Et un bon petit déjeuner au retour.

Elle est belle la vie!!
Faire de longues séances à jeun en endurance mobilise le métabolisme des lipides qui se dégradent en corps cétoniques. Ces petits composés sympathiques sont neurotoxiques ce qui explique les maux de têtes sur des longues séances aérobies à jeun. A ne pas trop pratiquer...Christian Robin a écrit :Je lis le bouquin de Stéphane Cascua...et q'apprends -je ? qu'il y a le glycogène musculaire, que les muscles gardent jalousement pour eux, et le glycogène hépatique, qui sert grosso modo à la manoeuvre, cerveau et quelques autres fonctions, comme la régulation glycémique de la machine....en assez petite quantité.
Selon lui, si j'ai bien compris, partir à jeun risque de te faire faire une hypoglycémie et une petite faiblesse cérébrale ( Bon, chez moi, ce n'est pas nouveau![]()
)
En revanche,il est d'accord avec le fait que courir en endurance mobilise les réserves lipidiques
Au total, que l'on coure à jeun ou pas ne changerait pas grand chose à la mobilisation des réserves glucidiques, risquerait de te refiler une fringale et une gogolitude. Le principale étant de courir de façon intelligente
Christian Robin a écrit :Je lis le bouquin de Stéphane Cascua...et q'apprends -je ? qu'il y a le glycogène musculaire, que les muscles gardent jalousement pour eux, et le glycogène hépatique, qui sert grosso modo à la manoeuvre, cerveau et quelques autres fonctions, comme la régulation glycémique de la machine....en assez petite quantité.
Selon lui, si j'ai bien compris, partir à jeun risque de te faire faire une hypoglycémie et une petite faiblesse cérébrale ( Bon, chez moi, ce n'est pas nouveau![]()
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En revanche,il est d'accord avec le fait que courir en endurance mobilise les réserves lipidiques
Au total, que l'on coure à jeun ou pas ne changerait pas grand chose à la mobilisation des réserves glucidiques, risquerait de te refiler une fringale et une gogolitude. Le principale étant de courir de façon intelligente
Christian Robin a écrit :Je lis le bouquin de Stéphane Cascua...et q'apprends -je ? qu'il y a le glycogène musculaire, que les muscles gardent jalousement pour eux, et le glycogène hépatique, qui sert grosso modo à la manoeuvre, cerveau et quelques autres fonctions, comme la régulation glycémique de la machine....en assez petite quantité.
Selon lui, si j'ai bien compris, partir à jeun risque de te faire faire une hypoglycémie et une petite faiblesse cérébrale ( Bon, chez moi, ce n'est pas nouveau![]()
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En revanche,il est d'accord avec le fait que courir en endurance mobilise les réserves lipidiques
Au total, que l'on coure à jeun ou pas ne changerait pas grand chose à la mobilisation des réserves glucidiques, risquerait de te refiler une fringale et une gogolitude. Le principale étant de courir de façon intelligente
Salut, Falkner !falkner a écrit :Christian Robin a écrit :Je lis le bouquin de Stéphane Cascua...et q'apprends -je ? qu'il y a le glycogène musculaire, que les muscles gardent jalousement pour eux, et le glycogène hépatique, qui sert grosso modo à la manoeuvre, cerveau et quelques autres fonctions, comme la régulation glycémique de la machine....en assez petite quantité.
Selon lui, si j'ai bien compris, partir à jeun risque de te faire faire une hypoglycémie et une petite faiblesse cérébrale ( Bon, chez moi, ce n'est pas nouveau![]()
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En revanche,il est d'accord avec le fait que courir en endurance mobilise les réserves lipidiques
Au total, que l'on coure à jeun ou pas ne changerait pas grand chose à la mobilisation des réserves glucidiques, risquerait de te refiler une fringale et une gogolitude. Le principale étant de courir de façon intelligentebien vue... qu'il est bien ce Cascua ! c'est pour Mouthons qui iraient te dire tout ca hein... bon ok, je sors