Un reportage de tout de le sport de 1'30 sur l'IM de Nice ou l'Embruman, la curiosité du téléspectateur, "tribidule...voyons voir...." et paf
onlinetri...
10 ème position : http://www.google.fr/#hl=fr&source=hp&q ... e56ffb8e12
Les annonceurs : le produit miracle : direction vers des marques liées à l'émission (exemple : Tournez manège = pub Meetic) + géolocalisation du téléspectateur avec des offres locales possibles
http://www.lesechos.fr/info/hightec/020 ... vision.htm
Google réplique à Apple en s'invitant sur les écrans de télévision
[ 08/09/10 - 01H00 - Les Echos - actualisé à 00:37:09 ]
Lors de la conférence de clôture du Salon IFA, le PDG de Google, Eric Schmidt, a présenté sa plate-forme Google TV. Celle-ci sera lancée aux Etats-Unis d'ici à quelques semaines, et en Europe dans le courant de l'année 2011. Objectif : révolutionner les habitudes, mais aussi appliquer son modèle publicitaire…
L'Apple TV pourrait profiter d'une concurrence accrue
http://www.lesechos.fr/info/hightec/020769871530.htm
Adepte des petites phrases, le PDG de Google, Eric Schmidt, n'a pas caché l'ambition de sa nouvelle Google TV : il s'agit
ni plus ni moins de révolutionner la façon dont on regarde la télévision. « Avec Google TV, vous ne serez plus un téléspectateur passif », a-t-il lancé lors de la présentation qui clôturait hier le Salon IFA à Berlin. Une semaine à peine après la présentation de l'Apple TV, Google a donc levé le voile sur son propre système. Le concept : une plate-forme mise à disposition des constructeurs partenaires permettant d'embarquer le moteur de recherche sur les téléviseurs.
Avec, a priori, un double usage : accéder à l'ensemble des contenus vidéo disponibles sur le Web, à commencer par ceux de YouTube, et à des informations complémentaires sur les programmes regardés sur la télévision.
En visionnant une émission, on pourra ainsi lancer une recherche liée à celle-ci et naviguer sur Internet tout en continuant de voir le programme.
« Le Web va devenir une extension de la télévision », a prophétisé Eric Schmidt. Google TV sera disponible dans les semaines qui viennent aux Etats-Unis, mais pas avant 2011 en Europe. Le premier téléviseur intégrant la plate-forme sera commercialisé par Sony, qui a présenté un modèle lors de l'IFA. La marque japonaise, qui lancera également un lecteur Blu-ray intégrant Google TV, pourrait être suivie par Samsung. Google TV sera aussi disponible dans une « set-top box » de Logitech. Et les téléphones mobiles sous Android et les iPhone pourront se muer en télécommande. Google TV donnera aussi accès au kiosque de téléchargement d'applications Android Market et fournira aux développeurs des kits de développement pour qu'ils puissent mettre au point des applications pour télévisions connectées, à partir du début de l'année prochaine. Ce qui pourrait ouvrir la voie à un nouveau marché équivalent à l'App Store d'Apple, tout en replaçant Google au centre du système.
Quel modèle publicitaire ?
La stratégie du moteur de recherche est donc clairement distincte de celle d'Apple, qui a annoncé la semaine dernière la nouvelle version de son Apple TV, proposant des vidéos à la demande, en partenariat avec les « networks » et studios américains, dans un environnement fermé. Eric Schmidt l'a répété : « Google n'est pas un fournisseur de contenus, nous continuerons de travailler avec des partenaires. » Ce qui ne signifie pas que les choses seront plus simples pour Google que pour Apple : il y a quelques jours, le « Wall Street Journal » faisait état des réticences de certains éditeurs à mettre leurs contenus à disposition de Google TV.
Ce qui pose la question des revenus de Google TV, sur lesquels Eric Schmidt est resté muet. 
Google devrait proposer un partage des revenus publicitaires sur les contenus vidéo,
mais pourrait aussi être tenté d'importer son modèle de liens sponsorisés sur la télévision.
NICOLAS RAULINE, Les Echos
Richie a écrit :Rolix a écrit :Le site renait ! Avant une cure de jouvence "designesque" qui ne pourra pas faire de mal, nous suivons une nouvelle ligne éditoriale qui va en surprendre plus d'un. Finis les "cut and paste" des centaines de communiqués de presse que tout le monde reçoit (et que tout le monde publie) et bonjour à la joie et à la bonne humeur d'articles aussi originaux et enjoués les uns que les autres.
Des exemples ?
http://www.xtriathlon.com/articles/2866 ... _Ppin.html
ou encore
http://www.xtriathlon.com/articles/2867 ... 7t__4.html
Suivez-nous vous serez pas déçus ! Et pis si vous vous sentez la fibre d'un bon chroniqueur, contactez-moi par mp
Et pis si vous aimez pas... pas grave !
Ah l'actualité
Le moteur de recherche = qui de l'oeuf ou la poule
Petit test :
En tapant « forum triathlon » :
http://www.google.fr/#hl=fr&source=hp&q ... 23f4a7bc33
La justice texane enquête sur l'ordre des résultats de Google
06.09.10 | 10h12
Google a annoncé, vendredi 3 septembre, faire l'objet d'une enquête du parquet général du Texas au sujet de l'équité des classements de résultats dans son moteur de recherche sur Internet. "Nous avons été récemment approchés par le bureau du procureur du Texas, qui examine la position de Google vis-à-vis du droit de la concurrence", a indiqué le directeur juridique adjoint du groupe, Don Harrison, sur un blog du groupe. La firme de Mountain View a révélé cette enquête, pour confirmer des informations du site spécialisé Search Engine Land.
Le ministère public du Texas a demandé des informations au sujet de plaintes déposées par plusieurs entreprises, explique le moteur de recherche, qui représente plus de 60 % du marché américain, selon Comscore. Les autorités texanes ont pointé du doigt trois sites Internet s'étant plaints d'arriver trop bas dans les résultats de recherche sur Google, ce qui ne leur permet pas d'obtenir le trafic des sites concurrents placés plus haut : Foundem (comparaison de prix au Royaume-Uni), SourceTool (recherche de fournisseurs) et myTriggers (comparaison de vendeurs en ligne aux Etats-Unis).
Ces trois sites ont pour point commun, d'après Google, d'avoir les mêmes avocats que Microsoft, ou dans le cas de Foundem d'être soutenu par une fondation de promotion de la concurrence sur Internet "largement financée par Microsoft".
Le groupe américain affirme aussi que ses résultats sont classés en fonction d'une combinaison d'algorithmes qui tentent de déterminer la pertinence d'une page Internet par rapport aux mots recherchés, sans autre critère qui puisse favoriser tel ou tel site. L'origine de cette combinaison, améliorée en permanence, remonte aux fondateurs de Google, Sergey Brin et Lawrence Page.
UNE PROCÉDURE SIMILAIRE EN EUROPE
Il s'agit de la première enquête de la justice américaine sur le fonctionnement du moteur de recherche numéro un dans le monde, dont le classement influence grandement l'activité et parfois la survie de sites commerciaux.
Depuis février, Google fait l'objet d'une procédure similaire en Europe, où la Commission européenne a lancé une une enquête préliminaire sur un éventuel abus de position dominante de Google après des plaintes de trois sociétés Internet, dont Foundem. Le site britannique de comparateurs de prix et le moteur de recherche juridique français ejustice.fr ont affirmé en début d'année que l'algorithme de recherche de Google les plaçait loin parce qu'ils lui font concurrence.