Landis positif
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roulmoncoq
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allez... 2 ans dans la musette pour landis...
sport24.comLandis prend deux ans
Jugé par la Cour d’arbitrage indépendante américaine, Floyd Landis a été suspendu deux ans pour dopage à la testostérone lors du Tour de France 2006. Un appel devant le TAS est le dernier recours de l’ancien coureur de Phonak pour prouver son innocence.
Par Bastien Aubert
A 2 voix contre 1
L’affaire Floyd Landis arrive à son terme. Plus d’un an après avoir remporté le Tour de France, l’ancien coureur de la Phonak a été suspendu pour deux ans, une sanction rétroactive au 30 janvier 2007. La Cour d’arbitrage indépendante américaine, qui l’a accusé à deux voix contre 1, avait rendu sa décision vendredi dernier mais celle-ci a été rendue publique ce jeudi. Contrôlé positif à la testostérone alors qu'il venait d'arriver en jaune sur les Champs-Elysées, le cycliste américain avait toujours nié les faits malgré les preuves apportées par le laboratoire Chatenay-Malabry. Depuis plus d'un an, il avait même multiplié les procédures afin d'être disculpé. S’il ne fait pas appel, il sera le premièr coureur depuis le début de l’histoire de la Grande Boucle il y a 105 ans, à perdre la couronne à cause de dopage.
Justice a été faite»
«Tout ce que je peux dire est que la justice a été faite dans cette histoire et l’UCI pense qu’il s'agit du bon verdict. Ce n’est pas une énorme surprise si l’on considère le nombre de preuves qui ont été apportées dans le dossier par des équipes très compétentes pour confondre des fraudeurs», a justifié Pat McQuaid, président de l’UCI dès le verdict rendu. Ce dernier sait pourtant que rien n’est encore définitif puisque Landis peut faire appel de la décision devant le Tribunal Arbitral du Sport, ce qu’il fera probablement vu la ligne de défense qu’il suit depuis le début de l’affaire. Si son appel n’aboutit pas, l’Américain devrait donc être déchu de sa victoire sur le Tour de France 2006. Où il avait notamment remporté la 17e étape entre Saint-Jean-de-Maurienne et Morzine avant d’afficher un taux de testostérone 11 fois supérieur à la normale.
sport24.com26/09 11h16 - Cyclisme
Landis sort de son silence
Floyd Landis s’est exprimé pour la première fois depuis sa suspension pour deux ans. L’Américain se considère toujours comme le vainqueur de Tour de France 2006.
«Nous avons montré dans cette affaire que le système anti-dopage est corrompu, inefficace et injuste. J’espère que le système changera pour qu’aucun autre athlète n’ait à subir cette procédure. Je peux dormir la nuit car je sais que j’ai gagné le Tour 2006 honnêtement et proprement», a déclaré l’Américain sur ESPN.
Tout va bien alors : c'est l'intention qui compte !
Pour info
NEW YORK (AP) -- Lance Armstrong a vivement critiqué mardi la décision d'une commission d'arbitrage américaine de confirmer le contrôle positif à la testostérone de son compatriote Floyd Landis, qui a été dépossédé de sa victoire du Tour de France 2006.
Armstrong, septuple vainqueur de la Grande Boucle également soupçonné de dopage, a renouvelé ses critiques du travail "de mauvaise qualité" du laboratoire français de Châtenay-Malabry (LNDD), qui a effectué les tests de Landis, estimant qu'un jury dans un tribunal américain aurait blanchi le cycliste sans sourciller.
"Je n'ai pas suivi le dossier de Floyd autant que ça, mais je peux vous dire que si c'était un procès par jury aux Etats-Unis d'Amérique, avec huit ou 10 ou 12 de vos compatriotes, vous vous en tireriez à chaque fois. Ce n'est pas que vous vous en tirez, vous êtes disculpé", a-t-il déclaré à l'Associated Press à New York lors de la présentation d'une ligne d'équipement Nike, qui soutient sa campagne anti-cancer.
Armstrong a visé le laboratoire de Châtenay-Malabry, dont les méthodes avaient également été épinglées par les arbitres de l'agence américaine antidopage (USADA), qui avaient cependant confirmé le test positif de Landis.
"Quand vous infligez la peine de mort à quelqu'un, ce qu'ils ont essentiellement fait, vous ne pouvez pas tolérer un travail de mauvaise qualité, ce qu'ils ont clairement fait", a jugé Armstrong. "Je ne comprends pas ce genre de raisonnement. Je ne comprends pas le verdict".
Suite à la décision de la commission d'arbitrage de l'USADA en septembre, Floyd Landis a été suspendu pour deux ans, et l'Union cycliste internationale (UCI) a déclaré Oscar Pereiro vainqueur du Tour 2006. Landis dispose cependant d'un mois pour faire appel devant le Tribunal arbitral du Sport (TAS) américain.
Dans leur décision, les arbitres ont estimé que le premier test de Landis destiné à mesurer les niveaux de testostérone (NDLR: l'analyse mesurant le ratio testostérone-épitestsostérone) n'avait pas été effectué selon les standards de l'agence mondiale antidopage.
Mais le plus précis et plus onéreux test IRMS, qui distingue l'origine de la testostérone détectée, naturelle ou synthétique, était fiable, ont estimé les arbitres, estimant qu'une "violation de la réglementation antidopage était établie". AP
mgh/v768 030129 oct 07
NEW YORK (AP) -- Lance Armstrong a vivement critiqué mardi la décision d'une commission d'arbitrage américaine de confirmer le contrôle positif à la testostérone de son compatriote Floyd Landis, qui a été dépossédé de sa victoire du Tour de France 2006.
Armstrong, septuple vainqueur de la Grande Boucle également soupçonné de dopage, a renouvelé ses critiques du travail "de mauvaise qualité" du laboratoire français de Châtenay-Malabry (LNDD), qui a effectué les tests de Landis, estimant qu'un jury dans un tribunal américain aurait blanchi le cycliste sans sourciller.
"Je n'ai pas suivi le dossier de Floyd autant que ça, mais je peux vous dire que si c'était un procès par jury aux Etats-Unis d'Amérique, avec huit ou 10 ou 12 de vos compatriotes, vous vous en tireriez à chaque fois. Ce n'est pas que vous vous en tirez, vous êtes disculpé", a-t-il déclaré à l'Associated Press à New York lors de la présentation d'une ligne d'équipement Nike, qui soutient sa campagne anti-cancer.
Armstrong a visé le laboratoire de Châtenay-Malabry, dont les méthodes avaient également été épinglées par les arbitres de l'agence américaine antidopage (USADA), qui avaient cependant confirmé le test positif de Landis.
"Quand vous infligez la peine de mort à quelqu'un, ce qu'ils ont essentiellement fait, vous ne pouvez pas tolérer un travail de mauvaise qualité, ce qu'ils ont clairement fait", a jugé Armstrong. "Je ne comprends pas ce genre de raisonnement. Je ne comprends pas le verdict".
Suite à la décision de la commission d'arbitrage de l'USADA en septembre, Floyd Landis a été suspendu pour deux ans, et l'Union cycliste internationale (UCI) a déclaré Oscar Pereiro vainqueur du Tour 2006. Landis dispose cependant d'un mois pour faire appel devant le Tribunal arbitral du Sport (TAS) américain.
Dans leur décision, les arbitres ont estimé que le premier test de Landis destiné à mesurer les niveaux de testostérone (NDLR: l'analyse mesurant le ratio testostérone-épitestsostérone) n'avait pas été effectué selon les standards de l'agence mondiale antidopage.
Mais le plus précis et plus onéreux test IRMS, qui distingue l'origine de la testostérone détectée, naturelle ou synthétique, était fiable, ont estimé les arbitres, estimant qu'une "violation de la réglementation antidopage était établie". AP
mgh/v768 030129 oct 07
"Etre beau et bien habillé est indispensable. Avoir un but dans la vie ne l'est pas." Oscar Wilde
Pourquoi la contre-expertise en cas de 1er controle positif n'est pas tout simplement réalisée un autre laboratoire?
Ca couterait le prix du transport de l'éprouvette en plus
mais franchement ca mettrait fin une bonne fois pour toute à la ligne classique de défense de la plupart des dopés: "le labo n'était pas fiable... 
"
Ca couterait le prix du transport de l'éprouvette en plus
mais franchement ca mettrait fin une bonne fois pour toute à la ligne classique de défense de la plupart des dopés: "le labo n'était pas fiable... "le fait transporter une fois de plus un éhantillon vers un autre labo comporte des risques : dégradation / "fuites"...Solarberg a écrit :Pourquoi la contre-expertise en cas de 1er controle positif n'est pas tout simplement réalisée un autre laboratoire?
Ca couterait le prix du transport de l'éprouvette en plus
Bref, ce serait - une fois de plus - la porte ouverte à d'autres attaques de la défense des dopés (lol)
Pour info
PARIS, 10 janvier (Reuters) - La nouvelle équipe américaine Rock Racing est une aubaine pour les coureurs mouillés dans une affaire de dopage.
Son patron Michaël Ball vient d'engager trois "puertistes", le Colombien Santiago Botero, l'Espagnol Oscar Sevilla et l'Américain Tyler Hamilton.
Il a même invité Floyd landis à participer à un camp d'entraînement. Du coup, son directeur sportif Franky Andreu a claqué la porte.
PARIS, 10 janvier (Reuters) - La nouvelle équipe américaine Rock Racing est une aubaine pour les coureurs mouillés dans une affaire de dopage.
Son patron Michaël Ball vient d'engager trois "puertistes", le Colombien Santiago Botero, l'Espagnol Oscar Sevilla et l'Américain Tyler Hamilton.
Il a même invité Floyd landis à participer à un camp d'entraînement. Du coup, son directeur sportif Franky Andreu a claqué la porte.
"Etre beau et bien habillé est indispensable. Avoir un but dans la vie ne l'est pas." Oscar Wilde
Ou encore ça 
VALPARAISO (Etats-Unis), 9 jan 2008 (AFP) - Le cycliste américain Floyd Landis, jugé coupable de dopage malgré près de deux millions de dollars dépensés pour sa défense, a demandé conseil à une équipe d'étudiants en droit bénévoles avant son recours devant le Tribunal arbitral du sport (TAS).
"Floyd Landis s'est adressé à nous après le succès obtenu par notre équipe (de juristes) dans l'affaire Jenkins, en décembre, pour obtenir des informations et des conseils", a indiqué à l'AFP le porte-parole de l'université de Valparaiso, Tom Shaer.
La faculté de droit de la petite ville de l'Indiana a en effet gagné une réputation fulgurante le 15 décembre dernier, le jour où la Cour américaine d'arbitrage (AAA) - l'instance même qui trois mois auparavant avait condamné Landis - a innocenté en appel LaTasha Jenkins.
La sprinteuse américaine, contrôlée positive à la nandrolone (stéroïde anabolisant) en 2006 et suspendue deux ans par l'Agence antidopage américaine (USADA), était défendue devant l'AAA par quatre étudiants de troisième année chaperonnés par le Professeur Mike Straubel, directeur de l'atelier droit du sport de l'Université de Valparaiso.
Les apprentis avocats ont réussi là où l'armada de stars du barreau chèrement recrutée par Landis avait échoué: l'AAA a reconnu que le vice de procédure avancé par Jenkins pour sa défense - un même technicien présent lors de l'analyse des échantillons A et B - était de nature à invalider le contrôle. Une ligne de défense que Landis n'a jamais réussi à imposer, malgré ses coups de boutoir contre le laboratoire français de Châtenay-Malabry, auteur selon lui de plusieurs manquements aux standards d'analyse.
"Bien sûr, nous aimerions aider Floyd. Son cas est très compliqué et nécessiterait beaucoup de préparation. Mais nous ne voulons pas non plus interférer avec le travail de ses avocats", a expliqué Mike Straubel à l'AFP.
Avant le "coup" Jenkins, sa première cliente professionnelle, l'Université de Valparaiso jouissait d'une petite notoriété dans la communauté des sportifs amateurs et désargentés, plaidant bénévolement des affaires de dopage mais également de refus de licence ou de qualification, de changement de nationalité, de rupture de contrat.
Straubel, responsable de dix étudiants autorisés à plaider par la Cour suprême de l'Indiana, a un double objectif avec ce programme mis sur pied en 2005: "Nous savions que de nombreux athlètes ne pouvaient se payer un avocat en cas de litige. Nous avons décidé de les aider, explique-t-il, et surtout d'apporter aux étudiants de la pratique et de l'expérience", à défaut d'honoraires mirobolants: les étudiants de Valparaiso n'ont le droit d'accepter aucune rémunération.
Présents lors des jeux Olympiques d'hiver de Turin en 2006, les apprentis juristes espèrent encore trouver les moyens financiers d'envoyer une délégation aux JO de Pékin, en août prochain, pour y représenter les sportifs devant le "tribunal olympique" qui sera mis en place par le TAS.
Et sans discrimination: Pour se faire la main, Straubel et ses bizuths acceptent des clients de toutes nationalités.
cha/dhe
AFP 091641 JAN 08
VALPARAISO (Etats-Unis), 9 jan 2008 (AFP) - Le cycliste américain Floyd Landis, jugé coupable de dopage malgré près de deux millions de dollars dépensés pour sa défense, a demandé conseil à une équipe d'étudiants en droit bénévoles avant son recours devant le Tribunal arbitral du sport (TAS).
"Floyd Landis s'est adressé à nous après le succès obtenu par notre équipe (de juristes) dans l'affaire Jenkins, en décembre, pour obtenir des informations et des conseils", a indiqué à l'AFP le porte-parole de l'université de Valparaiso, Tom Shaer.
La faculté de droit de la petite ville de l'Indiana a en effet gagné une réputation fulgurante le 15 décembre dernier, le jour où la Cour américaine d'arbitrage (AAA) - l'instance même qui trois mois auparavant avait condamné Landis - a innocenté en appel LaTasha Jenkins.
La sprinteuse américaine, contrôlée positive à la nandrolone (stéroïde anabolisant) en 2006 et suspendue deux ans par l'Agence antidopage américaine (USADA), était défendue devant l'AAA par quatre étudiants de troisième année chaperonnés par le Professeur Mike Straubel, directeur de l'atelier droit du sport de l'Université de Valparaiso.
Les apprentis avocats ont réussi là où l'armada de stars du barreau chèrement recrutée par Landis avait échoué: l'AAA a reconnu que le vice de procédure avancé par Jenkins pour sa défense - un même technicien présent lors de l'analyse des échantillons A et B - était de nature à invalider le contrôle. Une ligne de défense que Landis n'a jamais réussi à imposer, malgré ses coups de boutoir contre le laboratoire français de Châtenay-Malabry, auteur selon lui de plusieurs manquements aux standards d'analyse.
"Bien sûr, nous aimerions aider Floyd. Son cas est très compliqué et nécessiterait beaucoup de préparation. Mais nous ne voulons pas non plus interférer avec le travail de ses avocats", a expliqué Mike Straubel à l'AFP.
Avant le "coup" Jenkins, sa première cliente professionnelle, l'Université de Valparaiso jouissait d'une petite notoriété dans la communauté des sportifs amateurs et désargentés, plaidant bénévolement des affaires de dopage mais également de refus de licence ou de qualification, de changement de nationalité, de rupture de contrat.
Straubel, responsable de dix étudiants autorisés à plaider par la Cour suprême de l'Indiana, a un double objectif avec ce programme mis sur pied en 2005: "Nous savions que de nombreux athlètes ne pouvaient se payer un avocat en cas de litige. Nous avons décidé de les aider, explique-t-il, et surtout d'apporter aux étudiants de la pratique et de l'expérience", à défaut d'honoraires mirobolants: les étudiants de Valparaiso n'ont le droit d'accepter aucune rémunération.
Présents lors des jeux Olympiques d'hiver de Turin en 2006, les apprentis juristes espèrent encore trouver les moyens financiers d'envoyer une délégation aux JO de Pékin, en août prochain, pour y représenter les sportifs devant le "tribunal olympique" qui sera mis en place par le TAS.
Et sans discrimination: Pour se faire la main, Straubel et ses bizuths acceptent des clients de toutes nationalités.
cha/dhe
AFP 091641 JAN 08
"Etre beau et bien habillé est indispensable. Avoir un but dans la vie ne l'est pas." Oscar Wilde
Re: Landis positif
J'exhume un vieux post, y a une actu... eh oui 
L'espionnage de Greenpeace conduit à de nouvelles affaires suspectes
La même officine de renseignements serait intervenue dans l'affaire Vivendi et au sujet de la mise en cause pour dopage du coureur cycliste Floyd Landis, selon le site Mediapart.
Floyd Landis dans le peloton du Tour de France, le 23 juillet 2006, sur les Champs Elysées à Paris (Sipa)
L'enquête sur l'espionnage présumé de Greenpeace par EDF semble conduire à de nouvelles pistes. Le site Mediapart affirme, vendredi 17 avril, que la même officine de renseignements serait intervenue dans l'affaire Vivendi et au sujet de la mise en cause pour dopage du coureur cycliste Floyd Landis.
Des piratages auraient été réalisés "par le même informaticien, Alain Quiros, à la demande d'une officine de renseignement, Kargus Consultants", écrit Mediapart. Auraient été visés "Me Frédérik-Karel Canoy, ancien défenseur de l'association des petits porteurs d'actifs (APPAC), et le Laboratoire nationale de dépistage du dopage (LNDD) de Châtenay-Malabry (Yvelines)."
Quels commanditaires ?
Reste à savoir qui seraient les commanditaires. Mediapart rapporte que Me Frédérik-Karel Canoy "a été longuement interrogé" mardi dernier par les policiers de l'Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication (OCLCTIC). Il s'est dit convaincu que l'espionnage dont il aurait été la cible serait lié à son rôle dans l'affaire Vivendi. "C'est aussi l'avis des enquêteurs", selon Mediapart, qui a eu accès au dossier judiciaire.
Pour ce qui est de l'espionnage du laboratoire anti-dopage, la piste "conduit au coureur cycliste américain Floyd Landis", affirme Mediapart. Avec le même intermédiaire que dans le dossier Vivendi: "Jean-François Dominguez, qui se présente comme photographe mais qui semble surtout lié aux services secrets français".
"L'intrusion informatique visant l'avocat aurait été réalisée au début de l'été 2006, 'à la demande de M. Dominguez', moyennant 'une rémunération d'à peu près 2.000 euros", écrit encore Mediapart.
Démenti
Jean-François Dominguez aurait démenti: "Je ne connais pas Vivendi, ni de près ni de loin", aurait-il répondu au juge. En revanche, le patron de Kargus Consultants, Thierry Lorho, aurait confirmé avoir "présenté Jean-François Dominguez à [l'informaticien] Alain Quiros".
Selon Mediapart, Jean-François (ou François) Dominguez a déjà été condamné, en décembre 2007, pour "corruption active d'un salarié". Il espionnait alors les coulisses d'une émission de télé-réalité de M6, pour une chaine concurrente
Sources : http://tempsreel.nouvelobs.com/actualit ... ffair.html" onclick="window.open(this.href);return false;
L'espionnage de Greenpeace conduit à de nouvelles affaires suspectes
La même officine de renseignements serait intervenue dans l'affaire Vivendi et au sujet de la mise en cause pour dopage du coureur cycliste Floyd Landis, selon le site Mediapart.
Floyd Landis dans le peloton du Tour de France, le 23 juillet 2006, sur les Champs Elysées à Paris (Sipa)
L'enquête sur l'espionnage présumé de Greenpeace par EDF semble conduire à de nouvelles pistes. Le site Mediapart affirme, vendredi 17 avril, que la même officine de renseignements serait intervenue dans l'affaire Vivendi et au sujet de la mise en cause pour dopage du coureur cycliste Floyd Landis.
Des piratages auraient été réalisés "par le même informaticien, Alain Quiros, à la demande d'une officine de renseignement, Kargus Consultants", écrit Mediapart. Auraient été visés "Me Frédérik-Karel Canoy, ancien défenseur de l'association des petits porteurs d'actifs (APPAC), et le Laboratoire nationale de dépistage du dopage (LNDD) de Châtenay-Malabry (Yvelines)."
Quels commanditaires ?
Reste à savoir qui seraient les commanditaires. Mediapart rapporte que Me Frédérik-Karel Canoy "a été longuement interrogé" mardi dernier par les policiers de l'Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication (OCLCTIC). Il s'est dit convaincu que l'espionnage dont il aurait été la cible serait lié à son rôle dans l'affaire Vivendi. "C'est aussi l'avis des enquêteurs", selon Mediapart, qui a eu accès au dossier judiciaire.
Pour ce qui est de l'espionnage du laboratoire anti-dopage, la piste "conduit au coureur cycliste américain Floyd Landis", affirme Mediapart. Avec le même intermédiaire que dans le dossier Vivendi: "Jean-François Dominguez, qui se présente comme photographe mais qui semble surtout lié aux services secrets français".
"L'intrusion informatique visant l'avocat aurait été réalisée au début de l'été 2006, 'à la demande de M. Dominguez', moyennant 'une rémunération d'à peu près 2.000 euros", écrit encore Mediapart.
Démenti
Jean-François Dominguez aurait démenti: "Je ne connais pas Vivendi, ni de près ni de loin", aurait-il répondu au juge. En revanche, le patron de Kargus Consultants, Thierry Lorho, aurait confirmé avoir "présenté Jean-François Dominguez à [l'informaticien] Alain Quiros".
Selon Mediapart, Jean-François (ou François) Dominguez a déjà été condamné, en décembre 2007, pour "corruption active d'un salarié". Il espionnait alors les coulisses d'une émission de télé-réalité de M6, pour une chaine concurrente
Sources : http://tempsreel.nouvelobs.com/actualit ... ffair.html" onclick="window.open(this.href);return false;
"Etre beau et bien habillé est indispensable. Avoir un but dans la vie ne l'est pas." Oscar Wilde
Re: Landis positif
Mandat d'arrêt international contre Landis
L'Américain Floyd Landis, vainqueur éphémère du Tour de France 2006 après un contrôle positif à la testostérone, fait l'objet d'un mandat d'arrêt international délivré par le juge Thomas Cassuto, magistrat du Tribunal de Grande instance de Nanterre.
Ce mandat, délivré le 28 janvier dernier, est consécutif à une plainte déposée le 7 novembre 2006 par Pierre Bordry, président de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) à la suite d'une intrusion frauduleuse dans le système informatique du laboratoire de Châtenay-Malabry (LNDD au moment des faits), laboratoire qui avait réalisé les analyses positives de Landis à la testostérone exogène. « Nous avons été informé cet après-midi par le juge que le mandat avait été délivré dans cette affaire, dans laquelle nous nous sommes portés également partie civile, nous a appris Pierre Bordry. Un mandat du même type a été délivré le 4 novembre 2009 à l'encontre d'Arnie Baker, médecin et entraîneur de Floyd Landis. Ces deux hommes avaient été convoqués une première fois par le Juge mais n'avaient pas daigné répondre à cette convocation. »
Après s'être introduits dans le système informatique du laboratoire, par le biais d'une officine française clandestine, Baker et ses complices avaient récupéré des pièces analytiques du dossier Landis puis manipulé grossièrement certains compte-rendus scientifiques afin de disculper le coureur américain et mettre en cause la compétence du laboratoire français. Débouté par le TAS, devant lequel il avait fait appel, Landis avait été suspendu deux ans en dépit de ces pseudos preuves. Il court actuellement dans une modeste formation Continentale américaine (Rock Racing).
Damien RESSIOT
L'Américain Floyd Landis, vainqueur éphémère du Tour de France 2006 après un contrôle positif à la testostérone, fait l'objet d'un mandat d'arrêt international délivré par le juge Thomas Cassuto, magistrat du Tribunal de Grande instance de Nanterre.
Ce mandat, délivré le 28 janvier dernier, est consécutif à une plainte déposée le 7 novembre 2006 par Pierre Bordry, président de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) à la suite d'une intrusion frauduleuse dans le système informatique du laboratoire de Châtenay-Malabry (LNDD au moment des faits), laboratoire qui avait réalisé les analyses positives de Landis à la testostérone exogène. « Nous avons été informé cet après-midi par le juge que le mandat avait été délivré dans cette affaire, dans laquelle nous nous sommes portés également partie civile, nous a appris Pierre Bordry. Un mandat du même type a été délivré le 4 novembre 2009 à l'encontre d'Arnie Baker, médecin et entraîneur de Floyd Landis. Ces deux hommes avaient été convoqués une première fois par le Juge mais n'avaient pas daigné répondre à cette convocation. »
Après s'être introduits dans le système informatique du laboratoire, par le biais d'une officine française clandestine, Baker et ses complices avaient récupéré des pièces analytiques du dossier Landis puis manipulé grossièrement certains compte-rendus scientifiques afin de disculper le coureur américain et mettre en cause la compétence du laboratoire français. Débouté par le TAS, devant lequel il avait fait appel, Landis avait été suspendu deux ans en dépit de ces pseudos preuves. Il court actuellement dans une modeste formation Continentale américaine (Rock Racing).
Damien RESSIOT
"Etre beau et bien habillé est indispensable. Avoir un but dans la vie ne l'est pas." Oscar Wilde
Re: Landis positif
"Etre beau et bien habillé est indispensable. Avoir un but dans la vie ne l'est pas." Oscar Wilde