T'es-tu soumis à la demande ?Bryce a écrit :Logiquement la médecine du travail ne peut pas te faire de certificat...enfin c'est ce qui se dit (c'est sur qu'il savent tellement rien de nous)![]()
Elle : vous faites du sport
Moi : Oui je m'entretiens
Elle : C'est important bla bla bla
Moi : Je suis pas un dingue de sport j'en fait 10-15h par semaine
Elle :![]()
Moi :(à l'intérieur)
Elle : Déshabillez vous (véridique)
Etre "malade" pour son certificat médical
Re: Etre "malade" pour son certificat médical
Re: Etre "malade" pour son certificat médical
Bien obligé mais jusqu'au caleçon seulement (faut pas déconner la dame n'avait pas 25 ans...enfin je veux dire j'avais du boulot
)

"Se trouver des excuses c'est perdre le temps précieux que l'on pourrait utiliser à persévérer"
"Do not fear death, fear an unlived life"
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- Christian Robin
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Re: Etre "malade" pour son certificat médical
d'accord avec le médecin qui fait payer: il engage, comme dit ci dessus, sa responsabilité, et accomplit un acte médical. Qu'il l'accomplisse bien ou mal est un autre problème, qu'il règle avec sa conscience. Dès lors qu'il accomplit cet acte, pourquoi ne serait il pas rétribué ?
En Chine, dit on, la patient paie quand il n'est pas malade, et ne paie pas quand il l'est: parce que la réussite du médecin est quand sont patient est en bonne santé, donc il est rétribué, et dans le cas contraire, c'est un échec pour lui, donc il n'a pas à être rétribué....
Maintenant, pour l'examen prétendu bidon: un bon copain qui grimpe comme un V2 m'appelle:
- "j'ai passé une visite chez XX ( notre médecin commun) bah,il m'a trouvé un petit souffle qu'il n'avait jusqu'à présent pas détecté...Il veut m'envoyer chez un cardio....
- Bien, bof, t'as qu'à voir Y ( un ami cardio, cycliste de surcroît)
- Je vais pas l'emmerder avec ça !
- Ben si, les amis, c'est pas que pour les grimpettes du Tourmalet et siroter du Madiran....
OK ! RV est pris. Il est convenu qu'on aille tous à Nantes, et après l'exam', bonne bouffe sur l'Ile de Nantes...
- Bien ! déshabille toi, qu'est ce qu'il t'a dit , ton charlot de généraliste !!!????.......Blanc......cliché....tourne toi...aute cliché...mesures.....appelle son collègue...tu vois la même chose que moi.....
- oui - dilatation de l'aorte à 52 mm
Et moi, comme un con:" ben justement, le débit est meilleur dans les gros tuyaux"
-Si tu veux, mais le problème, c'est qu'à à 55 mm, l'aorte pète....
-:shock:
Bref, résultat des courses: opération dans les 3 semaines, valvule aortique en ferraille, crosse aortique et départ des artères pulmonaires en goretex....
Merci la visite médicale sportive....
En Chine, dit on, la patient paie quand il n'est pas malade, et ne paie pas quand il l'est: parce que la réussite du médecin est quand sont patient est en bonne santé, donc il est rétribué, et dans le cas contraire, c'est un échec pour lui, donc il n'a pas à être rétribué....

Maintenant, pour l'examen prétendu bidon: un bon copain qui grimpe comme un V2 m'appelle:
- "j'ai passé une visite chez XX ( notre médecin commun) bah,il m'a trouvé un petit souffle qu'il n'avait jusqu'à présent pas détecté...Il veut m'envoyer chez un cardio....
- Bien, bof, t'as qu'à voir Y ( un ami cardio, cycliste de surcroît)
- Je vais pas l'emmerder avec ça !
- Ben si, les amis, c'est pas que pour les grimpettes du Tourmalet et siroter du Madiran....
OK ! RV est pris. Il est convenu qu'on aille tous à Nantes, et après l'exam', bonne bouffe sur l'Ile de Nantes...
- Bien ! déshabille toi, qu'est ce qu'il t'a dit , ton charlot de généraliste !!!????.......Blanc......cliché....tourne toi...aute cliché...mesures.....appelle son collègue...tu vois la même chose que moi.....
- oui - dilatation de l'aorte à 52 mm
Et moi, comme un con:" ben justement, le débit est meilleur dans les gros tuyaux"
-Si tu veux, mais le problème, c'est qu'à à 55 mm, l'aorte pète....
-:shock:

Bref, résultat des courses: opération dans les 3 semaines, valvule aortique en ferraille, crosse aortique et départ des artères pulmonaires en goretex....
Merci la visite médicale sportive....
le husky
Re: Etre "malade" pour son certificat médical
En cas d'accident comme tu dis, un médecin ne sera pas condamné, tu rêves en pensant cela, le reste...blet a écrit :Stupide.vioqman a écrit :Et puis si ton toubib est assez gland pour te faire casquer 23€ un coup de tampon, change de crèmerie
Ton médecin n'est pas là pour mettre un coup de tampon, mais t'examiner pour essayer de déceler une contre indication au sport. Il engage sa responsabilité et fait son travail, il n'a aucune raison de faire cela gratuitement, ni de mettre un simple coup de tampon. En cas d'accident, il se retrouvera au tribunal, tu ne peux pas lui demander de faire cela gratuitement et il me semble que si tu obtiens un "coup de tampon" sur le comptoir, en trentes secondes, c'est là qu'il te faudrais changer de crèmerie...
Cette consultation doit être considérée comme de la médecine préventive, et je suis entièrement daccord sur le fait qu'il n'y a pas de raison qu'elle ne soit pas prise en charge comme n'importe quelle consultation.
Ensuite, est ce que cela sert à quelque chose, c'est un autre débat...
https://bièrefrakass.fr/
Re: Etre "malade" pour son certificat médical
Le médecin se couvre par le terme suivant "ce jour pas de contre-indication apparente à la pratique du".vioqman a écrit :En cas d'accident comme tu dis, un médecin ne sera pas condamné, tu rêves en pensant cela, le reste...
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Re: Etre "malade" pour son certificat médical

Re: Etre "malade" pour son certificat médical
Tu parles de ce dont tu ignores tout. Explique nous plutôt le triathlon, les roues, le vélo, etc...mais essais de t'abstenir sur des choses que tu ne connais pas.clef de 12 a écrit :comme si ça engageait sa responsabilité avec ce certif c'est des niaiseries, surtout qu'en cas de vraie faute médicale avérée c'est très très très très rare quand un médecin est condamné .......à une tapette sur les doigts en plus .
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Re: Etre "malade" pour son certificat médical
Sauf que je suis infirmier depuis 1994, des erreurs médicales j'en ai vu et pas qu'une
, le combat épuisant et quasi perdu d'avance des familles aussi .
Donc Blet sur ce coup c'est toi qui aurais la boucler

Donc Blet sur ce coup c'est toi qui aurais la boucler

Re: Etre "malade" pour son certificat médical
Je sais aussi de quoi je parle, crois moi.
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Re: Etre "malade" pour son certificat médical
Oui mais je parle des médecins du travail, les généralistes "olé-olé", pas de te branche pointue
car pourtant le généraliste est le garant de la bonne santé de tout le monde, il y en a(beaucoup) de très très bons d'ailleurs .

Re: Etre "malade" pour son certificat médical
clef de 12 a écrit :Sauf que je suis infirmier depuis 1994, des erreurs médicales j'en ai vu et pas qu'une, le combat épuisant et quasi perdu d'avance des familles aussi .
Donc Blet sur ce coup c'est toi qui aurais la boucler
Pourtant Delajoux, il est poursuivi en ce moment?
A c'est vrai on est pas tous des Smet ! et puis cela n'engage pas les même sommes la vie d'un sportif contre celle d'un artiste... CQFD
La valeur et l'odeur de l'argent ne sont pas les mêmes selon ton niveau social et ton médecin ....
Pour devenir riche rapidemment, rien de plus simple.
Tu achétes un Français, au prix qu'il vaut et
Tu le revends au prix qu'il croit valoir....
Tu achétes un Français, au prix qu'il vaut et
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- Richie
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Re: Etre "malade" pour son certificat médical
http://www.lesechos.fr/culture-loisirs/ ... france.htm
06/10/10 | 16:22
Sport et mort subite : 1.000 à 1.500 décès chaque année en France
© AFP - Philippe Desmazes
Entre 1.000 et 1.500 personnes meurent chaque année subitement au cours d'un entraînement sportif ou d'une compétition, selon une communication présentée lors de la séance hebdomadaire de l'Académie nationale de médecine.
"Ce chiffre global est étonnamment bas si on le confronte aux 40.000 morts subites annuelles tout venant, chiffre classiquement admis en France, et il fait évoquer par simple comparaison le rôle protecteur de l'entraînement physique", souligne le cardiologue du sport Richard Brion.
Pourtant, lorsqu'elle survient chez un sportif de haut niveau, la mort subite est fortement médiatisée. Ce fut le cas par exemple du footballeur camerounais Marc-Vivien Foé, décédé à 28 ans, en demi-finale de la Coupe des confédérations, en 2003 à Lyon.
Dans 90% des cas, il s'agit de la complication de pathologies cardiovasculaires, dans 5% des cas les décès sont liés à d'autres pathologies comme un asthme grave, et dans 5% des cas la cause de la mort reste indéterminée.
Selon le Dr Brion, la mort subite des jeunes sportifs avant l'âge de 30-35 ans est "un événement très peu fréquent", "probablement de l'ordre de quelques dizaines de cas annuels en France".
Les causes cardiaques les plus fréquentes chez les sportifs jeunes sont les cardiomyopathies (maladies du muscle cardiaque). Chez les plus âgés, la maladie coronaire est la cause essentielle de décès.
La prévention "passe d'abord par le dépistage des cardiopathies à risque", souligne le Dr Brion, avec une amélioration du bilan cardio-vasculaire des sportifs de compétition.
Le problème, ajoute-t-il, est que le risque individuel est difficile à estimer. D'où une attitude actuelle de prudence, qui fait qu'"on écarte de la compétition de nombreux athlètes qui n'auraient probablement jamais présenté d'accident".
Les acteurs présents sur le terrain (arbitres, entraîneurs, masseurs-kinésithérapeutes, éducateurs...) doivent être formés aux gestes qui sauvent et "capables de réagir immédiatement en cas d'arrêt cardiaque", souligne le spécialiste. "L'accès rapide à un défibrillateur automatique est bien entendu le complément indispensable", ajoute-t-il.
Parmi les facteurs pouvant favoriser la mort subite des sportifs, le Dr Brion cite le dopage. "Mais ce n'est probablement pas un facteur déterminant : sa grande fréquence probable n'a pas entraîné +d'épidémie de morts subites+", relève-t-il.
06/10/10 | 16:22
Sport et mort subite : 1.000 à 1.500 décès chaque année en France
© AFP - Philippe Desmazes
Entre 1.000 et 1.500 personnes meurent chaque année subitement au cours d'un entraînement sportif ou d'une compétition, selon une communication présentée lors de la séance hebdomadaire de l'Académie nationale de médecine.
"Ce chiffre global est étonnamment bas si on le confronte aux 40.000 morts subites annuelles tout venant, chiffre classiquement admis en France, et il fait évoquer par simple comparaison le rôle protecteur de l'entraînement physique", souligne le cardiologue du sport Richard Brion.
Pourtant, lorsqu'elle survient chez un sportif de haut niveau, la mort subite est fortement médiatisée. Ce fut le cas par exemple du footballeur camerounais Marc-Vivien Foé, décédé à 28 ans, en demi-finale de la Coupe des confédérations, en 2003 à Lyon.
Dans 90% des cas, il s'agit de la complication de pathologies cardiovasculaires, dans 5% des cas les décès sont liés à d'autres pathologies comme un asthme grave, et dans 5% des cas la cause de la mort reste indéterminée.
Selon le Dr Brion, la mort subite des jeunes sportifs avant l'âge de 30-35 ans est "un événement très peu fréquent", "probablement de l'ordre de quelques dizaines de cas annuels en France".
Les causes cardiaques les plus fréquentes chez les sportifs jeunes sont les cardiomyopathies (maladies du muscle cardiaque). Chez les plus âgés, la maladie coronaire est la cause essentielle de décès.
La prévention "passe d'abord par le dépistage des cardiopathies à risque", souligne le Dr Brion, avec une amélioration du bilan cardio-vasculaire des sportifs de compétition.
Le problème, ajoute-t-il, est que le risque individuel est difficile à estimer. D'où une attitude actuelle de prudence, qui fait qu'"on écarte de la compétition de nombreux athlètes qui n'auraient probablement jamais présenté d'accident".
Les acteurs présents sur le terrain (arbitres, entraîneurs, masseurs-kinésithérapeutes, éducateurs...) doivent être formés aux gestes qui sauvent et "capables de réagir immédiatement en cas d'arrêt cardiaque", souligne le spécialiste. "L'accès rapide à un défibrillateur automatique est bien entendu le complément indispensable", ajoute-t-il.
Parmi les facteurs pouvant favoriser la mort subite des sportifs, le Dr Brion cite le dopage. "Mais ce n'est probablement pas un facteur déterminant : sa grande fréquence probable n'a pas entraîné +d'épidémie de morts subites+", relève-t-il.