticide diront d'autres.
Je conteste le fait - sur la base des études de sociologues et de criminologues - que notre époque génère une violence sans précédent, la tendance serait même à la baisse depuis la Seconde guerre mondiale. La société d'aujourd'hui n'est pas plus violente que par le passé. Elle s'exprime et se décline sous d'autres formes, mais elle est aujourd'hui bien mieux canalisée et expulsée "pacifiquement" qu'auparavant.
La base de tout restant, comme tu le dis bien, l'éducation.
Après tu peux reprendre le complexe de Tocqueville : plus un mal est rare plus il parait odieux aux yeux de ceux qui l'observent...
L’histoire de la violence est paradoxalement en Occident une histoire de la civilisation et de la pacification des mœurs. Ce constat est partagé, à 20 ans d’écart, par Chesnais et Muchembled. Dans la tradition de Norbert Elias, ils récusent, chiffres à l’appui, l’idée que la violence est toujours plus importante, qu’elle progresse dans nos sociétés.
Pour expliquer cela, il nous faut d’abord définir ce qu’est la violence. Selon Muchembled, « apparu au début du XIIIe siècle en français, le mot « violence » qui dérive du latin vis, désignant la « force » ou la vigueur », caractérise un être humain au caractère emporté et brutal. Il définit aussi un rapport de force visant à soumettre ou à contraindre autrui. » Chesnais n’avait pas retenu la même acception de la violence, mais une définition plus concrète : « la violence au sens strict, la seule violence mesurable et incontestable est la violence physique. C’est l’atteinte directe, corporelle, contre les personnes : elle revêt un triple caractère : brutal, extérieur et douloureux ». Ces deux définitions ne nous permettent cependant pas d’apprécier réellement quels pourraient être les actes incontestablement violents. Et c’est sans doute car la violence est avant tout perçue : un acte considéré violent dans une société et à une époque donnée peut ne plus l’être ailleurs : à autres temps autres mœurs.
Nous approchons là la problématique globale de l’histoire de la violence, plus entrevue dans l’ouvrage de Chesnais que dans celui de Muchembled : non seulement la violence diminue mais en plus elle se transforme et paradoxalement se police.
À tous ces changements observables sur le long terme dans l’histoire de la violence s’opposent des faits permanents. Tout d’abord, les coupables de violences restent globalement les mêmes et l’impression de vivre dans une société...
J'habite à 50m de l'accident. Visiblement, il s'agit plutôt d'une imprudence des 2 jeunes qui étaient 2 sur un vélo et qui au feu rouge se sont glissés devant le camion sans que le chauffeur puisse les voir. Et quand le camion a redémarré....vounet a écrit :http://www.leparisien.fr/faits-divers/d ... 506920.php
Et celle là?
Plus de course à pied pour les femmes, plus de vélo, ou vas t-on?
On devrait considérer une voiture, un camion comme une arme !!!
C'est un vrai meurtre!