CPL a écrit :
Comme dit par KOHL lui-même, le passeport sanguin est détourné pour permettre de mieux encore masquer les dopants....vous connaissez des stars du peloton qui se sont faits démasquer publiquement par l'UCI (et qui pourtant ont reconnu le dopage) ?? non, que des porteurs d'eau en effet! En fait, grâce au passeport sanguin, l'UCI pourrait même à en arriver à prévenir les scandales (si ce n'est déjà fait): c'est tout le système qui est détourné en fait.
C'est pas nouveau: il y a qq années il y a ey plusieurs situations où l'UCI avait prévenu confidentiellement des coureurs pour les avertir que les tests anti-dopage étaient un chouillat suspect et qu'il fallait qu'ils fassent plus gaffes! (de l'aveu même des coureurs concernés).
Comme dit KOHL, il faut sans doute en venir à réellement pénaliser la prise de produits dopants pour contourner la complaisance des autorités sportives.
Je comprends pas comment le passeport sanguin peut permettre de mieux masquer les dopants...
Parce que tu adaptes tes paramètres sanguins en fonction de ce que tu as sur ton passeport sanguin, pour que les données restent homogènes et ne pas mettre la puce à l'oreille
Je sais pas quels sont les paramètres qu'ils reccherchent mais ça me semble pas si simple que ça de faire varier ses paramètres sanguins. S'il suffisait d'un litre d'eau pour diluer les quantité de A ou B dans le sang, ils boiraient des litres avant chaque controle. Et l'autotransfusion avant chaque controle j'y crois pas trop.
aurelie.218 a écrit :
Parce que tu adaptes tes paramètres sanguins en fonction de ce que tu as sur ton passeport sanguin, pour que les données restent homogènes et ne pas mettre la puce à l'oreille
C'est tout à fait cela!
Tiens c'est amusant: les cas de Boonen et de Gasquet sont quasi-identiques à quelques semaines d'écart:
Dopage : Boonen innocenté ?
Contrôlé positif à la cocaïne hors-compétition fin avril pour la troisième fois de sa carrière, le Belge Tom Boonen (28 ans) pourrait être en partie réhabilité au regard des très faibles quantités décelées dans son organisme suite à des examens approfondis diligentés par son équipe QuickStep. Cette dernière espère que les organisateurs du Tour de France autoriseront leur sprinteur belge à participer à la Grande Boucle.
Suite à un contrôle positif à la cocaïne fin avril, quelques jours après sa troisième victoire dans Paris-Roubaix, les organisateurs du Tour de France ont indiqué à Tom Boonen qu'il était indésirable sur le Tour de France 2009. Cependant, les analyses capillaires effectuées par des universités belge de Louvain et française de Strasbourg montrent, selon la presse d'outre-Quiévrain jeudi matin, que le Belge n'a pas pu snifer cette drogue au vu des faibles quantités trouvées.
Fêtard patenté, l'ancien champion du monde paierait donc les conséquences de ses virées nocturnes et n'aurait été en contact que de manière indirecte avec de la cocaïne. Le Belge, qui ne serait donc pas cocaïnomane, avait d'ailleurs avoué qu'il avait eu un trou noir au cours d'une soirée la veille du contrôle et qu'il ne se souvenait de rien.
Son manager Patrick Lefévère a donc transmis le résultat des analyses à l'UCI (Fédération internationale) et ASO (organisateur du Tour de France) et espère pouvoir compter sur la présence de son coureur vedette sur les routes de la Grande Boucle. « Les dommages sportifs et économiques pour l'équipe et les sponsors en cas d'absence de Tom dans la plus grande course de l'année sont incalculables », a annoncé le patron de l'équipe QuickStep qui menace d'attaquer le Tour en justice si Boonen n'est pas convié.
Chers confreres je trouve inadmissible de s'attaquer a un sport comme le football.Fort de mon experience de dompteur de bourain en tant qu'etraineur adjoint du fc la ristournette je vous défends de critiquer les valeurs footballistiques:
collectif
passion
tactique
technique
respect
puissance
force
vivacité
engagement
courtoisie
dépassement
ponctualité
courage
victoire
mérite
perséverance
volonté
et j'en passe...............
L'Italien Danilo Di Luca a été contrôlé positif à deux reprises à l'EPO Cera sur le dernier Giro, qu'il avait terminé à la 2e place derrière Denis Menchov.
Vainqueur de deux étapes, Danilo Di Luca avait également porté le maillot rose durant sept jours.(L'Equipe)
Son duel face à Denis Menchov avait marqué le Giro. À l'attaque quasiment tous les jours et vainqueur de deux étapes - à San Martino di Castrozza et Pignerol -, Danilo Di Luca avait espéré jusqu'au bout remporter le Giro du centenaire, qu'il avait dû céder au Russe pour 41 secondes. Ce panache de tous les instants - qui lui a même valu le maillot cyclamen du classement par points à Rome - a aujourd'hui un goût fort désagréable. L'Union cycliste internationale (UCI) a annoncé jeudi que deux échantillons de sang de l'Italien, prélévés les 20 et le 28 mai dernier et analysés par le laboratoire de Paris, se sont révélés positifs à l'EPO Cera dite troisième génération.
En 2007, Danilo Di Luca, alors leader du classement ProTour, est rattrapé par l'affaire "Oil for drug" pour avoir entretenu des relations avec le Dr Santuccione, son médecin de famille qui fut également le personnage-clé de cette affaire de dopage datant de 2004. Son dossier classé sans suite par la justice civile, le coureur des Abruzzes est néanmoins condamné à trois mois de suspension et privé de Championnat du monde.
«Ces résultats anormaux résultent directement d'un programme de contrôles ciblés concernant M. Di Luca, mené sur la base d'informations liées au profil sanguin figurant dans son passeport biologique, de résultats de contrôles antérieurs et de son calendrier de courses», explique l'UCI. Di Luca devient ainsi le premier leader d'équipe mis hors jeu à la suite d'un ciblage déclenché par des anomalies observées sur son passeport biologique.
Ce n'est pas la première fois que Di Luca a maille à partir avec les instances antidopage. Après l'épisode "Oil for drug" (voir encadré), Di Luca, contre qui le procureur antidopage avait requis deux ans de suspension, avait été acquitté en avril 2008 en dernière instance par le Comité olympique italien (CONI), faute de preuves suffisamment fondées après un contrôle jugé "anormal" lors de son Giro victorieux en 2007. Selon l'accusation, les analyses du test sur Di Luca avaient révélé des valeurs hormonales anormalement basses laissant penser qu'il avait reçu après l'étape une perfusion d'eau ou de sérum physiologique.
Di Luca, qui n'a pas roulé depuis le Giro, devait participer à partir de jeudi au Brixia Tour, sa course de rentrée. L'Italien, qui avait fait du Championnat du monde, fin septembre, son objectif prioritaire de fin de saison, a été suspendu provisoirement en attendant que sa fédération statue sur son sort. À 33 ans, ce double contrôle positif risque de marquer la fin de carrière d'un coureur pour le moins atypique.
I don't ride a bike to add days to my life. I ride a bike to add life to my days !!!
le Giro s'est fini le 31 Mai ils nous balancent les news que mi Juillet ? Comment ça se passe exactement ? Je trouve ça un peu long
Allons nous avoir des suprises après le Tour ?
I don't ride a bike to add days to my life. I ride a bike to add life to my days !!!
kenzo a écrit :le Giro s'est fini le 31 Mai ils nous balancent les news que mi Juillet ? Comment ça se passe exactement ? Je trouve ça un peu long
Allons nous avoir des suprises après le Tour ?
moi ça ne me surprendrais pas !!!!! hi hi hi !!!!!
Garder le contact !!!!! Car le virus est toujours là...c'est la moelle qui manque !!!
..."Lors de sa première victoire sur le Tour, en 2007, Alberto Contador avait déjà dû répondre sur ses liens avec l'affaire de dopage sanguin Puerto, qui l'avait privé du Tour en 2006 alors qu'il courait chez Liberty Seguros. «J'étais dans la mauvaise équipe, Liberty Seguros, au mauvais moment. Mon nom est sorti juste avant le départ du Tour (2006) mais l'UCI a rectifié presque aussitôt en expliquant qu'il s'agissait d'une erreur», expliquait-il alors.
kenzo a écrit :Pour Contador : Les médias ne s'interessent plus à sa victoire du Tour mais à ses performances (sur BFMTV pour eux il n'y a pas photo il est chargé )
..."Lors de sa première victoire sur le Tour, en 2007, Alberto Contador avait déjà dû répondre sur ses liens avec l'affaire de dopage sanguin Puerto, qui l'avait privé du Tour en 2006 alors qu'il courait chez Liberty Seguros. «J'étais dans la mauvaise équipe, Liberty Seguros, au mauvais moment. Mon nom est sorti juste avant le départ du Tour (2006) mais l'UCI a rectifié presque aussitôt en expliquant qu'il s'agissait d'une erreur», expliquait-il alors.
L'UCI
C'est radio rumeur...
Attendons les résultats des analyses et des recoupements...
Mais Lemond, j'ai quand même un confiance relative...
Et ensuite, les chiffres qui sont sortis, divulgués comme s'il s'agissait de science exacte, me font presque rire! Dire que le nombre de watts développés par Contador équivaut à grimper une pente de 10% de moyenne, à 10 km/h, avec une remorque de 100 kg attachée, et après 5 heures de course : est-ce bien sérieux? Je ne sais pas si Contador est propre (un peu, beaucoup ou pas du tout), mais essayer de prouver qu'il ne l'est pas avec des conneries pareilles, c'est du grand n'importe quoi! Parce qu'on ne connait pas la pression des pneus de la remorque, ce qui change tout...
Autrement j'ai trouvé ça http://www.meilcour.fr/general/contador ... teurs.html
y a love dans vélo, tout est dit (Merckx!)
Merci Marka
Tour de France
D’apparence, rien n’a changé : de bourg en ville, la gigantesque machine charrie chaque jour son lot de coureurs, de semi-remorques ou d’hélicoptères dans un ordonnancement parfaitement maîtrisé. Mais en coulisses, la maison mère du Tour de France, Amaury Sport Organisation (ASO), a connu de violentes convulsions durant l’été et l’automne 2008 avec l’éviction de son président, Patrice Clerc, et de son adjoint, Gilbert Ysern.
L’entreprise est pourtant extrêmement rentable : aucun chiffre n’est officiellement publié par la société, qui organise par ailleurs d’autres épreuves comme le Dakar ou Paris-Roubaix ; mais, selon plusieurs sources, ASO réalise de 35 à 40 millions d’euros de résultat net annuel pour un chiffre d’affaires de 150 millions d’euros. Une marge mirifique, bien plus courante dans le luxe que dans l’événementiel. Seulement voilà, le groupe s’est découvert de nouvelles ambitions et, pour y parvenir, a dû se résoudre à sacrifier une partie de ses dirigeants.
Tout part de la mort, en 2006, de Philippe Amaury, le patron et actionnaire à 75 % du groupe portant son nom (les 25 % restant appartiennent à Lagardère, par ailleurs actionnaire du Monde). Son épouse Marie-Odile le remplace alors à la tête de cette entreprise possédant ASO mais aussi les quotidiens Le Parisien/Aujourd’hui en France et L’Equipe. Une succession sans heurts au début : Mme Amaury offre notamment un soutien sans faille à la direction d’ASO dans son combat avec l’Union cycliste internationale (UCI).
BATAILLE AUTOUR DU PRO TOUR
La maison mère du Tour de France n’a alors de cesse de ferrailler avec l’instance régentant le cyclisme mondial. Pour préserver ses intérêts d’abord : la mise en place par l’UCI du Pro Tour – une ligue fermée sur un système proche de la formule 1 – risquait d’affaiblir le poids d’ASO dans le monde du vélo. Mais pour des questions éthiques également : l’organisateur du Tour de France adopte en effet une position bien plus ferme que celle de l’UCI sur la question de la lutte antidopage.
Peu à peu, la Grande Boucle fédère autour d’elle les pouvoirs publics français, des fédérations nationales, et de plus en plus d’équipes professionnelles. Jusqu’au Tour 2008, organisé en dehors de la tutelle de l’UCI, où toutes les formations présentes annoncent avec fracas leur retrait du Pro Tour. "On avait fini l’épreuve dans l’euphorie", témoigne une source interne. Coup de théâtre le 18 août 2008, date à laquelle l’UCI et ASO annoncent leur réconciliation. L’incompréhension est alors totale, même chez l’organisateur du Tour de France où la plupart des salariés n’ont rien vu venir.
Seulement, Mme Amaury souhaite donner une nouvelle dimension à l’entreprise : sur les conseils notamment de l’ex-numéro deux d’ASO Alain Krzentowski, revenu dans le groupe fin 2007 et nommé administrateur, elle a décidé de se lancer sur le marché de la gestion des droits (marketing et audiovisuels) pour les Jeux olympiques. Une telle ambition passe automatiquement par un rabibochage avec l’UCI, la branche cycliste du Comité international olympique (CIO). Un armistice d’autant plus nécessaire qu’un des membres les plus influents du mouvement olympique n’est autre qu’Hein Verbruggen, l’ancien président de l’UCI et principal artisan du Pro Tour.
Pour résoudre le conflit, le nom du médiateur est vite trouvé : Jean-Claude Killy. Le triple champion olympique de Grenoble-1968 connaît parfaitement les deux maisons : membre du CIO depuis 1995, il a également dirigé ASO jusqu’en 1999, où il avait M. Krzentowski comme bras droit. En juillet 2008, Mme Amaury va même rencontrer le président du CIO, Jacques Rogge. "ASO s’est notamment vu proposer de gérer les droits français des Jeux olympiques d’hiver de 2014, explique Pierre Ballester, le coauteur du livre Le Sale Tour (Seuil, 2009, 254 pages, 18 euros), ainsi que la gestion des dossiers des villes candidates à l’organisation des JO."
Le dernier obstacle est vite levé : peu de temps après l’annonce de la réconciliation entre ASO et l’UCI, Patrice Clerc, l’ennemi juré de M. Verbruggen, est contraint de quitter la présidence d’ASO. Coïncidence ? Entre les deux événements, Lance Armstrong annonce son retour. Contactés par Le Monde, ni la direction d’Amaury ni M. Killy n’ont souhaité s’exprimer.
Reste pourtant la question de l’avenir de la Grande Boucle. En interne, certains craignent que tous les efforts menés pour restaurer la crédibilité de l’épreuve ne volent en éclats. Et s’inquiètent de voir le plus bel actif du groupe sortir fragilisé de cette course à l’expansion.
Bradley Wiggins, spécialiste de la poursuite sur piste, a lutté pour le podium du Tour grâce à sa résistance en montagne. (EQ)
Conscient que ses prestations en montagne lors du Tour de France ont provoqué des suspicions, Bradley Wiggins a tenu à faire une mise au point, dans les colonnes du London Evening Standard. Le Britannique, quatrième au classement final de la Grande Boucle, explique ne pas vouloir « qu'il y ait de doute» sur ce qu'il a fait. «Tout est naturel. J'ai fait un nouveau test antidopage samedi dernier, et je dévoilerai mes bilans sanguins dès que j'aurai les résultats», poursuit le coureur Garmin.
«Je veux cette transparence», affirme-t-il, ajoutant que «la Fédération anglaise dispose de tous (ses) bilans sanguins depuis l'âge de 19 ans» (soit pour les dix dernières années), et qu'il songe à les «mettre en ligne» afin que tout le monde puisse y avoir accès.
on verra bien...
I don't ride a bike to add days to my life. I ride a bike to add life to my days !!!
Astalorza positif à l'EPO. C'est Casar qui doit avoir les boules!!
pour mémoire il avait encore fini 2ème d'une étape du TDF derriere........Astalorza bien sur!!
Astalorza positif à l'EPO. C'est Casar qui doit avoir les boules!!
pour mémoire il avait encore fini 2ème d'une étape du TDF derriere........Astalorza bien sur!!
Mikel Astarloza rejoint donc Igor Astarloa, lui même convainçu de dopage à l'EPO il y a qq semaines ...
Un jour avec tous les pirates, tu reviendras crier vengeance, le bandana sous les étoiles, pour réduire Rimini en cendres (les Wampas)
Don't wish it. Don't wait for it. Work for it (Faris Al-Sultan)
