bertrand a écrit :Ah, l'eternel sujet sur les mutations :
- Pas mal de clubs souffrent financièrement actuellement ( moins de partenaires) et ont du mal a faire vivre 2 équipes. le meilleur exemple mon club ( le SAS triathlon) qui ne repart pas en d2 masculine pour se concentrer sur les filles en 2010.
Je suis probablement machiste mais pourquoi privilégier l'équipe féminine ? Le niveau du triathlon français féminin est très très bas, mises à part Emmie Charayron, Marion Lorblanchet et Carole Péon qui ont démontrée leur talent à l'international, le reste de l'élite retenue en équipe de France est féminine est très en dessous, puis encore derrière bcp plus loin le niveau est encore plus faible. En d2 féminin le niveau est inexistant ont observe à l'arrivée des écarts proche du 1/4 d'heure!!! Inutile de proposer le drafting, il n'y en a quasiment pas
Pour le Grand Prix D1 effectivement le pb est l'inverse : un niveau très très élevé et très tès dense. L'incursion d'athlètes étrangers à tuer le championnat français (au sens cocorico du terme). J'entends mêm souvent dire que la D2 d'aujourd'hui est proche du niveau D1...d'il ya dix ans avant l'arrivée en masse de l'élite internationale.
Perso je trouve cela domage. Lorsque j'entend un coach causer en anglais à ces athlètes je me dis que la couleur de la Ville est bien mal représentée et que comme pour le foot c'est le pognon qui fait l'équipe et non l'envie et la cohésion.
En tous cas si je gérais un club, pour me faire une image sur le HN je ne miserais pas sur les championnats féminins...